J'aurais envie de repondre, suite a la lecture et re-lecture de ton texte,
que tu sembles croire,qu un parent se doit d'apprendre,
de donner (des explications, des reponses, un chemin ?)
je pense moi, que ton raisonnement ne peut t'apporter de reponse
dans le sens où :
C'est l'enfant qui nous montre le chemin, celui pour etre son parent
Ton enfant sera unique et tu peux pas "predire" ce qu'il pourrait te dire
(tu n’auras pas « un » enfant, mais il s’appelera X, sera fille ou garcon, enfant de,etc)
Un enfant a besoin d'amour, essentiellement (je suis partisane pour croire
qu'une mere arrive plus que souvent a ses fins pour obtenir ce quelle a besoin pour sa progeniture)
On parle souvent d’enfant de « l’amour » tu sembles l’opposer au « plaisir »…
Un enfant du plaisir, est ce que c’est « mal » ?
Tu parles de voyage, de destination, comme si tu etais le capitaine du navire…
Peut etre es tu aussi passagere…
Il y aurait moins de responsabilités, dans le sens qui semble etre un poids enorme, mais plus une partage, une interaction.
j’entends delit, j’entends vol,j’entends meurtre,
j’entends tes pleurs, melés au sien, et vos coleres respectives que tu imagines
J’entends [ce (desir ?) de] complicité quand tu la connotes « association de malfaiteurs »
Tu mets dans la balance ce que tu perdras, jamais ce que tu gagneras.
Meme hypothetiquement.
Indigne et egoiste…non, c’est trop facile.
Peur de l’inconnu. N’avoir rien de tangible sur quoi baser ta reflexion.
Puisque si cela arrivait vraiment, tu serais tout autre.
La clandestinité, c’est le secret, et non pas l’illegalité, l’illegitimité.
Alors ce petit endormi est ton secret…et ton texte prends une toute autre tournure.
Ta signature :
envol d'une sorcière
Me laisse songeuse…