NUTS - Nos Univers Très Sexy

Pour qui aime explorer le sexe, la levrette n'est pas le bout du chemin et la sodo pas la cerise sur le gateau: ce sont des trucs qu'on fait de façon épisodique puis qu'on intègre dans sa sexualité normale alors on part découvrir d'autres horizons, on explore les jeux de role ou les mélanges à plusieurs etc
Et on vit bien son truc par ce qu'on se sent libéré et détendu: le sexe après tout c'est la fete et puis on se sent pas décalé avec qui que ce soit.

Sauf qu'un jour si.

Exemple: Sensualité qui dans un autre sujet déclare qu'elle a été prise d'un fou rire en voyant un mec aux couilles épilées.
Il y a plus longtemps, quelqu'un qui déclarait que "ficelée comme une paupiette: non merci!" (remarque assez violente qui ramène au ridicule là encore)

Bref: certains passent des stades et continuent à explorer quand d'autres ont atteint leur limites et c'est leur droit.

Seulement du coup on se dit qu'en fin de compte les gens se choquent toujours autant et ont vite fait de classer les autres en malades/détraqués/tarés malgré le discours ambiant qui tend vers une libération affichée des meurs.

Oui? Non? Pourquoi?

Oui, c'est meme pour ca que j'ai hesite un moment a poster l'episode scato (et encore je l'ai fait light).

Parcontre j'ai pas bien d'idee tres claire du pourquoi: la difference fait peur (ca fait sortir de sa zone de confort par definition) et la peur c'est un sale vieux reflexe assez sensible (il y en a meme qui en ont fait un outil politique). On ne connait pas, on a peur, on stigmatise, raille etc. Une vie ne suffit pas a s'ouvre a la tolerance. Et ca me ne marche pas qu'au niveau sexuel ce commentaire.

Pour avoir exposé ma sexualité à deux psy, j'ai trouvé comique qu'ils soient surpris. A mon sens leurs clients (je ne dis pas patients  :) ) ne lèvent pas le voile de peur d'être jugés, et du coup je suis passée pour une extra terrestre sans pour autant avoir fait grand chose d'extraordinaire.

J'avais pas le sentiment de juger ni la personne que j'avais en face de moi ni les gens qui s'épilent, ça m'a simplement fait rire, mais j'en prends bonne note  ;)

Pour répondre à la question, est-ce qu'il s'agit de jugement dans le sens bien/mal? J'ai plutôt l'impression qu'il s'agit d'un jugement dans le sens pour moi/pas pour moi. Je m'explique : ici, nous dévoilons des parts de notre intimité dans de multiples posts qui servent de bases d'échanges certes, mais qui sont aussi pour beaucoup des relations à nous-mêmes, nos limites, nos fantasmes, etc. Les posts des autres servent aussi de support et d'alimentation à ces interrogations que nous avons sur nous-mêmes. Il me semble que c'est donc surtout un jugement de "cela me parle-t-il ou pas" plus que "rhaa trop ridicule ce truc". Cependant, il est évident qu'il faut faire attention à la forme avec laquelle cela s'exprime, je tâcherai de le faire plus à l'avenir  :)

Et dans un cadre plus classique, je rejoindrais ce que dit Doc. Nous avons tous des manières différentes de nous exprimer - ou pas - sur notre sexualité en fonction de notre interlocuteur. Est-ce par peur d'être jugé? Parce que nous jugeons nous même notre interlocuteur "apte" à nous entendre ou pas? Même si j'ai du mal à comprendre pourquoi ne pas le faire avec un psy, cependant. Si y a une personne avec qui la parole devrait être libre, c'est bien un type qu'on paie pour ça. Ne serions donc nous pas les pires juges de nous-mêmes avant d'être celui des autres? yyyy15

Je ne crois pas qu'il s'agisse de jugement des autres.

Une histoire sexuelle personnelle, c'est beaucoup la confrontation à des limites, et petit à petit la conquête de nouvelles frontières.
Pas que le but soit de cocher des cases et d'aller toujours plus loin, mais l'excitation vient en partie des interdits et des abandons au delà de sa zone de confort. On explore.

Le jeune puceau rêve de toucher un sein, l'ado veut se faire sucer, l'adulte fantasme sur la sodo ou les trucs à trois ou le bondage ou les trucs avec des teckels qui porteraient des godes ceinture, et le graal d'un jour devient le "been there done that" du lendemain.
Réaliser ses fantasmes ouvre la porte vers de nouveaux fantasmes, ou bien tu meurs au dedans de toi.

Et ce fantasme peut même être "juste faire l'amour avec quelqu'un tout tendrement et sans rodéo wild wild west, pour une fois", comme quelqu'un disait l'autre jour.

Alors le petit sursaut d'inconfort, le "ohlala non c'est pas pour moi ça" que l'on lit de temps en temps sur les fils ici, je ne le prends pas du tout comme un jugement moral ou une condamnation, c'est normal qu'il y ait de l'interdit dans le sexe, c'est même souhaitable.

Je sais pas, je fréquente pas les psy par ce que j'en ressens pas le besoin.

Par contre j'ai un autre exemple: Me souviens d'un jour ou tu as présenté masque-gode , faisant partie du décorum BDSM, truc qui je le précise n'est pas ma came.
Tu oscillais entre le rire et le shocking.

J'admets que sorti de son contexte c'est un truc étrange. Par contre il a sa place dans un donjon bdsm par exemple, ou pour qui est attiré par le cuir latex machin truc.

Pas que je fasse ton procès par ce qu'encore une fois tu es libre, mais juste pour exprimer le décalage de parcours.

Autre exemple: Nana dans le sujet je bat je fouette, morte de rire d'avoir un soumis sous la main, ou Rome dans le sujet le chien, complètement à la ramasse par ce qu'elle entrait dans le jeu pas curiosité mais sans le parcours et la démarche intellectuelle...

Pourquoi vois-tu un jugement dans le rire? Le rire est plus souvent, comme tes exemples le montrent, un décalage, non?

Et +1 avec Valentin qui a très bien exprimé ce que j'essayais de dire.

Moi c'est pas le rire qui me choque, c'est le choix de certains mots comme "ridicule" justement.

Pas lu les autres réponses...

C'est pas parce que tu te marres devant une paire de boules à Z ou que le shibari t'inspires les paupiettes de Paulette que tu juges ou classes l'autre.
C'est pas parce que ça coince dans ton référentiel à toi que tu as pour que c'est pour autant une intention de dénigrement de l'autre en tant que personne. Pour moi, ce n'est pas en rapport avec l'être en face mais avec soi-même.

Je suis plutôt d'accord avec Sensu et Val.

C'est peut-être un jugement mais dans le sens c'est un "pas moi", c'est tout et heureusement on se ferait chier à être tous pareil.

D'accord si c'est exprimé ainsi "c'est ridicule" ou "tu es ridicule". Pas d'accord si c'est "je me sentirais ridicule".

D'ailleurs, c'est intéressant je trouve. Parce que si on se sent ridicule à s'imaginer dans telle situation, c'est peut-être qu'il y a trouble, sinon on dirait juste bof. Or n'est-ce pas du franchissement d'un trouble que certains (voire beaucoup) de plaisirs sexuels naissent?

+1 avec Flibette, le rire ou l'indignation c'est plus révélateur des limites de celui qui rit ou s'indigne que de la nature des pratiques sexuelles...

Je pense que le rire et l'humour sont des exutoire qui permettent de rendre quelque chose qui nous rend mal à l'aise plus agréable. C'est très humain comme réaction. C'est pour moi autre chose qu'une condamnation du genre ridicule.

Oui Marsup, d'autant que le rire ne va pas forcément de pair avec le rejet.

+1 avec Marsup.

Maintenant à imaginer un mec avec sa laisse ataché au mariateur, je trouve cela risible car je ne suis pas dans le truc. Pour quelqu'un (ou plutôt deux partenaires) qui sont dans le jeu, cela reste un jeu donc le côté ridicule disparait (donc d'accord avec toi HOt).

quand a être choqué (pour revenir sur la question de départ) on a tous nos limites. Peu de choses me choquent chez les autres (ma fois, s'ils aiment se faire pisser dessus, p.ex., tant mieux pour eux) mais c'est au dela de mes limites. J'ai déjà repoussé plusieurs fois mes limites mais je pense que certaines sont codées en dur dans ma tête.

Comme les autres..

D'ailleurs, je me souviens qu'avant, entre 15 et 20 ans, je dirais, je riais devant les scènes un peu chaudes dans les films.
Aujourd'hui je ne le fais plus et c'est pour les raisons que tu évoques, l'exploration et la définition des limites.
Mais pas le ridicule.

Et en parlant de jugement, moi j'en vois un dans le titre du post. Pourquoi "ca" juge toujours autant plutôt que "les gens" ou "on"?

Pas bien de juger comme ça les gens qui jugent  ;D

Et encore heureux parce qu'avec ce que je me marre dans une journee je rejeterais approximativement... ben tout  ;D

J'voulais dire dans un contexte sexuel et tu l'sais très bien  xs12



 :)

Dans un contexte sexuel intime, j'ai remarqué que les gens qui ne sont pas très sûrs d'eux supportent très mal le rire, ils se sentent tournés en ridicule, ou ils ont peur de ne pas retrouver d'érection par exemple... alors que le rire partagé et positif c'est une invitation à dédramatiser une situation limite et la transformer en complicité...

Le fait de débander en rigolant, c'est plutôt sympa, ça temporise, ça fait passer un moment autrement...
Mais si un mec se vexe du rire et de sa débandade... après mékech walou du zob...  ;)
Moi je dis, les crispés du gland, ils se sentent jugés et c'est pas marrant  :-\

Et une fille qui se la pète au pieu... ça donne le même résultat... xs03

Moi ce qui me choque le plus, c'est ce politiquement correct qui fait qu'on n'a pas le droit de dire "je trouve telle ou telle pratique ridicule, ou sale, ou avilissante, ou ...." si c'est son opinion, juste parce que d'autres apprécient et que de ce fait ils se sentent jugés.

Pourquoi lorsqu'on fait quelque chose qu'on a choisi de faire (levrette ou tarte aux concombre) revendique t'on ou exige t'on l'approbation des autres ? Une sorte de quête de reconnaissance, d'absolution pour quelque chose qu'on sent confusément mauvais, déviant, "pas bien, houuuu le/la vilain/e", ou quoi ?

De toutes façons le jugement est toujours par rapport à soi. Si on envisage la chose pour soi, on ne la rejette pas, sinon on la rejette (= juge, qui est toujours pris négativement dans ce cas).

Parce que nous sommes des animaux sociaux?



(Pis d'abord, c'est pas bon la tarte au concombre.)

Jamais essayé, mais ça ne me tente pas. Ceux qui aiment ça sont vraiment beurk  ;D

Je pense qu'il faut être sacrément tordu pour aimer ça...  ;wacko



(Je sors)

La tarte au concombre ?!?
Ah ! Pas ça dans ma bouche !!!
Vous êtes vraiment dégueulasses !
  ;D

Il y a quand même des expériences dont on revient plus marqué que d'autres, (les douleurs, les blessures physiques, les souillures volontaires, les asservissements) cela ne renvoie pas qu'à des interdits moraux, ce sont de réelles mises en danger...
Il y a  la prise de risque qui est exitante (... ou pas...), mais je suis persuadée que la peur du jugement extérieur renforce les hontes et une exitation transgressive.

Pour certains, faute de détracteurs, le désir né de la transgression s'éteindrait de lui même.

On en parlait pour les chosophiles qui tombaient in love d'objets... Certains étaient vraiment barrés dans leur truc, mais pour d'autres on se demandait si c'était de la provoc...

Je me fous complètement dans l'absolu de savoir si un tel ou une telle (nominativement) sur le forum aime plutôt s'enduire de chantilly ou pas pour jouir. Je sais bien que tout se pratique, que ce soit ici ou ailleurs en matière de sexe. Ce qui m'intéresse sur ce forum c'est de savoir quels sont les ressorts et les mécanismes intellectuels ou/et physiques qui provoquent l'orgasme à la chantilly.

Et je me ne vois pas pourquoi je devrais me censurer si je trouve une chose laide,ridicule  ;) etc... Cela ne met pas en cause celui qui le fait. Oui c'est un jugement et alors....J'attends aussi du forum que les autres puissent me dire qu'ils trouvent que ce que je dis est ridicule ou laid si ca leur chante tant qu'ils m'expliquent pourquoi...Cela n'en changera pas forcément mon point de vue mais cela m'enrichira certainement.

Ne pas commenter un sujet parce que l'on est pas d'accord je trouve cela dommage pour l'interactivité et la dynamique du groupe. Que ce soit en matière de sexe ou autre.

On est quand meme en train de debattre du pourquoi il vaut mieux dire "j'aime pas" que "c'est pas bon".

Donc back to basics:
J'aime pas -> c'est ton droit le plus strict d'aimer toi
C'est pas bon -> et je vois meme pas comment tu peux aimer

De la meme maniere on dit "l'utilisation du terme ridicule me choque" et non pas "les gens qui disent que c'est ridicule sont des cons"

 ;D

On va y arriver mais si mais si.

Dans un autre contexte, moi qui suis du genre a l'avoir ouverte en permanence autant vous dire qu'au niveau pro, spa tous les jours faciles, et un collegue me dit
"- mais t'as raison quand tu le dis, c'est juste la facon qui ne va pas
- ah parce que vraiment, c'est important la facon, on est dans un contexte pro non?
- ben ca depend de si t'as envie d'evoluer dans ledit contexte ou pas."

Il est fort mon collegue, il a reussi a me faire taire  ;D

moi je suis payée pour dire : là vous déconner, vous êtes ridicule  ;D

On a dit ça à notre client qui voulait offshorer notre projet en Inde, hier. Ça a marché  ;D

@Moi, ça m'est venu à l'idée, en écrivant mon post tout à l'heure : quand je disais "je n'aime pas ci ou ça", mon ex me répondait systématiquement "mais pourtant c'est bon"  xs10

Quel con! <- ceci est un jugement  8)

Faut pas pousser. Un jugement peut se faire par rapport à autre chose que soi-même et ses désirs, la loi par exemple  ;)

Je sais, j'suis capillo-sciante 8)

Vous n'y connaissez rien !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'est hyperbon la tarte aux concombres. Faudrait voir à goûter avant de critiquer  ;D
 

Je n'ai justement pas dit que ce n'était pas bon :)


Lulu, spécieuse woman   xs04


On ne parlait pas des jugements judiciaires, là.

Ben meme dans un cadre legal, le juge interprete la loi. Il decide donc dans une certaine mesure ce qui est bon ou pas, bien ou mal, il emet un jugement. Mais dans ce cas precis c'est ce qu'on lui demande.

Dans le cadre d'une discussion entre adultes, on ne demande a personne de juger (enfin... quoique).

pure théorie...


-t'as vu ça?
-oui c'est des malaaaaades

- j'aime pas la sodomie
- t'es coincééééée

::)

Ce qui, à priori, ne me tente pas, peut tout à fait me rendre fan après essai. Pis, surtout, à froid, pas grand chose ne me tente, par contre dans le feu de l'action, je suis toujours prête à beaucoup plus que je ne l'imagine.
Du coup, le sachant, je ne dis plus beurk ou ça jamais !
Je l'ai fait, je ne le fais plus. En toute connaissance de cause.
Je sais aussi que pas mal des choses que j'aime peuvent être considérées comme bizzares, et pas seulement en matière de sexualité. J'ai l'habitude, et ça ne me dérange pas. J'assume mes goûts et mes idées.


Parler de ma sexualité à ma psy ? l'idée ne m'en était jamais venue. Ca mérite reflexion. Je vais pouvoir me demander pourquoi, justement, je n'y ai pas pensé. Merci en tout cas, ça vient de faire tilt.

T'as mis ton sens de l'humour au fond de tes bottes? ;) Si je saisis bien ce à quoi tu fais allusion, c'était pure ironie et second degré en rapport avec ce post justement.

look la dernière phrase de Moi juste au dessus de mon post

Je vais expliquer ma phrase: en theorie, entre adultes on ne demande a personne de juger. Ca ne veut pas dire que personne ne le fasse et dans un sens a mon avis, ca permet de souder le groupe (les pas-nous ne comprennent rien, ca veut dire que nous on est des gens bien).

Mais je disais "quoique" parce que je crois que parfois ce qu'on attend des autres c'est un jugement pour se donner un repere du bien et du mal. Je pense notamment a ma frangine qui raconte beaucoup de trucs a ma mere particulierement jugeante et ma soeur m'a dit un truc du style "je lui raconte des trucs quand je sais que c'est une connerie, ca me recadre".

Ici par exemple si tu dis "j'aime pas le sexe" ou "j'ai pas envie de baiser", on te recadre direct. Et c'est peut etre pas toujours une mauvaise chose  ;)

Et ici, qu'est-ce qui est dit pour recadrer dans ces cas là?

oui je suis d'accord. Je me disais que j'avais mal choisi le titre de mon sujet. Juger c'est humain mais c'est plutot la méconnaissance d'un parcours qui rend l' expression de ce jugement péremptoire.
Et puis surtout:
Y'a pas que sur Nuts que ça parle de cul, les médias sont pleins de cul donc on aurait tendance à se dire que les gens se sont ouverts à plus de pratiques, plus de tendances un peu comme la mode ou toutes les familles musicales. Jamais on a eu un choix aussi étendu de styles de vie et pourtant ce qui est extreme (meme pas: tous ce qui est marginal par rapport à nos conceptions) provoque toujours un rejet assez violent.

L'expression consacree est "tu vas mourir bouffe par tes chats" il me semble  ;D

...

Tu vois le candaulisme comme etant a sens unique?

Parce que personnellement, je prefererais pratiquer et que mon partenaire regarde plutot qu'il pratique et que je regarde (quelle torture pour le coup!).

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Un candau pas observateur mais qui participe? C'est pas plutot du triolisme?

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T'inquiete, ici on a l'habitude de ne parler que pour soi  ;D

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Au moment ou un(e) candau passe à l'acte, ça deviens de triolisme (sauf si ce dernier observait du triolisme, mais bon  8) ). Ça empêche pas qu'il ait pratiquer le candau avant et qu'il serait amener à le refaire  ;D

Enfin je suis d'accord avec toi sur la notion de tolérance, même si porter la tolérance comme valeur me parle, vu le manque de certains sur le sujet.

...

J'ai peut-être mal.saisi ton propos mais il faut sûrement que tu changes d'environnement. Fort heureusement qu'une minorité d'hommes fonctionnent comme ça et que toutes les femmes ne sont pas assez idiotes pour se laisser traiter de la sorte!

Je vois pas bien comment un candau pourrait être rassuré sur sa crainte de l'abandon en voyant son aimé avec un autre ou sachant l'autre entretenir une relation suivie. Dans ma logique, ça aurait plutôt tendance à renforcer l'angoisse de l'abandon.

...

Alors moi qui suis hyper anxieuse, je ne pense pas qu'un mec qui me trompe me rassure enormement tu vois  ;D

Concernant la population observée, à mon avis, tu tombes dans le panneau d'un biais de confirmation.
Ensuite, le jeu BDSM s'inscrit dans Une séquence de temps hors du quotidien. C'est un jeu qui n'a pas grand chose à voir avec un fonctionnement standard, de base. Hormis dans le cadre de relations pathologiques, ni les hommes, ni les femmes joueurs n'accepteraient ça dans la vie.

Enfin concernant le mécanisme que tu décris sur le candau, moi j'appelle ça du masochisme.

pareil! ;D

...

C'est l'échantillon observé qui génère le biais.
Un peu comme si tu decretais que tous les hommes francais sont cintrés parce que tu n'observes que la population d'une unité psychiatrique...


Rien de dénigrant ni de généralisant dans mon propos... Le jeu type BDSM est une partie de la vie, pas la vie en tant que telle. Et donc, en effet, peu de personnes accepteraient de se faire later a gueule ou insulter en dehors du cadre du jeu.

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Bon alors reprenons: l'idee qu'un mec avec lequel je serais irais voir ailleurs avec mon accord pour le plaisir de le voir revenir... c'est l'approche de vette mais moi... je peux pas.
J'ai accepte l'idee que j'etais du genre exclusive, jalouse et possessive (mais pas pathologique :D )

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Bizarrement, ce n'est pas vraiment mon impression. Sur les sites spécialisés, je croise globalement plutôt des gens bien. J'ai assez peu été confrontée à des personnes me prenant pour un bout de barback tout juste bon à satisfaire leurs fantasmes. Peut être une question de ciblage et de sélection.

C'est a dire que le sexe est tellement assume de ton cote que tu ne te prends pas pour un bout de barback, c'est plutot toi qui les prend pour des bouts de barback.

Je suis sur Sex & the City en ce moment et Samatha me fait vaguement penser a quelqu'un  8)

Nan, faut pas déconner quand même.  ;D
Je vois plutôt ça comme un échange de bons procédés.  ;)

Tu connais mon sens de l'exageration  8)

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Je ne connais pas spécifiquement ce groupes mais je suis franchement étonnée...

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Bof...

Tu fréquentes beaucoup de forums de ce genre?

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Tu y cherchais quoi?

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Remets moi ca dans le contexte: tu voulais assister aux ebats de ta partenaire?

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C'est a 1millios d'annees lumieres de mon mode de fonctionnement mais OK, j'ai compris de loin  ;D

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