que voulez vous je suis ne grande sentimentale...puis c'est vrai j'aime aimer
et quand on fait l'amour ..on aime..
pis ça a jamais tuer personne cette chose là..quoique..
on va dire plutôt que je ne crois pas a l'AMOUR..Le truc fort puissant intense et passionnel
je crois au sentiment amoureux, et surtout tellement morflé! AMOUR..je n'y crois plus !
Moi, plus ça va, plus ce serait le contraire. J'crois bien plus à l'amour qu'au sentiment amoureux qui n'est (souvent) qu'une illusion et une projection.
Je suis entièrement d'accord avec Sensualité sur ce sujet
, et je pense que dans l'amour pur il n'y a plus la notion d'attente qu'il y a dans l'état amoureux. Ca va être assez difficile à expliquer pour moi cette notion là.
Explique stp à un abruti de scientifique quelle est la différence stp. J'ai bien une vague idée, mais je souhaiterai ton avis.
J'créerai un sujet tout à l'heure
Bon voilà
J'ai pas une tartine à dire, mais il me semble que la différence essentielle se trouve dans la "conscience". La conscience d'aimer quelqu'un par opposition à l'état amoureux qui se rapproche souvent du "je ne sais pas ce qui m'arrive, c'est dingue, j'avais jamais connu ça, c'est bouleversant, etc".
Les deux peuvent être successifs ou cohabiter, ou encore, le plus souvent (il me semble), l'état d'amour être plus permanent (de par la conscience qu'on en a, quel que soit le contexte, positif ou non, chanceux ou pas-de-bolesque) et l'état amoureux venir et revenir par épisodes, plus ou moins courts.
L'état amoureux peut souvent être, disé-je, de la projection dans le sens où l'autre éveille des choses chez nous que l'on confond avec l'amour, qui peuvent y aboutir mais sont aussi parfois le simple éveil d'une névrose (on en a tous), appuyage sur le bon bouton, mener à une passion aussi, souvent destructrice parce que finalement un miroir de soi-même.
L'amour est autre chose il me semble.
J'vais finir en disant un truc bête. Les hommes dont j'ai été amoureuse, une fois l'histoire finie et digérée, j'ai su que je ne les avais pas "aimés", sans pour autant nier ce qui m'a attirée, hein? L'homme que j'ai aimé (oui le singulier est singulièrement choisi et probant - je précise que je ne parle qu'au passé
), je ne nierai jamais cet amour, ce serait me nier moi-même, comme un blasphème et le pire des mensonges. Cet amour existe toujours et ne peut disparaître. C'est l'essence même de ce qu'il était mêlée à la mienne qui l'a généré.
(juste une petite note sur la première citation: je ne crois
certainement pas que quand on fait l'amour, on aime
)