Ma'am Scawlett'
Marraine : lénita
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Moi sans la langue, sans Sexe je m'exsangue ....
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« le: 01-04-2006, 11:10 » |
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De Palmas C'est l'album "Marcher dans le sable"
Juste sa voix et une guitare, morceau magnifique.
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« Dernière édition: 10-01-2008, 21:57 par Nana Co »
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"Le plaisir, qui est bien en effet l'unique mobile de la réunion des deux sexes, ne suffit pourtant pas pour former une liaison entre eux [...], s'il est précédé du désir qui rapproche, il n'est pas moins suivi du dégoût qui repousse. C'est une loi de la nature, que seul l'Amour peut changer".
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Hotllywood
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Looke tout ça...
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« Répondre #1 le: 15-04-2006, 13:05 » |
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Sinclair:*Si j'etais en manque
je sais que parfois on s'evite, je ne sais plus ou tu habites, on peut s'oublier un instant,si tu m'oubliais vraiment... Toujours Sinclair: *Qu'est ce qui me pousse*Ca m'fait plus malVous comprendrez que je suis un fan du garçon, et que je me retrouve souvent dans ses paroles. Ca me parle beaucoup
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____________________________________Surboomer________________________________
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lénita
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« Répondre #2 le: 16-04-2006, 08:25 » |
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J'ai pas d'mandé à v'nir au monde J'voudrais seul'ment qu'on m'fiche la paix J'ai pas envie d'faire comme tout l'monde Mais faut bien que j'paye mon loyer... J'travaille à l'Underground Café J'suis rien qu'une serveuse automate Ça m'laisse tout mon temps pour rêver Même quand j'tiens plus d'bout sur mes pattes J'suis toujours prête à m'envoler... J'travaille à l'Underground Café
Un jour vous verrez La serveuse automate S'en aller Cultiver ses tomates Au soleil Qu'est-ce que j'vais faire aujourd'hui ? Qu'est-ce que j'vais faire demain ? C'est c'que j'me dis tous les matins Qu'est-ce que je vais faire de ma vie ? Moi j'ai envie de rien J'ai juste envie d'êt' bien
J'veux pas travailler Juste pour travailler Pour gagner ma vie Comme on dit J'voudrais seul'ment faire Quelque chose que j'aime J'sais pas c'que j'aime C'est mon problème
[...]
Un jour vous verrez La serveuse automate S'en aller Cultiver ses tomates Au soleil Qu'est-ce que j'vais faire aujourd'hui ? Qu'est-ce que j'vais faire demain ? C'est c'que j'me dis tous les matins Qu'est-ce que je vais faire de ma vie ? Moi j'ai envie de rien J'ai juste envie d'êt' bien
[...]
La complainte de la serveuse automate - Starmania
| [...]
Stone Le monde est stone Laissez moi me débattre Venez pas m'secourir Venez plutôt m'abattre Pour m'empêcher d'souffrir J'ai la tête qui éclate J'voudrais seulement dormir M'étendre sur l'asphalte Et me laisser mourir
[...]
Le monde est Stone - Starmania
Résiste Prouve que tu existes Cherche ton bonheur partout, va, Refuse ce monde égoïste Résiste Suis ton c½ur qui insiste Ce monde n'est pas le tien, viens, Bats-toi, signe et persiste Résiste
[...]
Résiste - France Gall
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« Dernière édition: 23-04-2006, 13:27 par lénita »
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petite sorcière
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« Répondre #3 le: 16-04-2006, 15:01 » |
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Moi j'essuie les verres Au fond du café J'ai bien trop à faire Pour pouvoir rêver Mais dans ce décor Banal à pleurer Il me semble encore Les voir arriver...
Ils sont arrivés Se tenant par la main L'air émerveillé De deux chérubins Portant le soleil Ils ont demandé D'une voix tranquille Un toit pour s'aimer Au coeur de la ville Et je me rappelle Qu'ils ont regardé D'un air attendri La chambre d'Hôtel Au papier jauni Et quant j'ai fermé La porte sur eux Y avait tant de soleil Au fond de leur yeux Que ça m'a fait mal, Que ça m'a fait mal...
Moi j'essuie les verres Au fond du café J'ai bien trop à faire Pour pouvoir rêver Mais dans ce décor Banal à pleurer C'est corps contre corps Quon les a trouvés...
On les a trouvés Se tenant par la main Les yeux fermés Vers d'autres matins Remplis de soleil On les a couchés Unis et tranquilles Dans un lit creusé Au coeur de la ville Et je me rappelle Avoir refermé Dans le petit jour La chambre d'hôtel Des amants d'un jour Mais ils m'ont planté Tout au ond du coeur Un goût de leur soleil Et tant de couleurs Que ça m'a fait mal, Que ça m'a fait mal...
Moi j'essuie les verres Au fond du café J'ai bien trop à faire Pour pouvoir rêver Mais dans ce décors Banal à pleurer Y a toujours dehors... ... La chambre à louer...
Les amants d'un jour...E. PIAF
c'est une chanson qui me touche beaucou et que je fredonne quotidiennement sous ma douche...
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philjoueur
Marraine : Nana
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« Répondre #4 le: 16-04-2006, 19:23 » |
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Dire que j'ai passé des années A côté de lui sans le r'garder On a à peine ouvert les yeux Nous deux.
J'aurais pu c'était pas malin Faire avec lui un bout d'chemin Ça l'aurait p't'-êt' rendu heureux Mon vieux.
Mais quand on a juste quinze ans On n'a pas le c½ur assez grand Pour y loger tout's ces chos's-là Tu vois.
Maintenant qu'il est loin d'ici En pensant à tout ça, j'me dis "J'aim'rais bien qu'il soit près de moi" PAPA...
Mon vieux (Daniel Guichard)
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carpe diem! Je résiste à tout....sauf à la tentation
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Camille
Parrain : runaway
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Parfois il vaut mieux aoir la paix qu'avoir raison
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« Répondre #5 le: 16-04-2006, 19:55 » |
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Orly
Ils sont plus de deux mille Et je ne vois qu'eux deux La pluie les a soudés Semble-t-il l'un à l'autre Ils sont plus de deux mille Et je ne vois qu'eux deux Et je les sais qui parlent Il doit lui dire: je t'aime Elle doit lui dire: je t'aime Je crois qu'ils sont en train De ne rien se promettre C'est deux-là sont trop maigres Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille Et je ne vois qu'eux deux Et brusquement ils pleurent Ils pleurent à gros bouillons Tout entourésqu'ils sont D'adipeux en sueur Et de bouffeurs d'espoir Qui les montrent du nez Mais ces deux déchirés Superbes de chagrin Abandonnent aux chiens L'exploir de les juger
Mais la vie ne fait pas de cadeau! Et nom de dieu! C'est triste Orly le dimanche Avec ou sans Bécaud
Et maintenant ils pleurent Je veux dire tous les deux Tout à l'heure c'était lui Lorsque je disais il Tout encastrés qu'ils sont Ils n'entendent plus rien Que les sanglots de l'autre Et puis infiniment Comme deux corps qui prient Infiniment lentement ces deux corps Se séparent et en se séparant Ces deux corps se déchirent Et je vous jure qu'ils crient Et puis ils se reprennent Redeviennent un seul Redeviennent le feu Et puis se redéchirent Se tiennent par les yeux Et puis en reculant Comme la mer se retire Ils consomment l'adieu Ils bavent quelques mots Agitent une vague main Et brusquement ils fuient Fuient sans se retourner Et puis il disparaît Bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau! Et nom de dieu! C'est triste Orly le dimanche Avec ou sans Bécaud
Et puis il disparaît Bouffé par l'escalier Et elle elle reste là C½ur en croix bouche ouverte Sans un cri sans un mot Elle connaît sa mort Elle vient de la croiser Voilà qu'elle se retourne Et se retourne encore Ses bras vont jusqu'a terre Ça y est elle a mille ans La porte est refermée La voilà sans lumière Elle tourne sur elle-même Et déjà elle sait Qu'elle tournera toujours Elle a perdu des hommes Mais là elle perd l'amour L'amour le lui a dit Revoilà l'inutile Elle vivra ses projets Qui ne feront qu'attendre La revoilà fragile Avant que d'être à vendre Je suis là je le suis Je n'ose rien pour elle Que la foule grignote Comme un quelconque fruit
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Matilde
Ma mère voici le temps venu D'aller prier pour mon salut Mathilde est revenue Bougnat tu peux garder ton vin Ce soir je boirai mon chagrin Mathilde est revenue Toi la servante toi la Maria Vaudrait peut-être mieux changer nos draps Mathilde est revenue Mes amis ne me laissez pas Ce soir je repars au combat Maudite Mathilde puisque te v'là
Mon c½ur mon c½ur ne t'emballe pas Fais comme si tu ne savais pas Que la Mathilde est revenue Mon c½ur arrête de répéter Qu'elle est plus belle qu'avant l'été La Mathilde qui est revenue Mon c½ur arrête de bringuebaler Souviens-toi qu'elle t'a déchiré La Mathilde qui est revenue Mes amis ne me laissez pas Dites-moi dites-moi qu'il ne faut pas Maudite Mathilde puisque te v'là
Et vous mes mains restez tranquilles C'est un chien qui nous revient de la ville Mathilde est revenue Et vous mes mains ne frappez pas Tout ça ne vous regarde pas Mathilde est revenue Et vous mes mains ne tremblez plus Souvenez-vous quand je vous pleurais dessus Mathilde est revenue Vous mes mains ne vous ouvrez pas Vous mes bras ne vous tendez pas Sacrée Mathilde puisque te v'là
Ma mère arrête tes prières Ton Jacques retourne en enfer Mathilde m'est revenue Bougnat apporte-nous du vin Celui des noces et des festins Mathilde m'est revenue Toi la servante toi la Maria Va tendre mon grand lit de draps Mathilde m'est revenue Amis ne comptez plus sur moi Je crache au ciel encore une fois Ma belle Mathilde puisque te v'là te v'là
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Quand on n'a que l'amour A s'offrir en partage Au jour du grand voyage Qu'est notre grand amour
Quand on n'a que l'amour Mon amour toi et moi Pour qu'éclatent de joie Chaque heure et chaque jour
Quand on n'a que l'amour Pour vivre nos promesses Sans nulle autre richesse Que d'y croire toujours
Quand on n'a que l'amour Pour meubler de merveilles Et couvrir de soleil La laideur des faubourgs
Quand on n'a que l'amour Pour unique raison Pour unique chanson Et unique secours
Quand on n'a que l'amour Pour habiller matin Pauvres et malandrins De manteaux de velours
Quand on n'a que l'amour A offrir en prière Pour les maux de la terre En simple troubadour
Quand on n'a que l'amour A offrir à ceux-là Dont l'unique combat Est de chercher le jour
Quand on n'a que l'amour Pour tracer un chemin Et forcer le destin A chaque carrefour
Quand on n'a que l'amour Pour parler aux canons Et rien qu'une chanson Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien Que la force d'aimer Nous aurons dans nos mains, Amis le monde entier
Jacques Brel
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« Dernière édition: 16-04-2006, 20:08 par Camille »
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L'avis des autres n'est que la vie des autres
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Snow
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« Répondre #6 le: 18-04-2006, 12:40 » |
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Un peu de Daho ...
Et si je m'en vais avant toi
Et si je m'en vais avant toi Dis toi bien que je serai là J'épouserai la pluie, le vent Le soleil et les éléments Pour te caresser tout le temps L'air sera tiède et léger Comme tu aimes Et si tu ne le comprends pas Très vite tu me reconnaîtras Car moi je deviendrai méchant J'épouserai une tourmente Pour te faire mal et te faire froid L'air sera désespéré comme ma peine Et si pourtant tu nous oublies Il me faudra laisser la pluie Le soleil et les éléments Et je te quitterai vraiment
Et je me quitterai aussi L'air ne sera que du vent Comme l'oubli
Le grand sommeil
Je ne peux plus me réveiller, rien à faire Sans moi le monde peut bien tourner à l'envers Engourdi par le sommeil et prisonnier de mon lit J'aimerais que cette nuit dure toute la vie
En partant tu m'as mis le c½ur à l'envers Sans toi la vie est devenue un enfer Entortillé dans mes draps je crois me souvenir de toi Lorsque tu disais tout bas que tu n'aimais que moi
Tout ce qui se passe au dehors m'indiffère Que le monde saute ce n'est pas mon affaire Dans ces draps bleus traîne encore l'odeur de tes cheveux Ce bleu infiniment bleu que j' trouvais dans tes yeux
Lorsque je rêve tu es tout près de moi C'est la seule façon de rester avec toi C'est la raison pour laquelle je n'veux plus quitter mon lit Pour qu'enfin toutes les nuits durent toute la vie
Et un petit Police ...
Every little thing she does is magic
Though I've tried before to tell her Of the feelings I have for her in my heart Every time that I come near her I just lose my nerve as I've done from the start
Every little thing she does is magic Everything she do just turns me on Even though my life before was tragic Now I know my love for her goes on
Do I have to tell the story Of a thousand rainy days since we first met It's a big enough umbrella But it's always me that ends up getting wet
Every little thing she does is magic Everything she do just turns me on Even though my life before was tragic Now I know my love for her goes on
I resolve to call her up a thousand times a day And ask her if she'll marry me in some old fashioned way But my silent fears have gripped me Long before I reach the phone Long before my tongue has tripped me Must I always be alone?
Every little thing she does is magic Everything she do just turns me on Even though my life before was tragic Now I know my love for her goes on
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Kawujde
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« Répondre #7 le: 18-04-2006, 13:43 » |
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Allez une tite couche de Daho qui n'a pas écrit que des chansons de suicidés
OUVERTURE
Il n'est pas de hasard, Il est des rendez-vous, Pas de coïncidence, Allez vers son destin, L'amour au creux des mains, La démarche paisible, Porter au fond de soi, L'intuition qui flamboie, L'aventure belle et pure, Celle qui nous révèle , Superbes et enfantins, Au plus profond de l'âme.
Portée par l'allégresse, Et la douceur de vivre, De l'été qui commence, La rumeur de Paris, Comme une symphonie, Comme la mer qui balance.
J'arrive au rendez-vous, Dans l'épaisse fumée, Le monde me bouscule, Réfugiée dans un coin, Et observant de loin, La foule qui ondule, Mais le choc imminent, Sublime et aveuglant, Sans prévenir arrive.
Je m'avance et je vois, Que tu viens comme moi, D'une planète invisible, Où la pudeur du c½ur, impose le respect, La confiance sereine Et en plus tu t'ouvres à moi, Et en plus je m'aperçois, Que lentement je m'ouvre, Et en plus je m'ouvre à toi, Et en plus je m'aperçois, Que lentement je m'ouvre.
il fut long le chemin, Et les pièges nombreux, Avant que l'on se trouve, Il fut le long le chemin, Les mirages nombreux, Avant que l'on se trouve.
Ce n'est pas le hasard, C'est notre rendez-vous, Pas une coïncidence.
Et quand je veux chialer un bon coup rien de tel que celle ci de Barbara
NANTES
Il pleut sur Nantes Donne-moi la main Le ciel de Nantes Rend mon c½ur chagrin
Un matin comme celui-là Il y a juste un an déjà La ville avait ce teint blafard Lorsque je sortis de la gare Nantes m'était encore inconnue Je n'y étais jamais venue Il avait fallu ce message Pour que je fasse le voyage:
"Madame soyez au rendez-vous Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup Faites vite, il y a peu d'espoir Il a demandé à vous voir."
A l'heure de sa dernière heure Après bien des années d'errance Il me revenait en plein c½ur Son cri déchirait le silence Depuis qu'il s'en était allé Longtemps je l'avais espéré Ce vagabond, ce disparu Voilà qu'il m'était revenu
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup Je m'en souviens du rendez-vous Et j'ai gravé dans ma mémoire Cette chambre au fond d'un couloir
Assis près d'une cheminée J'ai vu quatre hommes se lever La lumière était froide et blanche Ils portaient l'habit du dimanche Je n'ai pas posé de questions A ces étranges compagnons J'ai rien dit, mais à leurs regards J'ai compris qu'il était trop tard
Pourtant j'étais au rendez-vous Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup Mais il ne m'a jamais revue Il avait déjà disparu
Voilà, tu la connais l'histoire Il était revenu un soir Et ce fut son dernier voyage Et ce fut son dernier rivage Il voulait avant de mourir Se réchauffer à mon sourire Mais il mourut à la nuit même Sans un adieu, sans un "je t'aime"
Au chemin qui longe la mer Couché dans le jardin des pierres Je veux que tranquille il repose Je l'ai couché dessous les roses Mon père, mon père
Il pleut sur Nantes Et je me souviens Le ciel de Nantes Rend mon c½ur chagrin
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Journalisée
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Ma'am Scawlett'
Marraine : lénita
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Moi sans la langue, sans Sexe je m'exsangue ....
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« Répondre #8 le: 18-04-2006, 13:49 » |
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Et quand je veux chialer un bon coup rien de tel que celle ci de Barbara
NANTES
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Journalisée
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"Le plaisir, qui est bien en effet l'unique mobile de la réunion des deux sexes, ne suffit pourtant pas pour former une liaison entre eux [...], s'il est précédé du désir qui rapproche, il n'est pas moins suivi du dégoût qui repousse. C'est une loi de la nature, que seul l'Amour peut changer".
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Kaï
Invité
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« Répondre #9 le: 18-04-2006, 13:58 » |
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beaucoup de parole de chanson me touchent mais je reviens toujours a celle ci .
La marée, je l’ai dans le c½ur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite s½ur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l’arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j’en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l’écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l’ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d’une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu’un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j’allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d’aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tans
Qu’on dirait l’Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s’immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu’on pressent
Quand on pressent l’entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D’où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l’arc copain où je m’aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l’anathème
Comme l’ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S’en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C’est fini, la mer, c’est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d’infini...
Quand la mer bergère m’appelle
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Journalisée
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Kaï
Invité
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« Répondre #10 le: 18-04-2006, 14:00 » |
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et surtout ce passage la :
Quand j’allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d’aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen
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lénita
Invité
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« Répondre #11 le: 23-04-2006, 10:05 » |
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To really love a woman To understand her - you gotta know her deep inside Hear every thought - see every dream N' give her wings - when she wants to fly Then when you find yourself lyin' helpless in her arms Ya know ya really love a woman
When you love a woman you tell her that she's really wanted When you love a woman you tell her that she's the one Cuz she needs somebody to tell her that it's gonna last forever So tell me have you ever really - really really ever loved a woman?
To really love a woman Let her hold you - til ya know how she needs to be touched You've gotta breathe her - really taste her Til you can feel her in your blood N' when you can see your unborn children in her eyes Ya know ya really love a woman
When you love a woman you tell her that she's really wanted When you love a woman you tell her that she's the one Cuz she needs somebody to tell her that you'll always be together So tell me have you ever really - really really ever loved a woman?
You got to give her some faith - hold her tight A little tenderness - gotta treat her right She will be there for you, takin' good care of you Ya really gotta love your woman...
Have you ever really loved a woman? - Bryan Adams
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« Dernière édition: 23-04-2006, 13:28 par lénita »
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Journalisée
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THP Ronin
Invité
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« Répondre #12 le: 24-04-2006, 13:56 » |
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"When A Woman's Fed Up"
I'm standing here looking in the mirror Saying "damn" to myself I should have known the day would come That she would find somebody else And all the things I took her through Shit, I shouldn't have lasted this long Now I'm at this telephone booth calling Tyrone
[1] - Cuz when a woman's fed up (No matter how you beg, no) It ain't nothing you can do about it (Nothing you can do about it) It's like running out of love (No matter what you say, no) And then it's too late to talk about it (Too late to talk about it)
Now let's talk about how it all goes down I used to make love to you daily When the night fell the same And anytime that you were hurt I could feel your pain And if I had a dollar It was yours, yeah And whenever we would go out I would front the bill But now the up is down And the silence is sound I hurt you too too many times Now I can't come around
[1] - Cuz when a woman's fed up (No matter how you beg, no) It ain't nothing you can do about it (Nothing you can do about it) It's like running out of love (No matter what you say, no) And then it's too late to talk about it (Too late to talk about it)
La da da da da la la da da La da da da da la la da da If you don't want to find out the hard way Then listen to this song while the record plays
[1] - Cuz when a woman's fed up (No matter how you beg, no) It ain't nothing you can do about it (Nothing you can do about it) It's like running out of love (No matter what you say, no) And then it's too late to talk about it (Too late to talk about it)
You can cry a river 'Till an ocean starts to form, yeah But she will always remember Cuz she's a woman scorned And if you ever get her back It will never be the same She's cuttin' the corners of her eyes Every time she see your face Now your trust is out the door She don't want you no more You used to tell your boys, not me And she would always be there for you If you had took the time to see What that woman meant to you Is what the mirror said to me, whoa She was raised in Illinois Right outside of Chicago Some of the best cookin' you ever had Yes, it was and I miss her Hey woman, if you're listening I said I miss you baby
R.KELLY
J'en mettrai une en français après.
edit cause : merci d'indiquer le titre ET l'interprete pour faciliter une recherche
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« Dernière édition: 24-04-2006, 21:20 par Temperatrix »
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Machiko
Invité
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« Répondre #13 le: 05-06-2006, 01:44 » |
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Linda Lemay - La veilleuse
Sais-tu que je chantais souvent avant Que je mettais des mots sur chaque sentiment Sais-tu combien je m'amusais avant Sur des mélodies qui me venaient d'en dedans
Sais-tu que j'avais des amants avant Des hommes que j'ai laissé mourir dans le temps Et sais-tu que je n'ai jamais eu d'enfants Et que j'ai peur De ce qu'il m'a toujours manqué à l'intérieur
Mes robes ont étonné souvent avant A forced'être noires avec des bouts de blanc Sais-tu que c'était important avant La couleur du tissu et quelques compliments
Sais-tu la nuit fait peur à ceux qui sont petits Alors on se garde un peu de lumière Je veux un rayon de soleil après ma vie Une veilleuse dans la terre Je veux trouver au fond de mes vieilles chansons Le feu qui me les a fait faire Et puis garder cette bougie d'inspiration Comme unique souvenir d'hier
Sais-tu combien je m'inquiétais avant De voir le fil des ans cousu sur mon visage Sais-tu combien j'ai mis de temps avant A me redessinner avec du maquillage
Sais-tu, sais-tu comment la vieillesse m'a prise Quand on dirait qu'elle nous brise Sais-tu qu'ell s'eternise Mais sais tu qu'un ceveux blanc C'est la neige avant le printemps Et que mêm si il est tard On a toujours le même regard Celui de l'enfant que l'on est Et qu'on essaie de retrouver Au fond d'un corps qui agonise Au fond du feu que l'on attise
Ce soir j'ai repris mon crayon Avec la peau froissée de ma main fatiguée Sais-tu qu'au dela de cette chanson Brille dèjà la flamme que j'emporterai
Tu sais je ne pleurais pas souvent avant Pas de ces larmes qui ne sèchent plus au vent
Je pleure mais si je pleure maintenant Maintenant C'est qu'il est tard Et je suis épuisée
Je n'ai jamais su pourquoi, ou peut être trop.
Et celle ci, qui m'a fait pensé à tous ces sites de rencontre etc toujours de Lemay (comme quoi, j'écoute aussi de la variété un peu cucul)
Mon nom
Si vous me demandez mon nom Je vais vous donner mon adresse Puis si vous me demandez l'heure Je vais vous raconter ma vie Sans retenue et sans pudeur Comme si vous étiez mon ami
Si vous me demandez mon nom J'peux bien vous donner mon corps Et si vous en voulez encore Je recommencerai pour vous Sans retenue et sans remords Comme si vous étiez mon mari
Si vous me demandez mon nom Je vais vous parler de mon père Qui était toujours à la maison À la même heure après l'travail J'vous raconterai des feux qui ne sont pas de paille Qui brûlent encore longtemps après les fiançailles J'vous raconterai la vie que je voudrais connaître Une main dans la vôtre, peut-être
Si vous me demandez mon nom Je vais me confondre en franchise Si vous me demandez mon âge Alors j'vais me mettre à pleurer M'élancer de tout mon visage Dans un coin de votre chemise
Si vous demandez la main Je vais vous accorder mon âme Mes demains, mes surlendemains Mes insécurités de femme Tout cet amour tellement lourd Que vous l'porterez comme un blâme
Si vous me dmandez mon nom Faites gaffe à la suite des choses Je vais m'offrir au grand complet Et sûrement pas à petites doses
Je serai la plus vraie et la plus vulnérable J'vous dirai mes secrets les plus inavouables Ces pactes que j'ai faits avec toutes sortes de diables Si vous me demandez mon nom Je vais vous montrer mes blessures
Chaque trace de chaque déception Chaque marque de chaque aventure J'vous raconterai des feux qui ont été de paille Accrochée à vos cheveux et à votre chandail J'vous raconterai la mort que je voudrais connaître Une main dans la vôtre peut-être
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Journalisée
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Lancelot
Invité
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« Répondre #14 le: 05-06-2006, 09:23 » |
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Les séparés (N'écris pas...)
N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre. Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau. J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre, Et frapper à mon coeur, c'est frapper au tombeau. N'écris pas !
N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes. Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais ! Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes, C'est entendre le ciel sans y monter jamais. N'écris pas !
N'écris pas. Je te crains ; j'ai peur de ma mémoire ; Elle a gardé ta voix qui m'appelle souvent. Ne montre pas l'eau vive à qui ne peut la boire. Une chère écriture est un portrait vivant. N'écris pas !
N'écris pas ces doux mots que je n'ose plus lire : Il semble que ta voix les répand sur mon coeur ; Que je les vois brûler à travers ton sourire ; Il semble qu'un baiser les empreint sur mon coeur. N'écris pas !
Julien Clerc (reprise du poeme de Marceline DESBORDES-VALMORE)
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Journalisée
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