NUTS - Nos Univers Très Sexy
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Auteur Fil de discussion: Désir ou absence de désir d'enfant... le déclencheur ?  (Lu 15504 fois)
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Camille
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Parfois il vaut mieux aoir la paix qu'avoir raison


« Répondre #30 le: 30-03-2007, 18:39 »

Je me demande "ah oui, un enfant, et qui va me le garder lorsque je vais faire du sport, partir en vacances, bringuer le soir", cela implique de vivre que pour son enfant, et honnêtement, faire "se sacrifice" me paraît plus difficile aujourd'hui, qu'hier.

Quand on vraiment envie d'enfant tout ca nous passe a 3 km au dessus da la tete
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« Répondre #31 le: 30-03-2007, 18:41 »

Quand on vraiment envie d'enfant tout ca nous passe a 3 km au dessus da la tete

Je sais, donc cela confirme que je ne désire pas d'enfant.
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Les confidences de Mademoiselle La Teigne
Dragonne
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« Répondre #32 le: 30-03-2007, 19:42 »

Je me demande "ah oui, un enfant, et qui va me le garder lorsque je vais faire du sport, partir en vacances, bringuer le soir", cela implique de vivre que pour son enfant, et honnêtement, faire "se sacrifice" me paraît plus difficile aujourd'hui, qu'hier.
Euh... ca c'est vrai les premiers mois (surtout si tu allaites...) mais apres, ca s'autonomise un ch'tiot. Ca se fait garder toussa toussa. A mon avis il ne faut surtout pas sacrifier sa vie.
Les femmes que je connais qui ne voulaient pas d'enfants (dont ma soeur) et qui ont change d'avis sont les pires meres-poules que je connaisse... comme quoi...  angel
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vette
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« Répondre #33 le: 30-03-2007, 23:07 »

C'est pas du tout une obligation d'en avoir envie. Et il n'y a aucune culpabilité à avoir à ce sujet.
Je dirais même plus, je pense que certaines femmes ne sont pas faites pour avoir des enfants. Peut-être que leur métabolisme ne s'y prête pas, peut-être qu'il n'y a pas qu'un aspect psychologique, mais une sorte de prédestination biologique.

En ce qui me concerne, j'ai eu très jeune l'envie d'avoir des enfants, plein d'enfants. Et c'était sans doute une envie plus intellectuelle qu'autre chose.
Et puis un jour, j'en ai eu physiquement envie. Comment ça se manifestait ? en fait pas par une envie d'enfant, mais pas par une envie de grossesse. J'avais envie d'un gros ventre, de gros seins. Envie d'accoucher. J'en rêvais la nuit, mais la projection dans le futur n'allait pas plus loin que la grossesse elle même.
L'envie précise d'enfant est venue pendant ma grossesse.
Je pense aussi que j'étais biologiquement destinée à en fabriquer : ma grossesse a été particulièrement harmonieuse, mon accouchement exemplaire. Et un truc dingue, à 50 ans, alors que je n'ai jamais eu d'autre enfant que mon fils qui va bientôt avoir 27 ans, j'ai encore du lait !!!  si ça c'est pas de la prédestination biologique  Hih
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« Répondre #34 le: 31-03-2007, 10:44 »

Eh bien, mes noisettes... ça me rassure un peu de voir que je ne suis pas la seule à ne pas avoir envie d'enfants... Je m'étais déjà un peu exprimée là-dessus sur un autre post je sais plus où...
Jusqu'à très récemment, je pensais vraiment que j'aurai un/des enfant(s) un jour... mais je pensais ça parce que je croyais que c'était NORMAL de penser ça...
Quand je vois un bébé, je trouve ça mignon... 5 minutes... parce que je ne suis pas obligée de m'en occuper - de me lever la nuit, de m'inquiéter pour lui (parce que je suis du genre à m'inquiéter pour bcp de choses de toutes façons Undecided), etc... - je n'ai pas forcément envie de le prendre dans mes bras... Avec les enfants plus grands, je me sens mal à l'aise... je sais pas comment leur parler, quoi leur dire, comment me comporter... je suis très en retrait... j'observe comment ils se comportent... parfois je les trouve mignons mais bon... [émoticone qui hausse les épaules]

Si je décortique un peu, je crois que j'ai peur de toute la responsabilité... les responsabilités et les sacrifices que ça implique... (si je veux reproduire le modèle de mes parents qui ont vraiment "vécu pour nous"... maintenant, ils vivent plus pour eux... même s'ils restent encore très disponibles pour nous...) Pour moi, un enfant, c'est synonyme d'absence de liberté, de flexibilité... c'est une sorte d'esclavage en fait...  Undecided
Mes bébés, ce sont des bébés de papier - mes livres, mes dessins... ils sont bien sages, ne me réveillent pas la nuit... ils me libèrent et me font devenir moi-même...

Par rapport au fait de ne pas avoir rencontré l'homme qui m'en donne envie... ça m'est arrivé une fois, il y a deux ans... cet homme-là m'a donné envie de faire un enfant - je visualisais super bien cet homme, avec un bébé dans les bras, notre bébé... J'avais jamais ressenti cette évidence  Huh Mais lui n'a pas voulu continuer notre histoire...  Sad et nous n'en étions pas arrivés au stade de la question du bébé...

Je crois aussi que je suis toujours une enfant moi-même...  Embarrassed Est-ce que ça veut dire que le fait de devenir parent nous fait perdre à jamais une certaine forme d'insouciance reliée à l'enfance? Je crois que ce serait le cas pour moi... et je ne suis pas prête à perdre cette partie de moi.

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« Répondre #35 le: 31-03-2007, 11:03 »

En fait, ca doit être lié avec notre façon de nous voir, la confiance qu'on a  en nous.

Je pense que la confiance en soi joue en effet pour beaucoup dans toussa  ouioui... et puis aussi la capacité à faire des concessions (et ça franchement, c'est pas trop mon fort  Embarrassed [émoticone qui se cache])
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« Répondre #36 le: 31-03-2007, 11:38 »

Moi je pense à l'enfant, qui n'a rien demandé et qui n'a pas à subir mes doutes, interrogations, névroses et autres facettes de mon "moi"!!!!
Que tu n'aies pas envie d'enfant c'est pas en soit discutable. Mais cet argument là euh...

Si je te suis, seuls les gens parfaits seraient des géniteurs nickel chrome?

A partir du moment ou l'on est quelqu'un de sensé, capable de prendre des décisions, c'est je pense suffisant. Je ne connais personne qui est un père ou une mère parfait, c'est comme le Père Noel: ca n'existe pas.

De meme, aucun enfant n'a demandé à venir sur terre. Sauf si tes ovules parlent, spa possible  roll
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« Répondre #37 le: 31-03-2007, 14:31 »

Mais je ne pense pas que le désir soit tant que ça d'ordre biologique mais repose sur une prise de conscience de cette vérité là et sur la façon dont on se place vis à vis de la transmission.



Je pense que les deux sont intimement liés. De la même façon que nous avons l'instinct de suvie personnelle, nous avons l'instinct de survie de l'espèce.
Le plus souvent, il se manifeste par un désir d'enfant. Parfois autrement : par exemple par le fait de vouloir laisser une autre trace, artistique, littéraire, humanitaire.

Et je suis d'accord avec hot : il n'est pas nécessaire d'être soi-même parfait pour avoir le droit d'engendrer.
Je pense qu'on nous a un peu trop farci la tronche avec de la psychologie de magazine sur la responsabilité des parents dans l'éducation, etc ....

Un enfant n'est pas une création personnelle que l'on façonne à son gré. Il a sa vie propre, sa personalité propre.
Ce que nous transmettons remonte bien au delà de notre seule génération. Ce que nous transmettons, c'est toute l'histoire de l'humanité.
Bien sur, on essaiera tous de faire au mieux. Mais les conditions idéales pour faire un enfant ne seront JAMAIS remplies.
A mon avis, ce ne sont que des pretextes, même si on est complètement sincère en en faisant des barrières.
La vraie question c'est de savoir si on en a envie ou pas.
Et je le répète, pour moi, ce n'est pas une obligation. J'ai des amies qui ont fait le choix de ne pas en avoir, parcequ'elles avaient choisi un mode de vie dans lequel un enfant n'aurait pas eu sa place ( vie nomade, travail à l'étranger, voyages)
Il leur arrive parfois d'imaginer ce qu'aurait été leur vie si elles avaient eu un enfant, c'est possible qu'il y ait parfois une once de regret. Mais si elles avaient fait le choix inverse, c'est leur vie de nomade qu'elles auraient probablement regretté.

Quant au fait de ne pas ressentir grand chose au contact des enfants des autres, ça ne me semble pas particulièrement révélateur. Justement, ce sont ceux des autres. Il y manque l'ingrédient essentiel : l'amour.
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« Répondre #38 le: 02-04-2007, 09:46 »

Pour rebondir sur la derniere phrase de Vette: Oui ca a été exprimé plusieurs fois dans ce sujet et c'est aussi ce que j'ai ressenti moi meme: une magie, un lien quelquechose d'indicible en fait. Je pense que cela peut se traduire pour une fois en utilisant un lieu commun, par ce que je ne connais rien de plus juste Ma chair et mon sang

Ca c'est produit chez moi le jour ou lors de la premiere echographie j'ai vu le pouet pouet du coeur qui battait: un con de pixel sur l'écran qui m'a completement bouleversé.

Apres sa naissance ma vision des enfants des autres a beaucoup changé. Deja beaucoup plus de tolérance par ex pour les bébés qui chialent: c'est devenu chez moi un bruit comme le vent dans les arbres: quelquechose qui existe et c'est comme ça.
Beaucoup moins de tolérance pour les parents que j'estime laxiste aussi. Ca je crois que c'est lié au concept qu'on a de la "juste" éducation.

Entendons nous bien: l'argument je fond devant un bébé ca n'a jamais été mon truc, pas plus à présent qu'avant, et j'ai toujours trouvé les gonzesses et leurs ouakilémignoooon assez nunuches et pas du tout à leur avantage dans cette situation. Je ne gagate pas et je ne l'ai jamais fait.
Par contre qu'une vie soit le prolongement de la mienne ca: oui.
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« Répondre #39 le: 02-04-2007, 10:46 »

Pour rebondir sur la derniere phrase de Vette: Oui ca a été exprimé plusieurs fois dans ce sujet et c'est aussi ce que j'ai ressenti moi meme: une magie, un lien quelquechose d'indicible en fait. Je pense que cela peut se traduire pour une fois en utilisant un lieu commun, par ce que je ne connais rien de plus juste Ma chair et mon sang

Ca c'est produit chez moi le jour ou lors de la premiere echographie j'ai vu le pouet pouet du coeur qui battait: un con de pixel sur l'écran qui m'a completement bouleversé.

Apres sa naissance ma vision des enfants des autres a beaucoup changé. Deja beaucoup plus de tolérance par ex pour les bébés qui chialent: c'est devenu chez moi un bruit comme le vent dans les arbres: quelquechose qui existe et c'est comme ça.
Beaucoup moins de tolérance pour les parents que j'estime laxiste aussi. Ca je crois que c'est lié au concept qu'on a de la "juste" éducation.

Entendons nous bien: l'argument je fond devant un bébé ca n'a jamais été mon truc, pas plus à présent qu'avant, et j'ai toujours trouvé les gonzesses et leurs ouakilémignoooon assez nunuches et pas du tout à leur avantage dans cette situation. Je ne gagate pas et je ne l'ai jamais fait.
Par contre qu'une vie soit le prolongement de la mienne ca: oui.

C'est exactement ce que j'ai ressenti à la naissance de mes filles, j'avais d'ailleurs déjà posté sur le sujet, j'avais ressenti quelquechose de vraiment particulier en découvrant ce petit être lors de l'accouchement.
Un tel boulversement sur l'instant, un tas de choses se produisaient en moi, comme une révélation, un accomplissement, investi d'un seul coup d'une mission sacrée.
Comme le dit Hot "Ma chair, mon sang", difficile à définir mais quelquechose qui tourne autour de l'existenciel, quelquechose qui venait d'être activé en moins, comme si mon existence devenait transposée à travers la leur jusqu'à ressentir à l'instant même où j'écris ça, que je renonçerai sans aucun doute, sans aucune hésitation à ma propre existence si je devais être confronté à une situation qui l'exigerait afin de préserver la leur.
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« Répondre #40 le: 02-04-2007, 10:52 »

Très intéressant tout ça... Tout le monde est d'accord sur le fait qu'avoir un enfant vous change profondément. Ce n'est pas sur ceci que portait ma question mais cela reste intéressant. Il paraît plus difficile d'expliquer ce qui mène à l'envie d'avoir cet enfant.

Peut être que mes interrogations sont sans réponses...

Il est très rassurant de savoir que je ne suis pas la seule à ne pas connaître ce désir.
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« Répondre #41 le: 02-04-2007, 10:58 »

A moi de m'exprimer: Comme beaucoup save j'ai gaminou 9 ans j'étais dingue amoureuse de son pere qui voulait absolument avoir un enfant, pour moi c'était presque naturel d'avoir un enfant de lui, mais je me souviens que je n'avais pas cette envie absolu d'avoir un enfant il est né , je l'aime et tous les jours je me dis que j'ai de la chance de l'avoir!
Par contre je suis toujours dans le meme esprit, pas envie d'avoir d'autres enfants, En fait ce que j'aimerais c'est avoir une fille mais qui a direct voir 6/7 ans
Meme si j'ai été émue lors de l'écho .... pour moi ma grossesse n'était vraiment pas une partie de plaisir!! quand aux années bébés arheu couche,  biberon, j'ai tenté de les vivre a ofnd pour ne pas le regretter mais ce ne sont pas les années que j'ai apprécié j'ai jamais compris vraiment pourquoi
Mais ce que j'aime c'est l'age ou je peux lui faire découvrir tout plein de chose et lui demander son avis le cultiver surtout en fait!
Je ne pense pas que j'aurais d'autre enfant , car faut jamais dire jamais, mais je n'en ressent pas du tout l'envie, enfin si un peu mais plus grand sans la grossesse ce serait mieux!

Par contre je n'ai jamais changé mes habitudes car j'avais un enfant, j'ai surtout adapté ma vie selon, mais je n'ai pas réduit mes sorties a cause de lui , les restos je l'emmenais avec moi s'il dormait il avait de quoi dormir et puis c'est tout, et je trouve que ca l'a beaucoup sociabilisé d'avoir tout fait comme ca
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« Répondre #42 le: 02-04-2007, 11:30 »

Par contre qu'une vie soit le prolongement de la mienne ca: oui.

Marre de plussoyer chaque fois que tu prends ta plume. Smiley

Un petit mot pour dire que pour moi ça va même plus loin que ça (au niveau philosophique). N'étant pas croyant, je ne crois pas à la survie au delà de la mort étoussa. La seule survie que j'envisage et : soit génétique (par le biais de ma progéniture), soit symbolique (par le truchement de la célébrité). Mes enfants représentent vraiment une espèce de « bout de moi » qui m'est indépendant tout en m'étant directement, profondément, lié. Ils sont mon paradis athé à moi, en quelque sort. C'est un truc de psychopathe mais c'est comme ça que je vois « mes petits bouts ».

Le psychologue de comptoir ferait probablement le lien peur de la mort/désir d'enfant. Mais je déteste la psychologie de comptoir.

[Z].
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Bone Collector


« Répondre #43 le: 02-04-2007, 11:33 »

Ca me fait penser à un truc horrible (à mon sens) que m'avait dit un de mes collègues de travail lorsque nous avions discuté des enfants : "Mais tu n'auras personne pour fleurir ta tombe Huh"
Ben non. Et alors ?
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« Répondre #44 le: 02-04-2007, 11:34 »

La procréation est liée a notre rapport à la mort , c 'est une simple évidence dont personne ne parle , moi à une époque je ne voulais pas donner la vie car c 'était aussi donner la mort , et c 'est pas facile d 'être mortel, voulais pas faire çà a mes enfants  .

 Il faut donc une bonne dose d 'égoisme et de gout pour la vie pour se décider a avoir des enfants , il faut aussi penser qu 'on vaut la peine de s 'inscrire dans la postérité , ca va pas de soi !

Ca c 'est la dimension philosophique a deux balles mais ca m 'a toujours surprise qu 'elle soit tant occultée
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