Bien le Bonjou Ratousse,
Sacha Guitry disait:
Je conviendrai bien volontiers que les femmes nous sont supérieures si cela pouvait les dissuader de se prétendre nos égales. Propos légers et drôle de la part d'un homme plein d'esprit qui aimait les femmes.
Et puis ça reste vrai.
Des fois quand je lis certaines réactions sur le ouèbe dans la presse ou a la téloche je suis sur le cul. Je crois que jamais nous n'avons été plus dans le politiquement correct qu'aujourd'hui.
Prenons par exemple l'abolition du Mademoiselle dans les pré imprimés administratifs:
Avant; n'importe quel employé mâle de la sécu savait grâce à cette simple case cochée qu'il y avait sans doute là une chaudasse à tirer ou qu'au moins il pourrait la harceler tranquilou sans qu'un époux fâcheux vienne lui péter la gueule. C'était pratique et puis elle ne dirait rien.
Aujourd'hui non, on frise le procès à cause de brouteuses de minou féministes qui se sont démerdées pour nous laisser dans le vague; nous hommes; à qui on demande de repasser du linge en s'asseyant sur les chiottes quand on fait pipi, chiottes d'ailleurs sèches puisque écologiques.
Et puis ça serait bien si on confondait pas la tétine avec la mooncup quand on file le biberon à la petite.
C'est pas tout
Avant on pouvait traiter une femme de pute et sentir un sentiment corporatiste mâle vous envelopper de certitude.
Aujourd'hui non, c'est pas bien de dire ça même quand c'est une grosse pute.
Une petite pute ça dépend, un maigre pute par contre ça n'existe pas, on peut pas dire, c'est le bordel.
Je ne sais plus ou j'en suis avec tout ça d'ailleurs l'autre jour j'étais tellement perturbé que j'ai tout confondu et j'ai fait caca debout.
Et puis j'ai mis de la sciure dans le bib de la petite, rapport à ce qu'il faut sauver la planète. Enfin je sais plus.
Si ça me revient:
Figures toi que pas plus tard qu'hier soir nous avons reçu à la H&N résidence: rien que des filles et moi.
Et là j'ai bien senti la pénibilité de la condition d'homme: j'ai pas plus en placer une.
Il y avait folle du cul, frétillante de sa liberté nouvelle et sa soeur, l'amazone du string
Si tu suis bien ça fait: FdC FLN et AS
FdC est une salope ancienne.
La trentaine pleine fleur elle se tape des mecs comme tu tapes dans un paquet de MnM's en te disant que c'est pas bien mais que c'est drôlement bon.
FLN n'est pas Corse, c'est juste qu'elle a rompu y'a peu de temps alors elle se tape un voisin marié. Mais elle est sure qu'il va quitter sa femme pour elle.
D'ailleurs c'est pas la peine de lui dire que non, c'est juste par ce qu'elle est jeune et jolie, c'est pas vrai,ça se peut pas.
AS, la soeur donc se tape des PCR dont un qu'elle interdit à quiconque équipé de nibars de s'approcher. Il est plus R que les autres celui là mais hors de question de s'y attacher, c'est un PCR, mais beaucoup régulier qwa: tu peux pas comprendre.
Nana avait donc invité ce troupeau à la maison et je me suis retrouvé au milieu de toussa avec la même aisance que si on m'avais drogué puis jeté d'une camionnette en string/bas résille au milieu de la place de la Concorde un vendredi soir vers 16H
Non, bien.
C'est marrant, dans leur propos j'ai pas senti l'ombre d'une souffrance liée à la condition de femme, limite si je me suis pas senti un pwal émasculé: c'est que ça baise ces bêtes là, ça se pose pas de question d'égalité des sexes sauf peut être avec un double décimètre dans un gang bang.
Bref j'ai pu vérifier la citation d' Emile Augier que j'aime beaucoup :
Quand les femmes ne prêtent plus à la médisance elles s'y adonnent Go Nuts!