NUTS - Nos Univers Très Sexy
14-07-2024, 16:07 *
Bienvenue, Invité. Veuillez vous connecter ou vous inscrire.

Connexion avec identifiant, mot de passe et durée de la session
 
   Accueil   Aide Identifiez-vous Inscrivez-vous  
Pages: [1]   Bas de page
  Imprimer  
Auteur Fil de discussion: Mon après-midi la plus chaude  (Lu 2375 fois)
0 Membres et 1 Invité sur ce fil de discussion.
Bertrand Morane
Invité
« le: 27-07-2006, 13:54 »

Cette fois-ci, c'était chez elle. Pas de champagne au balcon.
En après-midi, quand on se voit, on sait pourquoi. On se dit bonjour langoureusement, et on va s'installer benoîtement sur le canapé, histoire de discuter, de faire semblant, avant de n'en plus pouvoir et de se sauter dessus. Car on sait que ça va être bon, comme à chaque fois.
Au bout de quelques minutes de papotage, elle passe de la position assise à côté de moi à califourchon sur moi. Je soulève son petit top, libère son opulente poitrine que j'embrasse goulûment, et tente de me faufiler dans son jean pour y trouver son string, et un peu plus bas, son petit trou. Je lui mets un doigt dans la bouche et remet ma main dans son jean, pour lui caresser doucement l'anus, sans m'introduire.
Cela l'excite déjà. Je touche son entrejambe. Son jean est tout chaud. Elle est déjà mouillée. On se lève, je lui arrache ses vêtements un à un, elle fait de même avec moi, je l'installe sur la table, lui lèche le minou déjà tout gonflé, prêt à subir mes assauts tendres et passionnés, aux yeux des voisins d'en face, car la table est près de la fenêtre. Seul un léger rideau blanc cache nos ébats, au bon vouloir du vent qui découvre parfois la superbe plastique de ma douce.
Assez rapidement je la pénètre, je lui caresse les seins, déjà elle décolle et je sens qu'elle va bientôt jouir.
Je ralentis le rythme et lui dis :
- Ne jouis pas tout de suite.
Volonté de contrôle... encore.
Elle m'entraîne dans sa chambre. Près du lit, encore debout, elle se met à genou devant moi et avale mon sexe. Je sens que si elle continue ainsi, je vais exploser tout de suite, et je n'en ai pas envie.
Je la jette sur son lit, la met sur le dos, glisse ma tête entre ses cuisses et lui lèche le clitoris. Elle se cambre en arrière, tend ses seins et jette les bras en arrière. Je lèche ses lèvres, fait rentrer ma langue à l'intérieur de sa chatte, caresse son clito avec mes doigts pleins de sa mouille abondante, lui lèche le clito, caresse ses lèvres avec mes doigts.
Elle me dira plus tard qu'elle ne savait plus ce que je faisais, s'il s'agissait de mes doigts ou de ma langue.
Elle explose une première fois, dans un râle vibrant. Je ne m'arrête pas pour autant. Je sens que cet orgasme vite arrivé n'est pas complet, je continue à lui lécher la foufoune. Elle ne me repousse pas, au contraire, elle veut encore jouir avec ma langue.
A ce moment-là je me sens bien, très bien. Cet instant m'est resté comme celui où j'ai été heureux.
Elle jouit une deuxième fois, au bout de quelques minutes. Dès qu'elle a repris ses esprits, elle me dit sa surprise, deux orgasmes consécutifs, mais surtout, si rapides.
On se regarde. On sait qu'il y a quelque chose entre nous qui dépasse l'osmose sexuelle. Pas le temps d'en parler, on est là pour faire. S'ensuivent plusieurs galipettes ou je la pénètre à nouveau, moi devant elle dessous, sur le côté, je ne me souviens plus, ça dure longtemps, c'est excitant, c'est chaud, on transpire, on s'embrasse à pleine bouche.
Je ne sais plus si c'est elle ou moi, on est en levrette, elle cambre bien les reins, me regarde de temps à autre, en fermant les yeux parfois. Elle est très excitée puisque je peux la pénétrer jusqu'au fond sans lui faire mal. Un mouvement plus brutal semble l'exciter un peu plus. Une fessée l'achève.
Mais je n'en ai pas fini. Elle me regarde à nouveau, soumise.
- Mets-toi un doigt dans l'anus.
Sans réfléchir, elle s'éxécute. Elle me dira plus tard qu'on ne lui avait jamais demandé ça.
Elle s'en lèche deux et les introduit tous deux dans son cul. Je sens ses doigts contre mon sexe. Elle cambre les reins. La transpiration perle sur ses tampes. J'explose en criant.
Nous nous effondront l'un contre l'autre en nous embrassant.
Mais l'après-midi n'est pas terminée. Après avoir repris quelques forces, nous reprendrons...
Journalisée
Bertrand Morane
Invité
« Répondre #1 le: 27-07-2006, 15:32 »

Suite et fin...

On reprend nos esprits, on regarde par la fenêtre de la chambre, fermée, mais le soleil semble bas.
- Merde ! Il est quelle heure ?
On doit partir : on a rendez-vous.
Douche rapide, tripotage quand même (la douche est petite), bisous dans le cou, regards "on resterait bien mais on a dit qu'on venait", on sort vite de la douche, on se sèche rapidement pour aller nous rhabiller fissa avant qu'on ne craque à nouveau.
Elle se maquille rapidement, mais savemment, devant sa glace.
J'arrive derrière elle, la serre dans mes bras, délicatement, et l'embrasse dans le cou, pour ne pas la démaquiller. Je glisse ma langue le long de son cou, elle penche sa tête en arrière, commence à s'abandonner.
Je glisse ma main sous la jupe et lui arrache aussitôt son string. Elle s'en débarasse d'un jet de talon. Je l'attrape par la nuque et la penche en avant. De l'autre, je défais ma braguette et libère mon sexe.
Je cherche le chemin de sa chatte. Ce n'est pas celui-là sur lequel je tombe en premier. Elle se retourne, me regarde avec un air qui veut dire "petit coquin...". Elle se lèche les doigts et les glisse entre ses fesses.
Je m'introduis d'un seul coup. Les deux doigts qu'elle s'est enfoncés dans les fesses tout à l'heure l'ont laissée toute dilatée. Elle s'appuie sur le mur, baisse la tête en fermant les yeux, ondule des hanches.
Je lui caresse le clitoris, introduit parfois un doigt dans son sexe, mais elle replace ma main sur son clitoris. Mes mouvements deviennent plus puissants, nous éclatons en même temps, dans un même cri, que les voisins entendent puisque seul un fin mur nous séparent du palier.
Nous sommes encore plus en retard ! Elle remet vite son string, je me rebraille rapidement, nous ne repassons pas par la salle de bain.
Sur le palier comme là où nous allons, tout le monde nous a captés. Pas gênés pour un sou, nous sommes heureux. C'était bon.
« Dernière édition: 27-07-2006, 15:35 par Bertrand Morane » Journalisée
Pages: [1]   Haut de page
  Imprimer  
 
Aller à:  

Propulsé par MySQL Propulsé par PHP Powered by SMF 1.1.11 | SMF © 2006-2007, Simple Machines LLC XHTML 1.0 Transitionnel valide ! CSS valide !
Page générée en 0.079 secondes avec 18 requêtes.