Eh oh Kty, tu oublies qu'une règle ici est de répondre à ses propres questions en premier ...
Bon, alors je vais dire deux ou trois trucs...
D'abord, je ne peux garder l'usage de la parole articulée qu'avant...
-juste avant pour un orgasme clitoridien rapide, je peux l'annoncer, je le sens pulser, monter, et je peux le dire... pendant non. Ma bouche se referme et je gémis... je peux penser un tas de trucs très énervés après moi ou mon partenaire... ou me mettre à compter mentalement -c'est ainsi que je sais que je jouis en général avant 180 secondes...
- Si je peux avoir deuxième orgasme clitoridien, j'ai le corps tendu comme un arc entièrement (j'ai intérêt à faire gaffe à l'endroit où je me trouve avant pour ne pas me casser la gueule !!!)
- Pour un orgasme anal... je gueule, c'est irrépréssible. Avec une fin étonnamment douce dans les sensations par rapport à la violence durant le truc... je crois que ma gorge et ma respiration expriment les nuances de ces moments.
- Pour un orgasme vaginal sadépen
...
Si je le sens venir, je supplie mon partenaire de ne pas s'arréter, de ne rien changer...
Si c'est violent je souffle fort, je gémis, je gueule, j'ai envie de tapper un truc ou de l'accrocher... parfois mes propres cheveux...je tremble (avec un squirt, tout mon corps tremble énormément... mon vagin 'expulse subitement le sexe de mon partenaire)
Si il est diffus, il peut me prendre au dépourvu...
- pour les orgasmes les plus profonds... plus de son plus d'image, plus aucun mouvement de ma part, une poupée de chiffon..., un abandon total, impossible parler, de penser, la moindre pensée couperait tout...avant je fais le vide, le calme et je souffle profondément, calmement... Pendant, je ne suis même pas sûre de respirer, il y a juste un grand anneau blanc dans ma tête... je crois que je suis très peu expressive pour ces orgasmes là... je sens le fond de mon vagin s'ouvrir comme une fleur.... je n'exprime rien. Mais ce sont les plus magiques.
Voilà... j"en ai eu des rigolos, mais je garde ça pour la suite du fil si on vrille...