Je ressors un sujet du placard...
Hier j'ai fait le ménage et je n'ose pas vous dire depuis combien de temps je ne l'avais pas fait
Je m'y suis collée parce que ça devenait trop cradingue, j'ai du me botter les fesses à un point vous ne pouvez imaginer.
Il m'arrive de regarder mon appart le WE et de me dire : "faudrait que je nettoie....oui faudrait...mais j'ai bien d'autres choses plus rigolotes à faire et puis ça me fait vraiment caguer; au fond ce n'est pas si sale, ça peut tenir encore quelques jours de plus".
Jusqu'au moment où j'ai honte de mon antre et que je ne m'y trouve pas bien, ou que la poussière me fait éternuer.
La seule chose sur laquelle je sois rigide ce sont les chiottes, je déteste les chiottes sales, beurk !
J'ai toujours regardé ma soeur, une obsédée du ménage frisant le toc, avec un air d'incompréhension.
C'est même un cas d'étude pour moi. Elle passe le plus clair de son temps libre à briquer, faut enlever ses pompes en rentrant chez elle (je ne le fais jamais
), un regard noir est lancé à celui qui laisse tomber une miette et on se sent pris en faute comme un gamin.
Ta théorie Hot rejoindrait ce qu'elle m'inspire : coincée du cul !