poesie

[zamoureux]

Quand les mots s'envolent et s'aiment !

Fais que je te viole, ô mon unique déesse!
Fais que je te baise et change ma tristesse
En plaisir des cieux.
Change ma mort en immortelle vie,
Et fais que repose mon âme ravie
Sur tes seins gracieux.

Mon coeur est tien, du tien je suis le maitre.
Ma semance est tienne, la tienne à moi doit être.
L'amour le veut ainsi.
Tel est mon feu, ainsi es-tu ma flamme,
Et tu dois ainsi, puisque je suis ton âme,
Etre la mienne aussi.

Ne me défends ni ton sein ni ta bouche
Permets, qu'à mon gré je les touche
Et les baise intensément,
Et ce puits profond où ma verge s'épanouit
Il n'y a rien d'autre, je le sais, que ce paradis,
De plus ensorcellant.

Dans le gouffre béant de ta vulve éclose
Je vais cueillant mille et mille choses
Du miel délicieux
Mon palais s'y repaît sans se rassasier
De la douceur d'une sainte ambroisie
Éclipsant celle des cieux.

Je n'en puis plus, mon âme à demi folle
En te baisant de ma bouche s'envolle,
Dans ta vulve en s'excitant
Mon coeur s'agite en vives secousses
Et je me répands en des liesses douces
Geingnant et tremblant.

Quand je te baise ainsi, un gracieux zéphir,
Un petit vent moite et doux qui soupire
Évente mon coeur énormément
Mais il en est de peu qu'il éteigne ma flamme
Que la cruelle chaleur qui dévore mon âme
L'en augmente d'autant.

Ce ne sont point des baisers, ma mignonne,
Ce ne sont point des baisers que tu donnes:
Ce sont de doux appas
Faits de nectar, de sucre et de canelle,
Afin de rendre mon amour éternel
Vif après un tel repas.

Ce sont des moissons d'une Arabie heureuse,
Ce sont des parfums d'une âme amoureuse
Des séjours en ton feu.
C'est un doux air embaumé de paquerettes,
Ou comme des oiseaux inventant les amourettes,
Les plaisirs et les jeux.

Parmi les leurres de ta vulve vermelle,
Mon amour s'envolle comme une abeille,
Amour plein de dangers,
Qui est jaloux des douceurs de ta croupe
Car, aussitot qu'à tes boissons je goûte,
Il fait ma semance gicler.

Embrasse-moi d'une longue embrassée,
Que ma tige soit de te bouche pressée,
Sucant divinement
De nos amours les faveurs affriolantes
Et qu'en ces jeux nos langues frétillantes
S'agitent éternellement.

[Flibette]

Rhololololo! Skil est bien ce nouveau fillot! 

C'est de toi?

[Dragonne]

Surprenant indeed.

[Petite Sorcière]

Oh c'est tout romantique (comme il parle de sexe) et alors on peut être amoureux, libertin et romantique ...

[[Z]]

Jeune poète épris de rime et d'érotisme
Ton vers est-il vécu, inventé, ressenti ?
Uchronie temporaire ou authentique vie ?
Heureux celui qui crée, haro sur l'angélisme !

Rappelons au lecteur, à la femme, à l'homme,
Italique et mot gras peuvent être trompeurs !
O noble zamoureux, faisons de l'impudeur
Clairement, sans rougir, l'étendard du forum.

Italie du désir pour l'amoureux transi
Orégon du pionnier, rendez-vous des amis,
Istanbul envoutant, c'est nuts et c'est ici.

[Z].

[Socoyote]

Mon cher plaisir

Mon cher plaisir, mon cher émoi,
Je te prie, commande-moi
De sucer ta vulve tendre,
De baiser tes lèvres denses,
Où Cupidon et ses trois soeurs
Ont répandu tant de saveur

Or suce donc, ma douce vie,
Mon doux baiser, ô je t'en prie!
De grâce, rends au moins ce bien
A ton Amant, qui n'est plus sien.
Hé! mon Dieu! qu'as-tu tant à faire
D'oublier ainsi les leçons de ta mère!

Point besoin d'invoquer ce tourment.
Je baiserai plus doucement
Tes petites lèvres vermeilles
Que ne fait un escadron d'abeilles,
Te chevauchant comme sur un lit de thym
Pour cueillir ta manne au matin.

Je plongerai plus aveuglément
Dans ta vulve débordante de lave
Que ne le ferait un essaim de larves
Se vautrant sur le ventre d'une catin
Pour déverser leur semence jusqu'au matin.

Or accouche et laisse que je te touche,
Pour sucer de ta tendre outre
Ce doux nectar si délicieux,
Qui me rend aussitôt heureux
Car pauvre serait ma nuit,
Si ce repas ne m'était encore permis.

Marco Polo ou le voyage imaginaire (poésie: baisers cochons) © 2000 Marco Polo

(et c'est de là aussi que vient le poème de zamoureux... http://www.marcopoloimaginaire.com/baiser2.htm  photos et textes bien sympas )

[[Z]]

.

[Dragonne]

Je me demandais aussi... Je me disais: zut, je cause plus le nuage.
  comme d'hab. 

[[Z]]

(et c'est de là aussi que vient le poème de zamoureux... )

Argh. Et moi qui tente des trucs perso au péril de mes neurones.

[Z].

[[Z]]

On pourrait croire que mon « poème » précédent est hors sujet dans la backroom. Pourtant, les lyrics sont explicit. Nouvelle production, pour vous aider à déchiffrer la précédente :

Au fond de son écrin
Un bouton est caché
Caressez de la main
Voilà qu'il apparait

Amour et poésie
Sont également traitres
Prend garde quand tu lis
Aux deux premières lettres.

Un ami de la Poé[Z]ie.

PS : Edité parce que je n'avais pas vu, dans la charte, que le bleu était réservé à la modération.Perdu! C'est zéro couleur [Captain Biceps-oppresseur des masses populaires]

[zamoureux]

(et c'est de là aussi que vient le poème de zamoureux... http://www.marcopoloimaginaire.com/baiser2.htm  photos et textes bien sympas )

Oh oui sorry, c'est pas de moi... Mais j'ai trouvé ce texte bien sympa !

[montagne]

continue à nous trouver des poésies similaires c'est très bien

[Nanouchka]

Jeune poète épris de rime et d'érotisme
Ton vers est-il vécu, inventé, ressenti ?
Uchronie temporaire ou authentique vie ?
Heureux celui qui crée, haro sur l'angélisme !

Rappelons au lecteur, à la femme, à l'homme,
Italique et mot gras peuvent être trompeurs !
O noble zamoureux, faisons de l'impudeur
Clairement, sans rougir, l'étendard du forum.

Italie du désir pour l'amoureux transi
Orégon du pionnier, rendez-vous des amis,
Istanbul envoutant, c'est nuts et c'est ici.

[Z].

Superbe acrostiche "doublé"  I am bleu-ffed 

[ilo]

Un sucre et demi

Qui frappe à cette porte porte
Qui fait trembler ces murs
Fixant la lumiére morte
Ignorer l'argile de ce murmure

Dernier avertissement avant la lune
Que dieux, diables les instruisent
Alcoolisée ma monographie ni vierge mais brune
Vidée cette fragrance épaisse je m'épuise

J'attend la corrosion de ces pulsions acides
Dans la tiédeur de quelques amours délèthérs
Essuyer l'immaculé dans le coton, insipide oxyde
Ce méa, ce sexe que j'aspire solitaire

Le vent tombe que reste il, à part des bris
De voix , de chairs stylisés, la saison passe
Au carrefour la faucheuse naine un signe me fit
Ce buste de Janus qui git éclaté , de glace

Approche toi au fond du chaudron Leprechaum
Aucun mystére, aucun pouvoir, aucune magie
Que l'Est gris ne connait moins que l'atome
L'entente est honnête, un café contre un souris

Savoureusement corrects tes caresses glacées
Ne sauraient me faire oublier la brulure de l'absynthe
Et à toutes ces couches de mes phantasmes allongés
Je préfére à ce jour les vapeurs de mes amours feintes

Qui frappe à cette porte
Qui fait trembler ces murs

[Nanouchka]

Nan mais t'es pas un peu fou, Ilo!!! C'est un poème qui donne envie de faire un commentaire composé C'est rien... ce sont des relents de mon ex-profession qui me montent à la tête de faire une ola        ce poème confirme les petites phrases en italique qui forment certains préambules de ton récit "Ilo Standard"... La vache! Tu es un poète, un vrai! D'ailleurs... à propos d'"Ilo Standard"... euh... je crois que les noisettes attendent la suite