J'avoue que de vivre une vraie relation avec un homme d'une cinquantaine d'années (bon c'est vrai que je n'ai plus 30 ans) est pour moi un fantasme...
Je me dit, peut être à tort, qu'à cet âge là ils ont réglé tous leurs problèmes "d'homme" (la trentaine, la quarantaine). Que les questions ne sont plus les mêmes et qu'il est temps de vivre... Je le répète je me trompe peut être.
J'ai deux amis qui ont cet âge et sont pour moi des hommes plein de richesses intérieures face à mes petites questions de ma petite expérience. Ils ont été mes amants d'un soir (une femme, deux hommes tout plein de possibilités...) et même dans leur façon de faire l'amour il y transpirait une maturité qui découlait de nombreuses années de questionnements, de remises en causes , de passage difficiles, d'acceptation de leur corps, de leur personne "abolis".
Mais je suis d'accord aussi avec ce qu'y est dit plus haut sur le côté rassurant... paternel etc...
Les mauvais côtés : et oui, il faut jouer le rôle d'initiateur et ce n'est pas un rôle dans lequel j'excelle; il n'est pas facile de contribuer à la libération d'une jeune femme sans avoir peur de la heurter, de la choquer éventuellement; l'idéal est de tomber sur une jeune femme déja assez expérimentée.
Par contre dans le sens inverse ce rôle est trés excitant, épanouissant... les jeunes hommes sont plutôt avides d'apprendre donc de "bons" élèves...