Toute la suptilité est là, jouer avec des inhibitions et contracdiction interieur.
contraction ou contradiction, ou les deux ?
Moi, j'aime bien qu'on me parle. Pendant les premières années, avec mon homme, j'adorais qu'il me raconte ses fantasmes, et j'adorais lui raconter les miens.
On partait dans un imaginaire commun, style" alors toi tu serais le cow boy, moi je serais l'indien et tu mourrais d'une flêche empoisonnée" mais en version sexe.
A la longue, j'avoue que ça me gonfle un peu, parce qu'on commence à avoir fait le tour de la question en terme de scénari.
L'amant, lui, parle peu, et rarement. Mais quand ça lui prend, sa voix et les mots qu'il dit sont tellement doux que ça me fait décoller.
Avec lui, par contre, je ne dis jamais rien, mais par contre, qu'est-ce que je crie !!!! C'est comme ça, les fists, ça me fait crier.