Je réponds par une photo de mon tableau de bord.
Route, periph'. J'arrive.
En cherchant une place pour me garer, je l'aperçois.
Yerk! C'est pas conforme aux photos ça. Jean/t-shirt/basquettes.
J'hésite à faire demi-tour.
Laisse sa chance au produit.
Je me gare et nous nous rencontrons.
Purée, de près, c'est encore pire!
Difficile de me barrer, maintenant.
On monte chez lui. Je lui demande une minute pour finir d'envoyer des coordonnées à des amis.
Bouteille de vin.
On se met à discuter. C'est fluide, sympa. Il est pas con du tout.
Finalement, on arrête plus de papoter. Ça fait bien 2 heures et demi qu'on discute. Tout y passe : nos souvenirs de guerriers libertins, actu, politique, etc.
Il me parle un peu de sa vie. Il a été cavalier, militaire en pays sensibles et aujourd'hui, il est garde personnel pour personnes fortunées.
Bouteille finie. Il n'a pas tenté d'approche.
Il me propose d'ouvrir une autre bouteille. Saint Émilion 2003.
On continue de papoter. On s'est physiquement rapprochés. Et bim. C'est parti mon kiki.
Il me dessape. Je suis très très à son goût.
Il m'allonge sur son canapé et carrés de tout mon corps avant de glisser son visage entre mes jambes.
Bordel ! Il sait y faire !
Il me fait jouir une première fois.
J'ai à peine le temps de dire ouf qu'il revient à l'attaque.
Cette fois si, je choppe sa main pour qu'il glissé ses doigts dans ma chatte.
Et, arf... Je jouis de nouveau.
Je me tortille dans tous les sens mais il a décidé qu'il allait continuer. Il me bloque (1m85 de muscles...)
C'est reparti !
Ce coup là, ce sont seulement ses doigts.
J'en fous plein le canapé.
Ça le rend complètement dingo de me voir gicler.