valà pour la peine le seul texte que j'ai écrit sur la Fée Lation, qui fait suite a celui d'un ami
C'est comme ça que voulez vous j'suis niaise a souhait, je minaude, mais en vrai je suis comme ces petites prudes qui adorent qu'on les appelle "salope"
En vrai je suis bien plus crue, et j'aime qu'on me supplie d'arrêter, parceque je suis tout sauf obéissante alors je continue
"Et si vous êtes à moi, alors que faire, puisque je suis encore tremblante.
Puisque la fièvre habite encore mes yeux, puisque vos yeux me supplient.
Je déposerai d'abord sur vos lèvres un baiser, comme un merci, une reconnaissance, de m'avoir offert la jouissance.
Et puisque je suis tout en douceur, d'abord je caresserais vos cheveux, votre visage, en dessinant chaque contour du bout de mes doigts, j'en apprendrais les courbes.
Mes doigts glisseraient jusqu'à vos lèvres, s'immisçant furtivement jusqu'à votre langue ...
Goutez moi, imaginez comme ces doigts ont put visiter souvent, en me rappelant vos mots, les sources brûlantes que vous même visitiez encore il y a quelques instants.
Délectez vous de moi ....
Et puis mes doigts reprendraient leur course toujours suivies de mes lèvres.
Mes lèvres en douceur, qui s'entrouvrent humides, et ma langue qui se déplie pour vous caresser le cou et la nuque.
Comme il est bon de vous croquer à cet endroit là.
Gouter aussi vos oreilles et leur lobe aimez-vous ça ?
Si tel est le cas, je vous devine mordant peut-être vos lèvre inférieure pour retenir un soupir.
Et je sais déjà votre sexe se durcir ...
Puis je reprend ma course, et c'est votre torse que je visite .
Et mes lèvres et ma langue vous goûtent, et mon front se plisse de désir.
Mes doigts s'égarent, déjà ma douceur s'estompe, je vous griffe il me semble .
Et je descend doucement, encore et encore.
Vos mains me cherchent et me caressent.
Mais comme vous semblez faible ! Presque impuissant et pourtant...
Me voici à votre ventre, que je baise lentement, ma langue se perd autour de votre nombril, puis elle descend.
Nous y sommes presque ... comme vous semblez souffrir !
Je vous regarde droit dans les yeux, mais votre tête retombe.
Alors voici ma langue qui redescend encore, évitant soigneusement votre verge à moi offerte.
J'embrasse l'intérieur de vos cuisses, cela vous chatouille ?
Je n'ai plus envie de jouer, j'ai faim de vous !
Il faut que je vous goût, que je vous dévore.
Que ma bouche vous baise alors ...
Je remonte alors ma langue tout doucement, sur tout son long, du bas vers le haut, un soupir vous échappe.
Enfin! vous dites vous ?
Du bout de la langue j'en fais le tour.
Puis je vous enserre enfin au creux de ma bouche.
Je vous goûte doucement.
Vous gémissez alors je frémis, vous frémissez alors je soulève ma croupe et mon corps, au rythme des mouvements de ma bouche et de ma langue.
Je vous dévore et que vous êtes bon !
Ma main alors rejoint ma bouche.
Pour entourer votre sexe et pour augmenter le plaisir, mes doigts se resserrent, et puis tous les mouvements s'accélèrent.
Votre tête se redresse vous voulez me voir.
Vos mains caressent mes cheveux.
Et j'accélère encore, pour ralentir parfois, puis plus vite et plus fort.
Vos soupirs m'encouragent, vous me complimentez.
Alors je deviens folle, et vous jouissez !
Là dans ma bouche éperdue. "