Moi j'aime de plus en plus les rapports sexuels un peu virils, dans lesquels je suis un peu dominateurs.
Attrappage de cheveux, prise en tenaille des mains derriere le dos, et bien sur fessee a l'occasion. Aucun problemes avec ca, considerons meme que je kiffe bien la chose
Au tout debut ca me genais a cause des images qu'on a dans la tete des hommes battant des femmes, je crois que pour certains d'entre nous c'est un traumatisme de s'imaginer etre comme ces "hommes" la.
Peut etre aussi qu'il y a une peur de laisser s'echapper le demon qui est en nous, d'entrouvrir une porte sans vraiment savoir quelles seront alors les limites. Et pire, et si ca nous plaisait vraiment et qu'en fait on etait simplement un truc bestial et violent??!!!!!!!
Il faut un petit travail pour comprendre que ca n'a rien a voir.
Voila pour le point de vue de moi meme.
SoUlY
Ben ma fessée a moi n'a rien de "viril"
Bon je vous le met mais depechez vous de lire parce que je sais pas encore si je laisse
Il avait décidé de venir passer le week-end avec moi, vraiment j’étais heureuse de passer du temps avec mon ptit Loup a moi.
Moi quand j’aime j’ai besoin de câlin alors je l’avais embêté pour pouvoir dormir avec lui.
Je pensais qu’a ça, passer du temps rien qu’a deux enfermé à se câliner, mais il fallut que j’attende l’orage.
Enfin allongé l’un a coté de l’autre je tentais de le toucher doucement.
J’ai commencé par le bout de ses doigts et le creux de sa main, pas un mot, que des gestes timides de douceurs.
D’un coup il m’a lancé : « tu veux essayer ? »
Coup de massue !
« _ essayer quoi ?
_ La fessée ! »
Silence abasourdi
« _ je sais pas, t’es venu pour ça ?
_ non parce que je t’apprécie »
C’était pas a ça que je pensais, me suis levée, on est allé dîner, mais l’idée restait à me trotter dans la tête. " Mais non j’ai pas envie, pas avec lui, c’est pas possible. Et puis pourquoi pas ? Pourquoi je m’en priverais ? Ce serait peut être agréable, oui mais non pas lui, je l’aime pas comme ça, pas pour ça, c’est pas de ce genre d’homme que j’attends ça, d’ailleurs c’est pas un homme c’est mon Ptit Loup. »
De retour dans la chambre pour la nuit j’étais hyper énervée, il me l’avait dit de pas boire de schweeps que j’allais pas savoir m’endormir, mais trop tard.
Alors j’ai eu envie de me plonger dans ses yeux, longtemps longtemps, très longtemps, interminable moment ou j’ai essayé d’aller chercher ses rêves et ses désirs barricadés au fond de lui. Epuisée de sa résistance, je lui ai volé un baiser puis un deuxième où il s’est enfin laissé faire. Il a commencé timidement à me caresser le dos, le bas du dos, le haut des fesses, longtemps très longtemps puis les fesses encore et encore pressées, caressées, cajolées, je tremblais un peu, mon coeur s’emballait, l’envie montait, ses doigts me frôlaient, mon ventre les appelait, c’était tendre, je languissais, harcelée par des assauts d’envie salvatrice, pis ca mouille.
Je lui ai lancé :
« _ je veux essayer » Dans un grand sourire avec les yeux qui brillent
Je me suis allongé sur le ventre et il a soulevé ma nuisette pour découvrir mes fesses, me suis un peu raidie pour la forme et le plaisir en réalisant que ca y est il les voyait. Il a enveloppé mes fesses avec son bras comme un trésor qu’on doit protéger et il a commencé à fesser. De sa main pleine il a frappé doucement, le bruit que pouvait entendre les voisins m’amusait, j’ai senti qu’il s’appliquait à couvrir toute la surface des mes fesses offertes. Je découvrais alors la sensation délicieuses des claques qui frôlaient mon entre jambe, maintenant c’est là où je j’attendais les gifles, mais il ne s’attardait pas, ca fait crever d’envie. Ailleurs c’était plus la chaleur et les picotements qui me régalaient et me tenaient en halène, j’aime ça. Il caresse, souffle merveilleusement doucement, reprend les claques, je suis aux anges, s’arrête, souffle encore sur mes fesses cuisantes, dépose des bisous, demande si ça va, je veux pas que ça s’arrête, je demande encore
_ T’es sure ?
_ Oui encore
C’est plus chaud, ça brûle, ça pince, ça fourmille, je guette celles qui tomberont plus prés de mes cuisses et amorceront la vague à l’intérieur.
Il décide de stopper.
« _Ca va ?
_Oui. T’es doué »
« _ je sais pas
_ Si si. C’est rouge ?
_attends j’allume je regarde… Oui c’est rouge »
J’étais toute fière de mes rougeurs.
Le matin j’ai regardé mes fesses dans la glace un peu déçue de pas les voir rouges en me disant t’es bête ca fait longtemps qu’elles le sont plus.