Finalement après avoir lu toutes vos réactions, j’ai le sentiment que la seule chose qui change avec le CPE, c’est l’emballage et pas la situation qui restera globalement la même.
Dans un ou deux ans, on regardera le nombre de CPE créés puisque ça, c’est une mesure objective (et directement mesurable) et pas la situation puisque par essence suivant le point de vue, elle est appréciée différemment.
Les branleurs, resteront des branleurs, puisque de toute façon ils seront virés rapidement et n’auront donc jamais la possibilité d’acquérir un compétence leur permettant de prétendre à autre chose que la précarité (finalement ils n’auront que ce qu’ils méritent).
Aussi, je propose de généraliser le procéder par la création du CDE, le Contrat Dernière Embauche ! Ainsi toute personne surdiplômée accédant à un mandat politique aura interdiction de se présenter pour un second si le bilan de son premier n’est pas meilleur que celui de son prédécesseur (vous me suivez là ? je sais y’a plein de mot et pas beaucoup de vigules).
Maintenant s’il s’agit juste de changer l’emballage, moi j’dis c’est pas de la politique, c’est d’la branlette.
Pourquoi ne pas se poser la question de savoir comment ça se fait qu’autant de jeune arrivent sur le marché du travail sans formation, parce que c’est ça la question, non ?
Au fond si y’a du travail, y’a du travail et on se fout de la nature du contrat ou de son nom, non ?
M’enfin, moi j’dis ça, j’dis rien, j’ai juste l’impression que d’un coté comme de l’autre on se bat pour le principe de donner l’impression d’avoir fait quelque chose alors que la finalité est un statu quo qui change de nom.
En marketing ça s’appellerait pas revoir le pack shot des fois