Encore que se sentir attirante peut parciper au fait de se sentir bien.
+1
et -1
Humeur...
Cet nuit un vieux sage m'a dit... Pas un homme n'osera essayer de rester à tes côtés, tu es trop vivante, trop lumineuse, ta flamme leur fait de l'ombre...
Mais reste toi-même...
Donc je suis condamnée à être seule pour rester moi-même ou à m'éteindre pour que quelqu'un me supporte...
Il n'y a donc personne qui ait assez de couilles pour comprendre que la tendresse tamise tout et que je ne brûle plus quand on me le demande gentiment .
Pour parler de mon mode de fonctionnement : ...la technique du singe ?
Ou la multiplication des pansements post-rupturaux...
Après Sc. (mais après d'autres, j'ai fait pareil...) : trop de colère envers l'orgueuil masculin, alors j'ai ma période lesbos... et comme Carda, l'évocation d'une sexualité hétéro est douloureuse...
Un seul conseil, Carda si tu fais ça, trouve une bi... avec une pure lesbienne, les histoires d'amour peuvent devenir très compliquées et faire énormément souffrir une homo qui elle sera dans l'esprit d'une relation totale...
Ensuite, j'ai une période youpi les mecs parce qu' il a commencé à se savoir que je suis libre !
Je suis un singe agile et il y a beaucoup de lianes dans ma forêt
Peut-être que je ne trie pas beaucoup aussi... l'objectif c'est d'oublier, pas de construire, alors tout est bon... nan pas tout quand même
un peu d'estime de soi fait trier...
Mais on peut se permettre de choisir les plus beaux (même s'ils sont un peu limités au plan cérébral...)
Et fait, j'ai flirté bisou-bisou avec 5 ou 6, mais je n'ai couché qu'avec un seul... un seul mais du sexe complet, avec beaucoup de peps physique, de la tendresse, des rigolades, un désir et une écoute amicale qui perdurent.
Mon ressenti :
Dès les premiers baisers masculins, l'intensité et la douceur des lèvres de Sc. me manquaient, ma bouche n'arrivait pas à se satisfaire de ces nouveaux venus... ma tête était encore avec ceux de Sc.
Pire, quand celui avec qui j'ai couché m'a dit, rien qu'à tes baisers on sent toute ta volupté... arghhh (ça m'a propulsée direct dans le passé...)
Et au niveau sexuel, j'ai dû me forcer... pourtant ce gamin a tout pour sexer grave ! Mais à la première pénétration,
juste au seuil, j'étais très excitée et mouillée physiquement, mais putain c'était émotionnellement très difficile de passer le cap.
Je me suis fait violence, j'y ai même mis un peu trop d'ardeur pour mon petit corps
Pour essayer d'effacer toute la fluidité animale, la volupté qui contrôle puis emballe la fougue, tout ce que j'avais pu ressentir avec Sc. durant la première année (parce que c'est vrai, la mémoire sélectionne, retient ce qu'elle veut quand elle veut si on la laisse faire, il faut se forcer pour relativiser et se souvenir des moments méprisables aussi...)
J'en suis là, je flirte sans conviction avec quelques uns et je sexe torride avec un bon copain...
Mais il y a des jours très difficiles avec Sc. puisque l'on travaille tous les jours ensemble et que je suis obligée de redéfinir et maintenir une distance de respect et de politesse très ferme (avec ma douceur et mon empathie naturelle, ce n'est pas facile...), parce qu'il se permet sinon des débordements d'exigence et de colère quant à mon travail et ma disponibilité à son égard qu'il ne se permettrait avec aucune autre...
Et que je dois beaucoup me contrôler moi-même car je l'aime encore, je vibre encore parfois juste en le frôlant... et je souffre quand il parrait souffrir (et c'est un excellent manipulateur...)