Voilà qui semble être un trait de caractère dominant, chez toi.
Quand à ton âge, on dit "depuis quelques années", ça veut dire en gros depuis que tu n'es plus une enfant.
Je crois qu'en fait c'est ça le souci. Si t'as pas envie de faire un effort, tu ne peux pas avancer. Et ça me rend folle d'être comme ça. Si encore ça me posait pas de problème, ben d'une part je ne vous gaverai pas avec ça et d'autre part je ne penserai même pas à m'en plaindre... puisque je serai contente de cet état.
[/quote]Le coup de pied au cul, à mon avis, la vie se chargera de te le donner. Qu'il s'agisse d'une flemme chronique ou d'un étât dépressif, un jour ou l'autre, elle se chargera de te le faire payer.
On s'enlise vite dans le non-faire. Essaie un peu de toujours remettre au lendemain de payer tes factures, par exemple.
Tu vas vite te retrouver dans une impasse. [/quote]
Je fonctionne par obligation. Sta dire que mes factures ben je les paierai toujours. Je me poserai même pas la question de les reporter au lendemain.
Mais il semblerait plutôt que tu omettes d'accomplir les actes qui concernent ton confort personnel, je dirais même ton vital : ménage, repas, etc ...
En gros, tout ce que tes parents faisaient à ta place.
Je n'omets pas puisque je finis quand même par accomplir ces tâches. Partir au boulot alors que mon bol n'est pas lavé... ben je peux pas. Mais je le fais dans l'urgence... quand ça devient impératif.
Alors, soit tu entames une thérapie pour te débarasser une bonne fois pour toutes de cet héritage éducatif dont tu peux admirer les dégats, soit tu estimes que tu peux y arriver toute seule.
Je coche la 2
Dans ce dernier cas, faudrait que tu commences par te fixer chaque jour des petits objectifs. Et les tenir. C'est pour ça qu'il faut qu'ils soient petits, pour commencer, justement pour que tu puisses les tenir.
Tu te fais un tableau bien en vue sur lequel tu notes l'objectif du jour. Quand c'est fait, tu barres, et tu notes celui du lendemain.
Tant que ce n'est pas fait, tu t'interdis de sortir faire la fête, ou voir des potes.
Ca s'appelle l'auto-discipline. A défaut d'avoir inventé la machine à récupérer les coups de pied au cul qui se perdent, faudra bien que tu te les mettes toi-même.
Tout ça je le sais. Ca fait un moment que ça me trotte dans la tête quand même. A une personne dans la même situation que moi, c'est ce que je lui aurai conseillé.
Et maintenant la question est : Qu'est ce que j'attends ? Dès que j'ai trouvé une réponse qui tienne la route : je vous tiens au courant
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