Good for you.
Rien n'est jamais facile dans ces choses là, et tu n'as sans doute pas choisi le plus simple.
Mais la façon dont tu en parles, les mots que tu choisis, la détermination et la sérénité que l'on entend derrière tout cela, je ne sais pas, je trouve ça plutôt rassurant.
A la hache, et sans pleurnicher.
De tout coeur avec toi, je vous souhaite de trouver votre chemin.
J'ai beaucoup appris sur moi même, et surtout, j'ai beaucoup réfléchis, en mettant de coté l'emotionnel
Et surtout, surtout, je me sens libre. D'être avec lui, ou sans lui. Et ça, ça change TOUT.
Et non, je ne choisis pas la facilité, il est malade, il doit prendre des médicaments à vie. Mais le diagnostic est là, et ça explique son comportement passé.
Et je fais un choix, et surtout, surtout,
j'assume. Parce-que faire un choix est une chose, en assumer les conséquences est tout autre chose.
Après, et cela pourrait faire un sujet, ma question a été, longtemps, qu'est-ce qui fait qu'on décide de vivre un amour ou de ne pas le vivre?
Parce-que oui, j'aurais pu dire, ciao, t'as merdé, t'es pas superman, tu ne m'offres pas le caviar et tutti quantti, tu es fragile, etc etc, alors je te zappe parce-que j'espère que je croiserais un jour le chemin de celui qui saura me combler. Sauf que aujourd'hui, celui qui est sur mon chemin et que j'aime, et qui m'aime, et bien c'est lui.
Alors on fait quoi dans la vie? On attends le mieux ou on prends et on tricotte avec ce qui est là et quand on le regarde bien ce qui est là, malgré tout ce qui peut dire qu'il faut qu'on se tire à toute jambe, quand on regarde bien, on se rends compte que l'amour est là...
Alors, j'ai fais mon choix.
Parce-que je continue à choisir par amour, c'est plus important que tout le reste.