Bonsoir !
Je suis en vacances , certes mais ne peux vriller car je suis en plein traumatisme de la vis ultime ,et non pas le vice ultime ! Comme quoi bricoler vous renvoie dans la gueule votre non-vie de couple avec un bricoleur et votre non-vie de couple sexuellement , bref votre non-vie de couple tout court .
Ce qui , très très concrètement se traduit par "un demmerde toi pour sortir vivante , toi ou le meuble, de l'ultime vis ". Celle de la solitude , du manque de bras , celle ou tu as besoin de trois jambes , quatre bras, deux épaules , dix bites ....
(çà tourne à la partouze , yes !).
Bref ! la dernière vis qui tient tout et que toi tu dois remplacer , seule , je ne cesse de le dire !
Le but étant que le tout ne s'écroule pas en un seisme de ton manque de force et ton regret de ne pas être gymnaste . Une jambe là-bas, un bras ici , une tête en dessous (tiens ! çà ressemble à de la partouze finalement), moi au dessus et à côté .
Dans ces cas là , je me sens ...comment dire.... fatiguée, en sueur (oui çà sent aussi) , en depression, Atlas portant le monde des meubles.
Le pire c'est qu'après m'être sentie si dérisoire de ne pas être fichue de remplacer ,avec classe, une seule putain de salope de vis , je me vois .
Je vois un tableau de Picasso (lequel ? ché plus son nom mais spa l'important). Donc comme un tableau de Picasso ,sta dire un truc ni de face , ni de profil et avec de la geometrie derriere . Stylisé , c 'est moi démontant le lit mezzanine , j'ai pas trouvé plus pertinent.
Toussa pour dire que je suis nase de démonter et remonter des meubles toute seule
, et qu'hélas aujourd'hui c'était l'entraînement , demain , j 'attaque du lourd !
Moralité : à première vis ultime , maries-toi , après c 'est trop tard .
God att