Humeur...
Hier soir il m'attendait sur les marches du théâtre... pour me demander... (inside : trouille, coeur qui bat, fuire, fuire, fuire...)
...mes clés du local à préter à un technicien du festival...
Il n'a qu'à filer les siennes... pas le courage de le dire, de demander une explication...
Je lui avais dit de me recontacter pour convenir de se rendre nos clés et nos affaires réciproques de chez nous, pas celle du local !
Faire la fille très occupée, vite, se barrer, s'isoler dans un coin, fumer une clope, reprendre ses esprits, réfléchir vite, vite... L'enculé ! J'y retourne lui rendre le chien de sa chienne.
Réponse :
Désolée, je n'ai pas les clés sur moi... elles sont dans ma voiture et là je suis coincée jusqu'à la fin du gathering de ce soir...
- Mais tu peux pas y aller, ça prend trois minutes...
- Non je ne peux pas.
(Inside, biensûr que je pourrais, j'ai toujours pu faire n'importe quoi pour toi... Mais dorénavant, je ne veux pas faire ta chiechienne qui rapporte à son maître... Etre une gentille conne plus jamais ! C'est mon Asso et mon local aussi et tu ne me dépossèderas pas de MES clés, comme ça au dernier moment, sans prévenir et dire pourquoi à l'avance. Dans le boulot, désormais je veux du respect, un grand respect dans la clarté...) Et tu n'as quà aller faire un double des tiennes -bordée de gros mots pas jolis jolis à l'esprit... ! - Et tu en as pour longtemps ?...
- Jusqu'à la fin de cette nuit....
Retourne vite faire ton affairée Kty... Pas d'éclats devant tout le monde... ce n'est pas le momentil est entré dans le théâtre... pour me chercher ou aller grapiiller une bière dans le stock des bénévoles... ?
Je l'ai croisé, j'étais flanquée de mes deux enfants, il a dit chercher les loges... j'ai indiqué.. la direction.
Il a attendu un très long moment sur les marches... une heure au moins je crois, Je suis rnetrée sans le revoir, sans message de lui... rien.