NUTS - Nos Univers Très Sexy

Il est onze heure du soir. On est sur mon balcon, à boire du champagne. C'est l'été. On dit qu'il faut chaud, c'est la canicule. Peut-être, je m'en fous. On se regarde, se rapproche. Premier baiser. Nos langues se cherchent, se trouvent. C'est doux.
Une heure plus tôt dans le métro, elle m'a glissé à l'oreille "j'ai pas de culotte". L'instant du premier regard où tout est dit.
Je l'embrasse dans le cou, et glisse ma main sous sa robe. Je cherche son sexe, je le trouve, c'est doux, c'est humide, très humide. Il fait chaud. Je lui caresse le dos, elle commence à transpirer.
Je lui ressert un peu de champagne et l'entraîne vers le lit. Je ne sais plus si sa robe est arrivée jusqu'au lit.
On s'embrasse, à pleine bouche, elle libère mon sexe, le lèche puis l'avale. Elle se sert de ses deux mains, me caressant les couilles, en me branlant doucement. Sa langue taquine mon gland, le bichonne, l'entoure. Je lui dis que si elle continue comme cela, je vais jouir rapidement. Cela semble l'amuser, et la faire saliver. Elle mouille de la bouche, et commence grave à m'exciter.
Je la retourne, la met sur le dos, et me dirige vers son sexe. Je lèche son clitoris, elle commence déjà à vibrer. Quelques doigts je glisse le long de sa fente, un puis deux rentrent facilement tant elle est mouillée.
Elle m'attire vers elle, pour m'embrasser. Elle maintient ma main sur son sexe, me demande de la caresser, le pouce sur son clitoris et deux doigts dans son vagin. Ca sera trois. Je ferme ma main progressivement, avec un mouvement de va et vient qui s'accélère doucement. Elle jouit rapidement.
A peine le temps de reprendre son souffe, elle me suce à nouveau, longtemps.
Elle regarde mon sexe, me dit qu'il est gros, mais surtout large, vers le milieu. Elle me regarde dans les yeux. J'enfile un préservatif. Elle vient sur moi. Je la pénètre aussitôt et elle commence déjà à vibrer.
Je lèche ses seins, en commençant par les contours, aant de mordiller, des lèvres seulement, ses tétons tout gonflés. Elle explose une seconde fois, tout en continuant sa chevauchée sur mon sexe que j'ai rarement connu si excité.
Je bande dur, sans interruption, sans faiblesse, comme un adolescent. Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes là, elle me dit que mon sexe est dur, qu'elle le sent bien. Elle se cambre vers l'arrière, pour qu'il aille plus profondément. Cela dégage son clitoris, je le titille. Elle jouit.
Elle arrache le préservatif elle recommence à me sucer. C'est divin. J'entends des bruits de succion, elle mouille encore de la bouche, et me la fait "gorge profonde". Je ne connaissais pas jusque là. Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, car c'est doux, profond. Elle reprend sa respiration de temps à autre.
Elle regarde les barreaux qui ornent le côté de mon lit. Ca me tente bien dit-elle, en levrette, à m'y tenir.
Elle s'installe, j'enfile un nouveau préservatif et je m'introduis. Toujours aussi dur de mon côté, elle est plus mouillée, dilatée que jamais. Je vais progressivement vers le fond. Elle se cambre, crie. Les fenêtre sont ouvertes, c'est l'été, mes voisins en profitent autant qu'elle. Je lui caresse l'anus, glisse un doigt au bout de quelques minutes, elle crie encore plus.
Elle aggripe les barreaux plus fermement, retiens son souffle, elle ne crie plus, son vagin se contracte sur mon sexe toujours aussi raide. Mes mains sur son dos et ses fesses sentent monter sa transpiration en quelques secondes. Plusieurs secondes, très longues, pendant lesquelles elle jouit à nouveau, en reprenant son souffle, entre deux spasmes, qui semblent monter tout le long de son dos.
Elle se retourne, m'arrache le préservatif, et me suce à nouveau.
Nous faisons une petite pause, il nous faut nous hydrater. Le sexe dressé, je descends chercher le champagne que nous avions pensé à mettre au frigo.
Il est deux heures du matin. Mais la nuit n'est pas finie...

on attend la suite, qui est encore pire...

j'vais déjà chaud....ça s'est pas arrangé....Ben va falloir éteindre cet incendie...
Je me fais un petit plaisir et je reviens pour lire la suite....
Mais après pour m'assouvir, je ne vois que ...violer mon petit copain... >:D

Pfiou, fais chaud ici aussi !!!

C'est pas toi qui devait bosser au lieu de buller  xs02
petit tacle de l'apres midi

Allez grouille toi d'ecrire la suite mon loulou

Je ne vois qu'une seule solution darling, soit j'arrete de te lire... soit je te lis assise sur une pile de serpillieres... en plus ca me rappelle des trucs cette histoire de barreaux... je seche un peu et je vous raconte... rrrrrrhhhhaaaaa....

Pas le temps de sécher, voilà la suite :

Le champagne était encore frais, mais nous sommes encore tout chauds. Elle se met sur le dos, soulève ses jambes. Je me glisse sous elle, la soulève un peu, lui titille le sexe avec mes doigts. Tout comme mon sexe raide dur et droit, elle est toujours aussi excitée, autant mouillée. Je la pénètre doucement, progressivement, puis lui glisse un doigt dans l'anus.
Ses orgasmes multiples ne comptent même plus. Je n'ai pas compté. D'habitude je compte, dans les rares cas où j'ai eu le bonheur de coucher avec une fille capable d'orgasmes multiples. Mais là, il n'y a plus d'enjeu de performance. Le plaisir est là, comme une évidence.
Je lèche ses mollet, écarte ses jambes. Elle se caresse devant moi.
Elle revient au dessus, je glisse à nouveau un doigt dans son anus, puis deux. Elle se presse contre moi, de sa poitrine, de sa transpiration, de se langue. Elle me mange les oreilles, me mord le cou.
J'enfonce mes doigts dans son cul. Je lui dit qu'elle mouille de l'anus. Elle se dilate. Elle me glisse à l'oreille qu'il y a de la place pour deux, qu'elle a eu une expérience avec deux hommes déjà.
Je la traite de salope, lui met une fessée. Ca l'excite. Inutile de vous dire qu'elle jouira encore, une fois, deux fois, trois, je sais pas, je m'en fous.
Elle m'arrache le préservatif et me suce à nouveau. On discute de temps à autre, pourtant ma bite reste dure, alors qu'elle continue à me branler tout en me caressant les couilles. Je pousse des râles lorsqu'elle me les lèche. "Prends-les dans ta bouche" lui dis-je, presque en la suppliant.
Je sens que ça vient. J'explose dans sa bouche, pendant de longues secondes. J'ai poussé un long cri, très certainement ridicule. Je ne me souviens pas avoir pris un tel pied.
Il est trois heures et demi du matin.
- Tiens, il reste une goutte, me dit-elle en léchant une dernière fois mon sexe... pour la nuit. Car il y a encore le lendemain matin...

A suivre donc.

La suite et fin. Demain !

je sortais de la douche...et voilà...suis denouveau toute mouillée...c'est malin... yyyy2

Rourhhhhhhh mais qu'est ce qu'il m'a pris de lire ça ce soir !!!! xtfr2e
La T°C ambiante était djà bien assez chaude comme ça ......... le titre était pourtant évocateur mais la tentation trop grande, vous connaissez ça nan ???  yyyy33
Et ben maintenant voilà faut que je reparte prendre une douche .......... alors kékon dit MERCI BM   yyyy2

Non mon darling, c'est juste que j'ai pas les accents sur mon clavier... Donc je vais le reformuler (enfin si tu veux coucher avec Lance darling, on peut peut-etre s'arranger a 3...  xs03): "va y darling, c'est chaud la, on a de la braise dans la culotte, tu nous fais la suite histoire de justifier le stock de serpillieres sur lequel je suis assise stp?"

Ma nuit la plus chaude. Suite et fin.

Petit matin. Vers les 10 heures je crois. On se regarde.
- Bonjour.
- Bonjour.
Bien dormi, oui mais que quelques heures.
Après avoir repris nos esprits et nous être rafraîchis, il ne nous en faut pas plus pour nous sauter à nouveau dessus.
La nuit d'avant était notre première nuit, il y en aura d'autres, que je vous raconterai peut-être... si vous êtes gentils.
Là c'est le matin, je ne sais plus qui a relancé les débats, les ébats  plutôt, car tout est un peu confus, et tout était naturel. Sauf les pratiques :

Pour commencer, mon excitation est remontée dans sa bouche il me semble. La nuit courte n'avait point endormi ses douces et vigoureuses fellations, humides et profondes. Déjà dur je savourais le moment.
Ses fesses et son sexe à portée de main, je commençais à la caresser. La chaleur peut-être, la nuit courte, elle était encore toute mouillée, ou déjà. Elle s'approche un peu pour rendre le chemin plus accessible et dans son cul un doigt j'introduis.
Il est serré. Pendant la nuit j'avais tenté une vague sodomie, vite abandonnée, elle m'avait expliqué aussitôt que mon sexe était trop gros pour pouvoir y rentrer. Evidemment j'avais essayé. En effet, pas moyen de la pénétrer ainsi, en tout cas avec mon terrible engin.
Mon doigt en revanche semblait le bienvenu. Tout en continuant à me sucer savemment, avec gourmandise, elle basculait de temps à autre sa tête en arrière pour pousser un petit gémissement au gré du rythme que j'imposais à mon doigt qui explorait son anus, toujours plus profondément. Comme pendant la nuit, j'ai la certitude qu'elle mouille dans cet orifice : c'est doux, chaud, et serré. Je lui fourre mon doigt le plus profondément que je peux, en le remuant un peu sur les côtés : elle hôte ma bite de sa bouche quelques instants, retenant sa respiration, la bouche ouverte, pour jouir dans un spasme qui me fait vibrer de tout mon entier puisqu'elle était couchée sur mon ventre pour me sucer.
Elle reprend son office, transpirante, mais toujours aussi experte avec sa bouche, ses lèvres, sa langue, ses deux mains. Elle en glisse une entre mes cuisses. Ma transpiration et sa salive se mélangent.
Je l'attrape par les épaules et la jette sur le dos. Je lui soulève les jambes, un peu plus haut que pendant la nuit.
A mon regard lubrique, elle voit très bien où je veux en venir, ou plutôt, où je veux aller et m'introduire.
Elle me redit que ça ne rentrera pas.
J'enfile un préservatif. Je lui titille le clitoris et l'entrée du vagin avec mon gland déjà tout gonflé de ce qu'il va tenter.
Je m'introduis dans son anus. Elle fait un petit geste, mais rapidement elle se détend, et se laisse aller en arrière. Je commence à faire un petit mouvement de va et vient, mais ne vais pas plus loin que la moitié de la longueur de mon sexe. Malheureusement pour elle, c'est là qu'il est le plus large. Elle n'a pas l'air de s'en plaindre car cela lui arrache quelques cris de plaisir. Elle s'aggripe aux barreaux avec une main et se caresse le clitoris de l'autre. Les yeux fermés elle s'abandonne au plaisir. Elle gémit encore plus fort au moment où je m'introduis d'un ou deux centimètres de plus, pousse un cri. Elle jouit.
A peine le temps de reprendre son souffle qu'elle arrache mon préservatif et me suce à nouveau. Visiblement très excitée elle me la fait encore gorge profonde. Cela m'excite à mort car contrairement à cette nuit je vois bien mon sexe entrer de plus de la moitié dans sa bouche, mais surtout, c'est comme si elle mouillait. De la salive emplit de plus en plus sa bouche jusqu'à que ce que ce soit mon sperme s'en mêle : je pousse un long cri rauque, profond. Malgré la fatigue, une nuit longue et très agitée, mon orgasme est puissant, tellement qu'il me surprend.
Je m'effondre à ses côtés. J'ai plus de mal qu'elle à reprendre mes esprits. Quelle heure il est ? Quel jour on est ?
J'en sais rien. Je me souviens juste avoir pris mon pied comme jamais. Mais nuit la plus chaude aura duré une demi-journée.

Je lirais ça ce soir avant de me coucher pour faire de beaux rêves ........ ça me détendra  :)

Merci de nous écrire un ptit mot chaque soir  xs16

tu me raconteras l'effet produit...

Bah moi j'ai lu... la a mon bureau... heureusement qu'on a pas fauteuils en cuir, je serais collee dessus  xs04 c'est tres beaux tes histoires tu sais? C'est tres doux la. C'est tres... enfin, bon bref... j'vais trouver les mots hein, pour l'instant mon neurone est parti ailleurs  xs01

très excitant à écrire aussi...

je priais pour qu'on me ponde pas une réunion surprise où il fallait que je me lève tout de suite...

boh ben si ça vous plaît je vais vous en raconter d'autres.

Mon après-midi la plus chaude.