Si c'est un velo d'appartement tu ne crains rien.
Soirée sympa hier. Malgré un extinction de voix.
Je branchouille gentiment une jolie bulgare, vieille connaissance, qui me parle de ces voyages en Asie.
J'opine du chef, je ne peux faire plus, j'ai la voix cassée.
Vers 1 heure, je dis au revoir à l'organisatrice de la soirée qui me supplie de rester et m'arrache une dernière danse.
Mais je dois y aller, mon extinction de voix me sert de prétexte.
Je quitte les lieux et traverse le périph en voiture, regagne une villa de l'ouest parisien, non sans avoir laissé un texto à la maîtresse de maison, qui, du coup, laisse sa porte ouverte.
Après un long moment de caresses je lui fourrage la chatte avec les doigts : elle est trempée. Je la prends en missionnaire, à deux reprises, variant à chaque fois l'inclinaison de son bassin, liant ses deux poignets au dessus de sa tête, dans ma main gauche, la droite lui enserrant les fesses.
Quand je libère ses doigts, elle en profite pour me caresser l'anus, provoquant chez moi des cris étonnés et étouffés qui se perdront dans un violent orgasme libératoire.
Nous baisons, nous caressons jusqu'à 06H30, heure à laquelle ses enfants qui dorment au dessus, sont susceptibles de de réveiller.
Cela tombe bien, je dois rejoindre ma femme et les miens.
Je passe par la boulangerie, rentre chez moi, dépose des croissants sur la table de la cuisine.
Ma femme est déjà réveillé. A sa demande je lui raconte brièvement la soirée.
Elle souhaite faire l'amour. Bon, je m’exécute.
A ma grande surprise, je bande encore comme un cerf. Je la caresse selon ses désirs et la pénètre sans plus de cérémonie. Je finis par jouir.
Elle se rendort. Impossible d'en faire autant.
Je suis vidé, je n'ai pas dormi.
Je me lève et avale deux bols de thé, 1 baguette entière plus deux croissants. Je me remplis.
Je baise, je bouffe.
Je vais, de ce pas, aller nager 3 bornes pour me délasser et me changer les idées.
En ce moment, je ne lis pas.
Ce n'est pas grave.
Je sais qu'après cette période de boulimie, je deviendrais chaste, abstinent, concentré sur les choses de l'esprit, la matière intellectuelle, indifférent aux plaisirs terrestres.
Alors, j'en profite...