En chaque homme sommeille un complexe de la bite.
Entre rocco et son zigounet d'ane et le gusse dont tout le monde se moquerait bien dans les vestiaires, il y a vous et votre teub.
A partir de l'instant ou je me suis rendu compte du coté couteau Suisse de l'occupant de mon slip; multi fonction donc; s'est posée la question des questions de mec, celle auquel aucun XY échappe:
suis je convenablement équipé?
Et de te sortir un double décimètre, de mesurer depuis le pubis jusqu'au bout du bout, finalement se raviser en se disant que la bonne mesure spa là mais a la base des couilles, remesurer avec un air satisfait puisque tu viens de gagner au moins 2,5cm
yeah!
Seulement une fois que tu a les données en tete, tu te dis que toussa c'est bien gentil mais...et les autres!?
Alors tu remesures (toujours depuis les couilles yerkyerk) et là tu percutes qu'un double décimetre ca a bien un cm de plastoc avant le zéro, premiere graduation.
Avec toussa on en est bien à 3,5 de plus, y'a pas de petits bénefs...
Ces chiffres sommeillent dans ta tete jusqu'au jour fatal ou en lisant un article d'Union tu te rends compte que tu n'as
absolument pas pensé à mesurer ton diamètre
Et tu lis le truc en faisant une prière que le gusse fasse bien la difference entre rayon et diamètre et encore plus circonférence, par ce que moi un rayon de 12 si je compte bien , ca s'appele une bite mais d'amarrage.
Puis ce souvenir s'estompe ou plutot vient il se ranger dans la case zboub de ton cerveau, a coté de
longueur tu as rangé
rayon/circonférence diamètre pi r² et tout le bordel/ on verra ca plus tard...
Seulement en plus de ai je une petit bite? tu viens d'hériter de
si ca se trouve j'ai une bite de longueur convenable mais avec un diamètre de cure dent Enfin tu te dis que non, quand meme pas, mais sait on jamais?
Finalement la vie s'écoule, la premiere avec laquelle tu couches ne t'en parle pas et la seconde non plus. La troisieme te rassure mais tu te demandes si c'est pas juste par ce qu'elle est amoureuse, et à la trentième tu es trop occupé pour y penser.
De toute façon j'ai pris le partit de dire que j'en ai une énorme, par ce que ce qui compte n'est pas la vérité, mais d'entretenir la légende