BH du 10/09/13

[LPF]

Pas du tout. Absolument rien ne l'oblige à prendre ce traitement si elle n'en veut pas. Il doit bien exister autre chose en vente libre, non ? Et rien ne l'empêche de se faire prescrire autre chose par n'importe quel généraliste.

Prescrire du rien pour soulager des douleurs, moi j'appelle pas ça de la médecine.

De la religion, plutôt.

[mescalero]

De la religion, plutôt.

fais gaffe, là ... Tu es sur la mauvaise pente 

[vette]

Rien que des bons souvenirs pour moi. La grossesse, la naissance, l'allaitement.
Quant au sevrage, il s'est fait en souplesse. Je n'ai pas pris de médocs.

Mais, j'étais psychologiquement fin prête à ressentir toutes les sensations non pas comme une souffrance, mais bien pour des sensations physiques très fortes. En gros, je me suis ouverte, sur tous les plans. Et au lieu de me crisper sur ces sensations, je les ai laissées venir comme des vagues qui m'emportaient.
J'avais en moi la conviction très forte et très ancrée que ce que site Mescal était une vaste fumisterie, que je rejettais par tous les pores de ma peau. J'étais fermement décidée à  tout vivre très fort, tout ressentir et tout accueillir.
Je ne sais pas si c'est ça qui m'a aidée à être prête, ou si j'ai juste eu de la chance, ou peut-être aussi que physiologiquement j'étais faite pour faire des enfants, mais tout m'a été bonheur profond.

J'ai ressenti, bien plus tard, des sensations comparables dans le fist.

[Flibette]

Là, je parlais de qqn qui ne souhaitait pas allaiter et qui préfère le biberon et donc chez qui il fallait stopper la montée de lait. Rien à voir avec l'arrêt de l'allaitement.