Sensualité
Parrain : Philjoueur
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« le: 04-11-2007, 21:27 » |
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Quand j’ouvre la porte, tu me repousses sans un mot, contre le placard et d’office, tu glisses une main sous ma jupe.
Tes doigts savourent déjà de leur pulpe la moiteur de l’abricot qui jute entre mes cuisses. Je t’emmène face au lit, et m’agenouille, tu restes debout devant moi. Je te tente et te provoque du regard pendant qu’un doigt glisse dans ta braguette, en défait un bouton, puis deux, mon regard ne te quitte pas, te fixe, un sourire commence à se dessiner sur mes lèvres.
Très délicatement, je sors ta queue de son nid vestimentaire, la soulève, la soupèse, la flatte. J’embrasse ton gland qui frémit sous la caresse, le titille de petits coups de langue, tendue et molle par alternance. Un soupir d’attente s’échappe de ta bouche, tu essaies de me caresser en même temps, j’écarte ta main d’un geste ferme, te maintient la main dans le dos pour être plus claire encore, tout en descendant mes lèvres le long de ta queue qui gonfle dans ma bouche. Cette main qui t’immobilisait quitte ton poignet quand je te sens soumis à mon désir de te sucer comme tu ne l’as jamais été, femme se souvenant de l’Eve tentatrice, Messaline dessalée, pute que tu fais jouir, salope à en crever de plaisir. Je caresse cette tendresse de la peau derrière tes couilles qui me tentent tant elles sont gonflées, tendues, je les imagine presque douloureuses, d’une délicieuse douleur… Mes lèvres se jouent de ce jouet que j’ai le sentiment de contrôler à ma guise, je te suce, je te tète, t’aspire, tire la peau de ta hampe en la pinçant oh si doucement avec les lèvres. Tes cuisses tremblent, ton pubis se couvre d’une fine perlée de sueur et je continue inlassable et délirante de ce plaisir que je t’offre, m’offre..
J’entends ta voix lointaine, suppliante et fière, « baise moi avec la bouche, suce moi, avale moi ». Quand je lève les yeux vers toi, c’est pour voir ce sourire sur ton visage, sourire encore tendu, lèvres tordues en un rictus de délices, tu croises mes yeux et la provocation que tu y lis arrive presque à te faire céder les barrages… Vite, vite… je vais moins vite… Ta queue est maintenant énorme, je n’arrive pas à la prendre toute entière, je la regarde, l’admire, m’en délecte, l’imagine en moi, me sautant, me prenant profondément, me rappelant à une condition ancestrale de femelle.. C’est moi qui m’affole, ma langue vibre, vrombit contre ta bite et j’arrête… tout… je te sens suspendu, incrédule, ... j’ai caché mon visage et ton sexe avec mes cheveux, tu ne sais ce que je fais ou vais faire… au moment où je te sens revenir à la réalité, frustré, je plonge, t’aspire, tu me pénètres la bouche avec ta queue.. me rendant folle de désir..
Il n’est plus temps d’arrêter, c’est une cavalcade furieuse, joyeuse et charnelle, soupirs, frémissements, tremblement, jus, salive, mouille, ton corps exhulte et se tend en un spasme final, infiniment long,.. ma bouche doit s’accrocher presque à toi pour ne pas perdre une goutte de ce précieux liquide qui fait écho au torrent entre mes jambes. Je goute, bois, lèche, tu jouis encore et encore….
Et enfin, grâce magique… tu ris, d’un rire libéré et en cascade, je te souris.
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