Bien le Bonjou Ratousse,
En ce jour de reprise du taff pour beaucoup j'aimerais aborder un sujet grave dont on parle peu: le pouce sur la tasse de café.
Force est de constater qu'un homme en immersion dans un milieu de femmes subit plusieurs effets dévastateurs.
Par exemple il cannot parler de voitures: les femmes s'en foutent, de même ne peut il pas parler de foot par ce que la conversation dérivera invariablement sur les cuisses de machin qui sont moins jolies que celles de tel rugbyman, notez de que je m'en tape: j'ai jamais aimé les sports co.
Et puis ensuite il essuiera moult quolibets sur à peu près n'importe quel sujet, car la femme est comme l'oie. Seule elle est adorable et en réunion elle attaque.
Mais c'est ainsi, c'est la nature de la bête, à part constater on ne peut rien faire.
Seulement j'ai senti hier tous les méfaits d'une immersion prolongée, car chacun sait qu'entre autres travers les gonzesses sont nulles en bricolage et peu habiles de leurs doigts en général. Leurs gestes sont imprécis, ce sont des femmes et on leur vend par exemple des perceuses roses équilibrées et légères histoire de leur faire croire qu'elles sauront percer un trou droit.
Mon cul!
Tout ce qui dépasse la taille d'un rouge à lèvres ou; pour les plus habiles d'entre elles; un pinceau à blush, devient un engin de terreur et encore vous noterez que je n'aborde pas la question d'un volant
Bref hier; à mon corps défendant et mon esprit submergé d'imprégnation femelle nocive; je portais mon café à la bouche et foirais mon geste n'utilisant pas l'anse de la tasse mais la tenant comme un verre, trop près du bord.
Le rayon d'une tasse étant plus petit que celui d'un verre je ratais le contact avec mes lèvres (charnues qui sont une vraie invitation au baiser et rendent folles de désir les plus sages des femelles sages) et renversais sur mon menton (surplombant un cou long et fier, marque de fabrique de mon appartenance à une noble lignée qui force le respect de mes pairs)
Et là crac: quolibets féminins, oh lui eh Alzheimer, limite tu veux un biberon etc etc etc
Dommage qu'à la place d'oies, les Romains n'aient pas foutu des dindes dans le capitole
Go Nuts!