Très belle analyse Dr Peter et je confirme (j'ai eu la même ce we). Donc je ne suis pas froissée, bien au contraire, flattée et touchée par ce message car tu as bien observé et compris la situation.
J'opte aujourd'hui pour ne plus "chanter"...
Bien le bonjour Madame P.S.
En fait à travers les échanges de ton post j'ai retrouvé une certaine similitude avec ce que je vis et j'ai également trouvé que Monsieur Pan intervenait avec justesse pour exposer son avis éclairé.
Mes reflexions sur ma relations aux femmes et comment je la vis mettent réguliérement mes neuronnes à contributions et ce n'est pas peu dire puisque c'est un sujet aux pensées rémanentes et tenaces.
Même que du coup j'échange beaucoup avec ma conscience, il parait que l'on appelle ça recueillement, mais elle fait parfois souvent beaucoup chier qu'il m'arrive de lui répondre "Ta gueule tu me les brises" et que je me dis que c'est pas pour pour rien que le nom est au fémminin.
Mais bon du coup je m'aperçois également qu'elles ne me sont pas indifférentes ces empêcheuses de tourner en rond et qu'il semblerait que quelquechose dans ma façon de vivre passent par la femme, quel maléfice voici là
Voici une phrase autour de laquelle j'ai beaucoup réfléchi et que j'ai eu assez de mal à accepter:
"Ce que les autres vous font est un reflet (miroir) de ce que vous vous faites à vous-même et/ou aux autres."
J'ai eu beaucoup de mal à l'accepter en me disant que non, je vois pas trop ce que j'ai fait pour mériter ça, je suis pas fou non plus et j'ai trés bien vu l'embrouille.
Je vais essayer d'illustrer un peu la façon dont je vis les choses avec des travaux d"éléctricité:
J'étais là bien tranquillement en train de bricoler l'installation bonnant malant, c'était pas toujours la rigolade ces travaux mais j'aimais bien ça, puis d'un seul coup sans que je m'y attende, une de ces châtaignes à me faire traverser la piéce.
Ouille ouille ouille, tellement violente que j'en était tout paniqué et que j'en garde encore des sensation de paralysie dans les bras et que je me réveille parfois avec des sensations de picotement.
Alors bon, compteur débranché, j'essaie de reprendre les fils éléctriques en main mais c'est plus fort que moi dés que je les ai dans la main je pense à la châtaigne en me disant la dedans ya du jus et ça pique, terrifiant cette situation.
Du coup quand je fais le paralèlle avec les femmes j'en déduis que bah oui elles en ont toute la faculté et la petite voix de ma conscience d'intervenir en me disant "oui mais en avoir la faculté ne veut pas non plus dire qu'elles le feront" et je trouve que c'est pas con comme raisonnement.
Mais me voilà bien avançé puisque ce n'est pas moi qui décide et que ça me vient tout seul dés que je touche des fils.
Bon je te propose de réfléchir au truc suivant me dit-elle, si plutôt que de t'inquiéter du jus, puisqu'effectivement il existe et tu connais son effet et que l'on ne peut rien y faire, si tu t'arrangeais pour avoir l'assurance qu'il ne puisse pas arriver dans les fils.
Par exemple en surveillant le compteur, histoire qu'un abruti vienne pas l'enclencher, auquel cas tu le préviens gentiment mais fermement que t'es en train de bosser sur l'installation et que t'aimerais qu'il se casse, et si il continue à avancer vers le compteur tu t'énerves un peu et que si ça va pas tu saisis par exemple le marteau dans la caisse pour lui faire traverser la piéce dans sa direction.
Même si tu ne l'atteinds pas il devrait commencer à réfléchir et revoir la situation en l'abordant sous un autre angle.
Elle me plait bien cette idée, mais bon je sais pas trop, parceque moi j'aime bien les travaux d'éléctricité et si je ne peux pas faire ça tranquille sans devoir tout surveiller ça m'attire déjà beaucoup moins au point de me dire que je vais laisser faire ça par d'autres, qu'ils se prennent des châtaignes si ils aiment ça aprés tout.
Bon je comprend bien ton point de vue et ressenti mais j'ai juste envie de te demander ce que tu vas bien faire si tu ne fais plus de travaux d'éléctricité, parceque je me dis que si tu as fait ça si longtemps ce n'est pas anodin et que cette installation avant le gidzic t'en avais fait un truc pas mal du tout, avec les lustres, les spots, toussa.
Donc si tu disais que c'est un jeu, que c'est fait pour prendre du plaisir et qu'en face c'est pareil, la même chose que toi, tu ne verrais pas les choses d'une autre façon ?
Ah ben si, vu comme ça, mais bon je quitte la partie dés que je sens que ça ne va pas alors hein, sans passer par la case départ, les vingt mille et compagnie.
Ah non, pas comme ça, imagines un instant que tu joues et qu'en face d'un seul coup l'autre ferait de même sans que tu comprennes.
Alors si ça arrive tu préviens que quelquechose ne va pas et que tu as l'intention d'arrêter de jouer et tu expliques pourquoi, et selon la réponse tu verras, je suis certaine que l'autre comprendras et si ça ne va toujours pas tu es libre d'arrêter la partie.
Oui bon t'as encore raison, tu deviens presque désagréable, mais bon par exemple le truc avec les bébés, parceque bon je me dis que si ..., tu vois quoi, je peux pas faire mon égoïste puis faut avouer que j'aime bien les gosses mais encore une fois comme avec la châtaigne du coup je me dis "oh pute borgne l'embrouille" c'est une châtaigne au triphasé.
Bon oui c'est vrai ça craint et je vais pas essayer de te leurrer, si ça se passe mal c'est malheureusement toi qui es en mauvaise posture.
Mais bon tu verras bien, de toute façon tu as encore le temps de voir arriver, et que d'ici là il est possible maintenant d'aborder tes reflexions sous un autre angle.
Mouais mouais, bon ça me semble pas mal ton histoire, je vais réfléchir à tout ça, seulement là je vais aller me coucher maintenant et en attendant je vais penser à ma bécane que j'ai commandé et que j'ai hâte de chevaucher.
Bref tout ça pour dire qu'une partie de moi en opposition avec mon côté raisonné à tendance à me dire que les femmes ont quand même dans les gênes la cruauté et d'être de belles garces quand la situation se présente, mais qu'au final la vérité est que si je les géres en ayant cette vision, elles se sentiront et agiront avec moi comme tel et que c'est moi du coup les influence malgré moi et malgré elles à agir de la sorte.