Depuis peu, je réalise un truc énorme me concernant ....
Durant ma relation avec schrek, il m'avait mise au congélateur.
Sta dire. Non seulement, j'étais grosse, moche et imbaisable, mais tout ce qui m'était normal dans le sexe m'a été reproché. (ma masturbation, toutes mes initiatives, certaines de mes carresses sur lui).
Je crois que j'avais mentionné que j'étais devenue quasi incapable de me masturber. Ca revient petit à petit. Pas aussi souvent que j'en ai envie cependant, mais rome ne s'est pas fait en un jour.
Depuis, oui, j'ai libertiné, oui, j'ai eu des amants, oui, j'ai eu des relations longues avec des hommes.
MAIS, ce côté 'chaudasse - pas froid aux yeux' me semble totalement perdu.
Je suis capable d'exprimer dans mes rapports sexuels actuels, énormément de tendresse, d'être over-caline, et hyper sensuelle. Mais plus ce petit côté spontané jouasse que j'adorais.
Ca fait maintenant grosso modo 1 mois que j'ai rencontré mon amant actuel, et apres des tout début un peu fade, 'dont je lui incombais la faute
), çà prend une tournure tout à fait différente, encore plus tendre qu'au début, avec un désir fou l'un de l'autre, mais, en dehors d'un ruisselement de tendresse, j'réalise que j'agis quasi comme une débutante. Je lui laisse toutes les initiatives, je ne suggere rien, même si des fois, j'en creve d'envie .... par peur de me faire rembarrer.
En fin d'aprem, après avoir passé la journée avec ce nouvel amant, avant de rentrer chez moi, j'ai tourné 482.627 x ma langue dans ma bouche, me demandant comment j'allais pouvoir lui balancer que j'ai surement besoin de retrouver encore plus confiance en moi, avant d'apporter mes interventions dans notre sexualité. Et au final, je n'ai rien dit.
Avec les précédents, j'ai agi de même. Obéissante, mais plus aucune initiative.
J'avoue que çà commence grave à me gonffler.
C'est un sujet dont je ne sais pas si je peux l'aborder avec mon psychiatre ou non