NUTS - Nos Univers Très Sexy
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Auteur Fil de discussion: 18 ans et un jour ....  (Lu 1190 fois)
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Nuts
Invité
« le: 30-10-2005, 18:03 »

Bonne soirée en boite le soir de mes 18 ans, champagne et tout le toutim, mes amis bien entendu, on investit notre lieu de prédilection.
Je me souviens c'est un vendredi soir, la soirée a déjà commencé à la maison avec la famille et quelqu'uns de mes amis, arrosage de ce passage de ma vie en grande pompe, malgré mon avis à moi (ben oui je ne voulais pas les fêter Undecided) bref on se décide on bouge on va s'amuser ...
La soirée se passe sans encombres j'étais sur la piste, face à l'entrée et là .... surprise, il vient d'arriver de son entrainement, il ne devait pas être là ce week end .
Kilout devient toute guillerette, belle surprise, en plus du fait que mes amis soient là, lui, c'est vraiment le pompon !
Bon j'avoue pas envie de continuer de danser ce soir là, on s'eclipse sur les sièges dans un coin tranquile et passe la soirée à se galocher, se toucher, se frotter, s'allumer sur les sièges, jusqu'à la fin de la soirée .
Ce soir la sagesse tout de même, chacun rentre chez soi, mais on s'appelle demain ...

Le lendemain 14h je me reveille, encore toute jouasse de ma soirée, et que font les filles dans ces cas là ? Ben elle deviennent pipelettes avec leur super copine .
Je parle de ma soirée avec A. et C. compte rendu de mes émotions, de mon ressenti, je suis heureuse en fait qu'il soit venu sans me prévenir  Grin
La journée passe on s'active, on fait les larves, on discute mais toujours pas de nouvelles de lui ...
fin de journée sur le coup des 18h00, toujours rien, bon je veux bien qu'on ai bu, je veux bien qu'il soit gros dormeur mais là, quand même léger agacement de ma part tout de même .
Les filles ne disent rien, étrange mais bon je ne relève pas, je les bassine, mais pas trop quand même, faudrait pas que je les soule avec mes histoires de coeur .
19h00 toujours rien, 20h00 c'est déjà la fin du monde je suis vexée et franchement pas à même de rigoler ou de voir ce qui se passe autour de moi .
Je décide de passer chez moi, personne ne me retient ou ne me propose de m'accompagner. Ok je les ai soulées, je me barre je reviendrais quand je me serais calmée .
Il me prends décidément pour une idiote, il a pas conscience de ce que je ressens, limite il s'en tape ...
J'en prends mon partit, rentre chez moi et décide que c'est même pas la peine qu'il me recontacte ce soir .
21h00, à la maison personne ne bouge, pas de repas en prevision, je trouve ça étrange, mais bon je propose de me mettre aux fourneaux, ma grand mère me dit que non ce soir c'est resto .
Ah bon ? Ben j'étais pas au courant !!!!
Ben non tu n'es pas prevue ... On pensait que tu mangeais chez A.
Hein Huh Undecided 
Comment j'ai réagis ? Euh colère, déception, envie de pleurer ? Un peu de tout cela mélangé en fait !
Je file dans ma chambre, à l'étage, un quart d'heure après coup de fil .
Kilout, c'est pour toi ....
Nan, je veux pas ! Angry
Si c'est pour toi tiens ...
Nan, pi c'est qui d'abord !!! ? Angry
Je prends le téléphone c'est ma cop's : bon tu fais quoi t'arrives ?
Ben euh, en fait, je suis pas trop bien là ...
On s'en fout, tu te grouille tu te bouge et tu viens !
Ok on s'agace pas j'arrive .
20 min après me voilà devant chez elle et là .... THE BIG SURPRISE !!!
Elles avaient carrément tout plannifier dans mon dos, y compris le resto chez moi, pour que je vienne fêter de nouveau mes 18 ans mais uniquement entre nous cette fois !
Ils sont tous là mes potes de la veille, tous ceux que j'aime et avec qui je fais les 400 coups, je suis aux anges .
Apéro, on trinque, on délire on s'installe, on se raconte nos conneries, et même L. mon ex, qui n'était pas là la veille est venu !
Je suis heureuse de tous les voir .
On s'installe à table, moi dos à la porte d'entrée vitrée, L. à coté de moi, bien serré, mes cop's allentours  c'est la déconne je suis contente mais .... il me manque un peu quand même .
Tant pis on va faire la fête, on commence à diner, à rire, musique d'ambiance quand la porte derrière moi s'ouvre, je ne fais pas attention au départ, L. me parlant à l'oreille, sa main dans mon dos, je ne me retourne pas .
Ce n'est que lorsque je tourne la tête que je le vois planté là, nous observant, regard trouble, regard colère, mais il ne dit rien, même pas bonjour .
Et merde quelle conne que je suis !
Il s'installe à l'autre bout de la table, ne me regarde plus dans les yeux, parle à droite et à gauche mais ne me répond jamais .
Je suis dépitée, mais le prendre à partie maintenant semble difficile, je parce à C. ma cop's qui est prêt de moi, et n'a rien loupé de la scène, ni même du jeu qui est entrain de se dérouler ...
Elle me dit qu'il observe mais fait en sorte que je ne le vois pas .
Je me décide s'il bouge je vais le voir .
Ce qu'il fait un peu plus tard, il descend à la salle d'eau, je le suis .
Il est buté, ne veut pas me parler, je suis face à un mur, il n'a pas aimé la vision qu'il a eu en entrant, je suis fautive .
Ok j'abdique et le laisse partir, mes derniers mots lorsqu'il franchit la porte : je suis triste .
Et là ....
Je le vois réapparaitre furieux dans l'entrebaillement de la porte, il rentre et claque la porte, je sens que je vais en prendre plein la tête .
Et bien non, il ferme a clef et furibard, m'embrasse comme jamais il ne l'a fait jusqu'a present, mon tee-shirt suate, mon jean aussi, l'amour furie, l'amour colère, il a décidé de me montrer .
Je me retrouve nue à sa merci, sur ce carrelage froid il me pénètre le mélange des sensations m'excite au plus haut point, il me bascule et me fais venir sur lui, mon excitation est telle que sur lui j'enchaine les mouvements de bassins violents et tendres, je fais des 8 avec mon bassin, m'enfourche plus profond chaque fois je veux qu'il me possède, ses doigts s'incrustent dans ma peau, j'aime ça .
On finira par jouïr, pendant que lles autres, tour à tour, se sont posé la question de savoir où nous étions .
Ce jour la j'ai compris ce qui nous liait, c'est mon plus beau cadeau, celui du lendemain de mes 18 ans ....
Journalisée
Coyote
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« Répondre #1 le: 30-10-2005, 22:13 »

Et quel jour.
Comme quoi, il se passe tellement de choses dans nos petites têtes, au point de psychoter
Journalisée

Un jour, mon maître m'a dit :
"L'oiselle du désert poursuivre et capturer tu dois
Qu'ACME et la sainte grenade d'Antioche soient avec toi"
Depuis je cours, langue pendante, alors qu'inlasablement, une enclume errante me sépare de mon but
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