Moi, j'aime bien qu'on me parle. Pendant les premières années, avec mon homme, j'adorais qu'il me raconte ses fantasmes, et j'adorais lui raconter les miens.
On partait dans un imaginaire commun, style" alors toi tu serais le cow boy, moi je serais l'indien et tu mourrais d'une flêche empoisonnée" mais en version sexe.
Ciment et récrée d'un couple.
Me rappelle trop le mien.
J'adore les débats avant les ébats.
Je n’ai pas de problème d’exprimer mes désirs, mais je manifeste mon côté « j’aimerais que tu me fasse/aimerais-tu que je te fasse…» en tête-à-tête, hors connexion.
J’aime bien définir le cadre d’activité surtout quand il s’agit :
-d’un programme sportif et technique (style chevauché en grand écart, positions qui nécessitent une grande souplesse…).
-d’un programme plutôt polymorphe pervers