Moi la mort, je suis contre.
C'est d'ailleurs pour ça que j'ai décidé d'être immortel épicétou.
Bon, plus sérieusement, clair et net que le truc qui me fait flipper en premier ça serait de connaître la mort de mon fils (et des autres à venir, parce qu'on a décidé de pas s'arrêter là.
). Je sais pas comment je pourrais surmonter ça. J'préfère pas y penser tiens.
Sinon, pour ceusses qui ont déjà lu mon UTS savent qu'elle ma marquée, la salope de Camarde, quand j'étais petit puis ado. Mébon, même si j'ai eu du mal à digérer, maintenant ça me permet de relativiser.
La mort elle-même ne m'effraie pas, d'ailleurs je lui pisse à la raie, c'est la souffrance (genre agoniser des siècles avec plein de tuyaux en souffrant, non merci). Une bonne rupture d'anévrisme ou un platane à 250, là ouais, c'est assez rapide pour moi.
Après? On récupère ce qui est récupérable (va pas y avoir grand-chose, j'vous l'dis!) pour les transplantations, on fout le reste dans un emballage en carton recyclé, et roule, crématorium! Tiens, j'en voudrais un qui s'appelle "Le crématorium du moulin", ça serait rigolo.
LPF, qui a pas envie de se retrouver avec un pot de chrysanthèmes sur le bide chaque année.