NUTS - Nos Univers Très Sexy
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Auteur Fil de discussion: vivre sans un psy est-ce possible ?  (Lu 10455 fois)
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qqqqqqqqqq
Invité
« Répondre #30 le: 02-11-2007, 21:30 »

Pas grave j'assume   angie

çà je n'en doute pas une seule seconde

du moment que ce n'est pas une fuite, un moyen, de la poudre aux yeux pour ne pas reconnaître un malaise.qui nécessite l'intervention d'un professionnel, pas de soucis.

çà, je ne pense pas qu'on puisse le dire soi-même mais comme dit PS, pour voir un psy, il faut une démarche personnelle
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Dragonne
Invité
« Répondre #31 le: 02-11-2007, 21:32 »

çà, je ne pense pas qu'on puisse le dire soi-même
Oh que si, on sait tout au fond de soi meme... mais c'est tres facile de se mentir, de se raconter des histoires, de se voiler la face etc... Un psy normalement, ca t'aide justement a redevenir honnete avec toi meme.
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« Répondre #32 le: 02-11-2007, 21:33 »

Oh que si, on sait tout au fond de soi meme... mais c'est tres facile de se mentir, de se raconter des histoires, de se voiler la face etc... Un psy normalement, ca t'aide justement a redevenir honnete avec toi meme.

Je suis de ton avis.
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Les confidences de Mademoiselle La Teigne
qqqqqqqqqq
Invité
« Répondre #33 le: 02-11-2007, 21:38 »


mais lorsque tu vas chez le psy, tu sais pertinement que si tu ments, ce n'est pas à lui, mais à toi.

Ben là, je ne vois pas pourquoi il serait plus difficile de mentir à un psy qu'à un proche.  Perso, j'ai plus facile de raconter mes problèmes à une personne qui m'est chère et que je sais qui me comprends qu'à un inconnu. Mentir à un proche, j'aurais beaucoup plus de mal qu'à un inconnu dont j'en ai rien à faire : je crois qu'en fait tout est là, le fait de savoir avec qui on est bien pour parler

Et se mentir c'est toujour à soi quelque soit la personne qu'on a devant soi. 



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Dragonne
Invité
« Répondre #34 le: 02-11-2007, 21:41 »

Ben là, je ne vois pas pourquoi il serait plus difficile de mentir à un psy qu'à un proche.  Perso, j'ai plus facile de raconter mes problèmes à une personne qui m'est chère et que je sais qui me comprends qu'à un inconnu. Mentir à un proche, j'aurais beaucoup plus de mal qu'à un inconnu dont j'en ai rien à faire : je crois qu'en fait tout est là, le fait de savoir avec qui on est bien pour parler

Et se mentir c'est toujour à soi quelque soit la personne qu'on a devant soi. 

Le probleme du proche c'est que tu peux avoir tendance a prendre en compte son ressenti quand il parle. Donc, ca biaise.
Ensuite, le proche il peut te parler de lui au lieu de te parler de toi, chose que normalement les psys ont appris a ne pas faire.
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« Répondre #35 le: 02-11-2007, 21:42 »

Exemple tout bête..Tu croises une amie, tu ne souhaites pas lui refiler tes soucis..Tu lui signales "tout va bien"..Chez un psy, je me vois mal lui dire "tout va bien"..Je ne sais pas si tu vois la différence...
Lorsque tu parles à une amie, tu ne t'écoutes pas obligatoirement, tu poses, tu débites, tu attends de l'écoute, des conseils. Chez un psy, tu t'écoutes, et tu es la seule à trouver ta solution. Certaines personnes ont la capacité de faire ce travail seule, pour moi, je n'étais plus capable de le faire seule, hors dans la vie, ce n'est pas aux autres de trouver la solution mais c'est à toi, et toi seule de la trouver (sinon je ne t'explique pas les différents sons de cloches que tu peux obtenir). Tu auras tendance à un jour blanc, un jour noir, selon la personne que tu croiseras, à prendre un peu de ce met, puis de l'autre, et toi, là au milieu, tu souhaites quoi réellement. Tu as écouté les autres et toi, as tu entendu ta réelle demande ? celle que tu refuses finalement d'entendre...

Pas besoin de voir un psyu pour s'entendre, comme je l'ai signalé certains ont cette capacité de le faire. Aujourd'hui, je suis capable de savoir, ce que je désire ou pas, de refuser ce qui peut me contrarier et de savoir que je dois dans un premier temps m'écouter et ne pas écouter la demande des autres (ce que ne veut pas dire que je ne les entends pas).

Ne t'inquiète pas Lady Q, je ne t'imposerai pas une visite obligatoire chez le psy Wink. Chacun est libre de choisir sa méthode. Pour moi, elle a été bénéfique, c'est l'essentiel et le plus important.

« Dernière édition: 02-11-2007, 21:59 par Petite Sorcière » Journalisée

Les confidences de Mademoiselle La Teigne
qqqqqqqqqq
Invité
« Répondre #36 le: 02-11-2007, 21:59 »

j'ai déjà été voir un psy et j'en suis ressortie en me disant que pour me dire ce que je savais déjà, je n'avais pas besoin de lui et que ce ne serait pas lui qui m'aiderait.

Par contre, j'ai rencontré des personnes qui m'ont fait avancer soit en me disant certaines vérités qui sur le coup n'ont pas fait du bien mais qui m'ont fait réfléchir et avancer dans la bonne direction. alors oui, je reste persuadée que pour moi, c'est la solution qui me convient.

Par contre, je ne dis pas que c'est la seule ni la meilleure
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« Répondre #37 le: 02-11-2007, 22:00 »

j'ai déjà été voir un psy et j'en suis ressortie en me disant que pour me dire ce que je savais déjà, je n'avais pas besoin de lui et que ce ne serait pas lui qui m'aiderait.



Simple curiosité...tu es libre de répondre ou pas..Elle a duré combien d'années ?

Remarque, elle peut être posée à toutes celles/ceux qui ont fait une psychothérapie..
Personnellement, elle a duré plus de trois ans.
« Dernière édition: 02-11-2007, 22:04 par Petite Sorcière » Journalisée

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qqqqqqqqqq
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« Répondre #38 le: 02-11-2007, 22:06 »

je te réponds par mp
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meetchu
Invité
« Répondre #39 le: 02-11-2007, 22:17 »

Lorsque tu réalises que cet inconnu c'est toi..et oui il faut savoir que tu n'ouvres pas les portes au psy, mais finalement c'est toi qui t'ouvres tes propres portes ...

A un proche, il est très facile de mentir par omission..mais lorsque tu vas chez le psy, tu sais pertinement que si tu ments, ce n'est pas à lui, mais à toi. Le but s'est de s'écouter, pas de déposer son paquet de linges sales et de se dire "il en fait ce qu'il en veut"...

 salut
Je cite seulement ce message, mais ça vaut pour les autres
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Malbak
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Poudre d'étoile récoltant de la lumière d'étoile


« Répondre #40 le: 03-11-2007, 02:08 »

Je ne suis jamais allé chez un psy... à part pour me faire réformer après incorporation... je sais plus quel genre de psy c'était... je lui dois 10 mois de liberté...

Je n'ai jamais ressenti ce besoin, d'aller me "confesser"...  j'ai un peu l'impression que c'est devenue une "mode"... à certaines époques, les gens allaient parler aux sorciers, puis les prêtres... maintenant les psy...

Je n'ai vraiment rien contre ceux qui vont en voir... s'ils en ont besoin, qu'ils sont capables d'y aller... le suis-je?... en ai-je besoin?... pas pour le moment... j'ai su faire face à mes peurs, mes craintes, mes angoisses, tout seul... avec l'aide que l'on a pu me donner et les ondes positives que j'ai pu ressentir, acquérir là où j'ai pu, comme j'ai pu...

Je vis sans...
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Lorsque le pouvoir de l'amour surpassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Sri Chinmoy Ghose)
Boblecafard
Invité
« Répondre #41 le: 03-11-2007, 08:43 »

De plus en plus, on a recours au psy pour un oui ou un non que ce soit pour traverser une période difficile de sa vie ou un petit ennui avec ses enfants.

Est-il encore possible de vivre bien et normalement sans avoir recours à un psy ?  Parfois le simple fait de dire, "moi je n'en veux pas, envie de m'en sortir toute seule" semble incompréhensible à certains.

Le fait de refuser "l'aide" d'un psy est-elle si étrange que çà ?  Vouloir surmonter les épreuves de la vie seul uniquement entouré de ses amis, est il surprenant ?



Il existe des moments où l'on n'a plus le choix : on ne peut tout résoudre seul, et souvent faire ce calcul peut s'avérer dévastateur.

Un psy permet de nous poser les bonnes questions. D'aborder un problème sous des angles que nous n'aurions pu envisager seul. Il ne nous connait pas, contrairement à nos amis, et donc ne nous juge pas.

Il n'y a pas si longtemps, celui qui allait voir un psy était jugé comme fou. Aujourd'hui, les mentalités évoluent. On est encore loin des Americains qui consultent pour un oui pour un non, mais je constate qu'en disant autour de moi que j'étais suivi par un psy, je n'ai pas été jugé négativement.

Journalisée
qqqqqqqqqq
Invité
« Répondre #42 le: 03-11-2007, 10:11 »


Un psy permet de nous poser les bonnes questions. D'aborder un problème sous des angles que nous n'aurions pu envisager seul. Il ne nous connait pas, contrairement à nos amis, et donc ne nous juge pas.


Un ami, çà juge ? je n'en suis pas sure

un ami, aussi, peut poser les bonnes questions et te dire les choses sans détour : la seule différence me concernant, c'est qu'un ami pourra à peu près tout me dire, çà ne me fera peut etre pas plaisir sur le coup mais j'y réfléchirais.  Par contre, d'un étranger, je n'accepterais pas tout, je risque en plus de l'envoyer paître ou de ne plus y mettre les pieds.

Je pense que la différence est là : savoir face à qui et de qui, on est capable d'entendre les choses

Journalisée
isabelle183
Invité
« Répondre #43 le: 03-11-2007, 14:01 »

Remarque, elle peut être posée à toutes celles/ceux qui ont fait une psychothérapie..

Moins de deux ans pour une analyse complète en mettant sur table tout et tout de suite.
Mais il est facile de parler de soi quand il n'y a pas souffrance...
Sinon pour mon accident une dizaine de séances avec un psychiatre.

Un ami, çà juge ? je n'en suis pas sure

Moi non plus.

Journalisée
Boblecafard
Invité
« Répondre #44 le: 03-11-2007, 14:35 »

.../...
Moi non plus.

Non seulement j'en ai vu qui jugeaient, mais en plus ils condamnent parfois....
Journalisée
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