Bertrand Morane
Invité
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« le: 27-07-2006, 13:54 » |
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Cette fois-ci, c'était chez elle. Pas de champagne au balcon. En après-midi, quand on se voit, on sait pourquoi. On se dit bonjour langoureusement, et on va s'installer benoîtement sur le canapé, histoire de discuter, de faire semblant, avant de n'en plus pouvoir et de se sauter dessus. Car on sait que ça va être bon, comme à chaque fois. Au bout de quelques minutes de papotage, elle passe de la position assise à côté de moi à califourchon sur moi. Je soulève son petit top, libère son opulente poitrine que j'embrasse goulûment, et tente de me faufiler dans son jean pour y trouver son string, et un peu plus bas, son petit trou. Je lui mets un doigt dans la bouche et remet ma main dans son jean, pour lui caresser doucement l'anus, sans m'introduire. Cela l'excite déjà. Je touche son entrejambe. Son jean est tout chaud. Elle est déjà mouillée. On se lève, je lui arrache ses vêtements un à un, elle fait de même avec moi, je l'installe sur la table, lui lèche le minou déjà tout gonflé, prêt à subir mes assauts tendres et passionnés, aux yeux des voisins d'en face, car la table est près de la fenêtre. Seul un léger rideau blanc cache nos ébats, au bon vouloir du vent qui découvre parfois la superbe plastique de ma douce. Assez rapidement je la pénètre, je lui caresse les seins, déjà elle décolle et je sens qu'elle va bientôt jouir. Je ralentis le rythme et lui dis : - Ne jouis pas tout de suite. Volonté de contrôle... encore. Elle m'entraîne dans sa chambre. Près du lit, encore debout, elle se met à genou devant moi et avale mon sexe. Je sens que si elle continue ainsi, je vais exploser tout de suite, et je n'en ai pas envie. Je la jette sur son lit, la met sur le dos, glisse ma tête entre ses cuisses et lui lèche le clitoris. Elle se cambre en arrière, tend ses seins et jette les bras en arrière. Je lèche ses lèvres, fait rentrer ma langue à l'intérieur de sa chatte, caresse son clito avec mes doigts pleins de sa mouille abondante, lui lèche le clito, caresse ses lèvres avec mes doigts. Elle me dira plus tard qu'elle ne savait plus ce que je faisais, s'il s'agissait de mes doigts ou de ma langue. Elle explose une première fois, dans un râle vibrant. Je ne m'arrête pas pour autant. Je sens que cet orgasme vite arrivé n'est pas complet, je continue à lui lécher la foufoune. Elle ne me repousse pas, au contraire, elle veut encore jouir avec ma langue. A ce moment-là je me sens bien, très bien. Cet instant m'est resté comme celui où j'ai été heureux. Elle jouit une deuxième fois, au bout de quelques minutes. Dès qu'elle a repris ses esprits, elle me dit sa surprise, deux orgasmes consécutifs, mais surtout, si rapides. On se regarde. On sait qu'il y a quelque chose entre nous qui dépasse l'osmose sexuelle. Pas le temps d'en parler, on est là pour faire. S'ensuivent plusieurs galipettes ou je la pénètre à nouveau, moi devant elle dessous, sur le côté, je ne me souviens plus, ça dure longtemps, c'est excitant, c'est chaud, on transpire, on s'embrasse à pleine bouche. Je ne sais plus si c'est elle ou moi, on est en levrette, elle cambre bien les reins, me regarde de temps à autre, en fermant les yeux parfois. Elle est très excitée puisque je peux la pénétrer jusqu'au fond sans lui faire mal. Un mouvement plus brutal semble l'exciter un peu plus. Une fessée l'achève. Mais je n'en ai pas fini. Elle me regarde à nouveau, soumise. - Mets-toi un doigt dans l'anus. Sans réfléchir, elle s'éxécute. Elle me dira plus tard qu'on ne lui avait jamais demandé ça. Elle s'en lèche deux et les introduit tous deux dans son cul. Je sens ses doigts contre mon sexe. Elle cambre les reins. La transpiration perle sur ses tampes. J'explose en criant. Nous nous effondront l'un contre l'autre en nous embrassant. Mais l'après-midi n'est pas terminée. Après avoir repris quelques forces, nous reprendrons...
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