Il est trop fort, ce Maupassant.
Dans le même paragraphe, il t'explique que la parole = caca, que l'écriture = good, sauf pour les mecs qui parviennent à raconter de la merde, ces gros connards, même en écrivant et pour les femmes, c'est petites choses sensibles voire un peu connes et naïves, il faut le dire, qui passent leur temps à se regarder le nombril en parlant d'elles, à se demander si elles n'ont vraiment rien d'autres à foutre (alors qu'il y a trois jours de lessive en retard.)
Ok, je grossis le trait et extrapole mais la contradiction est assez flagrante.