Mon cher plaisir Mon cher plaisir, mon cher émoi,
Je te prie, commande-moi
De sucer ta vulve tendre,
De baiser tes lèvres denses,
Où Cupidon et ses trois soeurs
Ont répandu tant de saveur
Or suce donc, ma douce vie,
Mon doux baiser, ô je t'en prie!
De grâce, rends au moins ce bien
A ton Amant, qui n'est plus sien.
Hé! mon Dieu! qu'as-tu tant à faire
D'oublier ainsi les leçons de ta mère!
Point besoin d'invoquer ce tourment.
Je baiserai plus doucement
Tes petites lèvres vermeilles
Que ne fait un escadron d'abeilles,
Te chevauchant comme sur un lit de thym
Pour cueillir ta manne au matin.
Je plongerai plus aveuglément
Dans ta vulve débordante de lave
Que ne le ferait un essaim de larves
Se vautrant sur le ventre d'une catin
Pour déverser leur semence jusqu'au matin.
Or accouche et laisse que je te touche,
Pour sucer de ta tendre outre
Ce doux nectar si délicieux,
Qui me rend aussitôt heureux
Car pauvre serait ma nuit,
Si ce repas ne m'était encore permis.
Marco Polo ou le voyage imaginaire (poésie: baisers cochons) © 2000 Marco Polo
(et c'est de là aussi que vient le poème de zamoureux...
http://www.marcopoloimaginaire.com/baiser2.htm photos et textes bien sympas
)