Sur le chemin dans la voiture, l’esprit vagabond, j’ai juste hâte d’arrivé quand dans mes songes, mon regard croise un vieux paquet de chewing-gum dans le vide poche ! mes neurones se connectes et un seul mot m’apparaît menthol !
Je m’arrête, le sourire radieux scotché aux lèvres pour acheter les fameux chewing-gum au menthol, Mon envie doit irradier aux alentours parce que j’ai la plus part des hommes qui me regarde et sa me botte !
Je repars vers l’eldorado, bubble-gum en bouche, yeux qui brillent, cœur en goguette.
Il est là il attend debout au milieu de la chambre, très grand brun aux larges épaules, les pieds nu, l’air doux, sur de lui.
J’ai tout decidé avant d'entrer et je m'exécute sans hesiter, j'ai une grande écharpe de soie que j’utilise pour lui bander les yeux , il souris, se laisse faire. Je le pousse contre le mur et doucement je lui enlève la chemise, je dépose un baiser sur ses lèvres et part a le découverte de l’odeur de son torse, mes mains glissent dans son dos pour trouver ses fesses pendant que ma langue explore ses tétons. Je m’enivre de sa peau et lui fait tomber le pantalon j’ai déjà faim de son sexe, forcement avec l’idée qui m’a trottée tout le long de la route je n’y tien plus. A genoux, je suce et lèche comme si j’etais entrain de me régaler d’un cornet de glace de boule au chocolat, c’est langoureux, c’est bon, il se bande doucement puis très fort. Lui n’en peut plus je le sens se crisper, il lâche un « arrête je vais jouir » en me tirant la tête en arrière par les cheveux d’une main et en dégageant le foulard de son visage de l’autre, je le fixe victorieuse et provocatrice. Il reprend ses esprits m’attrape sous les cuisses et me porte sur le lit. Le foulard est toujours dans sa main, il attache les miennes au lit au dessus de ma tête. Il a reprit les rennes je ne peux que me livrer. Il passe sa pomme de main sous mon talon et commence ses baisers par les pieds, lentement il continu le long de mes jambes au creux de mes cuisses, le désir me brûle je cambre les reins, appelle sa bouche, il le sait mais passe son chemin pour me mordiller et m’aspirer les bouts de seins. Son regard vient se planter dans le mien, j’implore : baise moi, son souffle approche mon oreille et j'entends : Non !
Il me roule sur le ventre remonte mes genoux que mes fesses impudiques lui soient offertes je crève de jouissance, n’attend que son sexe mais c’est lui qui décide de la fin du supplice. Pour l’heure je le sens me laper le sexe, m’embrasser les fesses et me caresser les hanches, j’étouffe mes cris de rage du désir de sa queue.
Enfin il vient me prendre doucement, je sens l’apaisement et le plaisir me monter dans le ventre, du bonheur a l’état pure.
Notre pieds pris, détachée, je viens me blottir dans ses bras massant mes poignets, il m’enveloppe de toute son aura, je pense qu’une chose rester au creux de lui.