NUTS - Nos Univers Très Sexy

J'allais répondre oui pour moi aussi, mais j'ai réfléchi  8)
Si c'est crescendo ca le fait grave

Exemple :
le monsieur mord bien fort les tétons direct bof j'ai mal c'est tout, par contre si il passe par une phase d'excitation par la douceur, genre il me caresse les seins, suçote le téton, aspire de plus en plus fort (rhâââ jamais assez fort ca ! ), mordille, léchouille, re suce mordille et quand le décollage s'amène il mort carrément j'ai mal mais ptain que c'est bon.

Pareil la fessée, il claque des grands coups direct j'ai mal c'est tout, j'ai qu'une envie me barrer, mais si  il caresse, masse, voir pétri, qu'il claque doucement, re caresse, re claque, bisouille, claque et claque encore ca pique ca chauffe ca fait pas mal, il me voit me cambrer et m'offrir, il sait que là c'est bon je prends du plaisir et en apothéose il en balance de ou trois bien senti vouf  :P ben y pas a dire j'ai eu mal mais c'est bon.

Et vous ?

pareil... 8)

mais je me place du coté du bourreau  :P

Concernant les seins, il arrive à Chéri d'y aller fort mais systématiquement, dès que ça me fait mal, je lui dis d'y aller doucement...

Je réfléchissais à tout ça (sisi, ça m'arrive  ;D) et je me disais qu'il est bien possible que je me sois conditionnée pour rejeter la douleur...

J'essssssplique:
Qaund j'étais gamine, j'étais tout le temps malade, fourrée à l'hosto, etc. Bien que je ne m'en souvienne pas vraiment, je sais que ce n'était pas des parties de plaisir. Du coup, il est bien possible que dans ma tête: douleur = mauvais souvenirs = rejet, tout simplement.

Oui, il est bien possible que ceci explique celà.

Pour l'accouchement, je crois bien que chaque femme ressent les choses différement.
Pour moi, et sans doute que j'ai eu de la chance, je m'étais mentalement préparée à m'ouvrir sans douleur. Parce que je rejettais en bloc le trop célèbre "tu enfanteras dans la douleur".

Je me souvenais des propos de ma mère qui était fière d'avoir eu mal, parce que ça lui donnait un grade supplémentaire dans son statut de femme. Elle avait décidé de souffrir en silence pour montrer à quel point elle était courageuse : du coup elle s'empêchait de respirer, ses muscles étaient mal oxygénés, le travail se faisait mal parce qu'elle l'empêchait de se faire, et du coup, ça a été beaucoup trop long.

Moi, j'étais calme, détendue, fin prête. J'ai laissé les ondes des contractions me traverser, m'ouvrir. Elles étaient énormes, mais pas du tout douloureuses. Pourtant, je sais que la douleur n'était pas loin. Elle m'aurait envahie si je m'étais bloquée, si je m'étais refusée à ces ondes.

Les parois vaginales sont au moment de l'accouchement lubrifiées par une substance qui non seulement les assouplit, comme le dit Hot, mais aussi le anesthésie.

La seule sensation désagréable que j'ai ressentie, c'est juste avant, une espèce de mal aux reins, qui finalement était bien moins fort qu'après une journée de vendanges. J'ai changé de position, et c'est passé.
Donc, pour moi, ça a été un moment agréable, magique, et que j'ai trouvé presque trop court. J'en aurais bien voulu encore un peu.
Et non, je ne suis pas une martienne.  ;D

Si, si !  ;D

Le plaisir dans la souffrance...uhmmm moi elle est différente, elle n'a rien à voir avec le côté physique mais plus psychologique.
J'ai longtemps aimé souffrir dans mes relations, rapport de destruction. Je me sentais bien que dans ce plaisir.
Les marques ne sont pas visibles, elles sont internes. L'intensité est très forte (les sensations lors d'une rupture, vous voyez)...le coeur serré, les crises d'angoisse...Me mettre en danger psychologiquement, effleurer mes limites.

Evidemment la douleur n'a rien à voir avec le brûlure de cigarette, encercler des seins..Elle est "similaire" dans les sensations.

Non, les martiennes, elles, elles ont des os verts.

La seule douleur que j’arrive à érotiser c’est la fessée. Sinon que de la douceur.
Je pense que la fessée tient une place à part entre s/m et sexualité classique.
Ce qui est intéressant c’est que cette pratique est bien expliquée dans les extensions du Kama Sutra, sans contexte punitif et blabla dominant/dominée.

Pour moi, la fessée, la cravache n'a aucune symbolisation dans "ma souffrance" donc le plaisir n'existera pas, car aucune référenc. Mon petit cerveau n'aura jamais connu ces informations de douleurs physiques, donc je ne retireri aucun plaisir.

Elle doit représenter "une référence" passée, pour vivre le même état de "plaisir".

Parenthese: j'ai vecu mon accouchement comme celui de vette... sauf que j'ai eu cette ... de douleur dans les reins pendant tout le long et c'est ca que la peridurale a calme.

Bref, revenons a nos moutons qui ont mal ou font mal. En fait je me suis rendue compte que la douleur pouvait etre un declencheur de "lacher-prise" chez moi et donc me faire jouir. J'esplik: au moment de la montee du plaisir, les derniers instants sont chez moi legerement dans la retenue (ca va etre bon, ca va etre bon, ca va etre trop bon!), si jamais a ce moment la, on me fait un peu mal, je lache tout d'un coup parce que mon esprit part sur "aie mais ca fait mal!" et du coup mon corps fait "youpi!".

Je prtique la fessée et j'eprouve du plaisir quand ma partenaire en eprouve sous la fessée ;)

me faire caresser les seins puis lecher, puis pincer et encore caresser puis embrasser et mordre, le tout de plus en plus fort jusqu'à la douleur, ça provoque un plaisir intense chez moi  ;)

Caresser ses tétons puis lécher, puis pincer et encore caresser puis embrasser et  mordre, le tout de plus en plus fort jusqu'à la douleur, ça provoque un plaisir intense chez moi  ;)

Je ne vous raconte pas l'effet que ça me fait quand j'effleure en mordillant son sexe tendu rhaaaaaaaaaaaaaa !!
 xtfr2e

 xs00 :P

Pas mieux.

Autant je ne suis pas du tout fan de tout ce qui est fessée etc, autant j'avoue que sur les seins, j'aime les stimulations fortes :P

Et le seuil de douleur quand pousse on un peu au sport... on en retire du plaisir finalement si non on y retounerait pas  xs11