NUTS - Nos Univers Très Sexy

..mais dans la vraie vie j'ai comme des doutes



http://www.youtube.com/watch?v=-CwOymRrfNc (http://www.youtube.com/watch?v=-CwOymRrfNc)



Putain comment je me serais barré à toute blinde!
(mais non rooooh je déconne)


Enfin quoique: vous imaginez quand même la différence qu'il y a entre la perception par l'écrit, la projection qu'on fait d'une personne qu'on ne connait que de façon virtuelle et la réalité.
Si vous ajoutez à cela tous les problèmes qui surviennent d'ordinaire entre un homme et une femme qui n'ont pas de soucis majeur.

Bref c'est kromignon comme une photo de petit chat dans un panier d'osier (stadire que dans la réalité on en a pour 20 ans à ramasser sa merde dans la litière)

J'aurai préféré un couple établi pour lequel l'un des deux déclare que malgré les ennuis il serait là.

Donc Fail...

jpleure comme une madeleine,apres le visionnage.jsuis tres bon public 8)


oui ,pour ta reflexion sinon...

Je suis trop content...  xs04
En attendant la réponse... je me suis dis exactement les même mots qu'il a tapé... à l'identique...  ;super

d'accord et si elle avait dit j'ai le sida?

Je pose cette question par ce qu'avec les tri thérapies ont fait des miracles.

Mais t'as vu comme elle est belle cette loute on dirait un Wermeer... !

ému parrain ?

J'ai 3 proches amies qui ont eu le crabe... dont une de mon âge qui a divorcé parce que après la seconde ablation de sein son mari la voyait sexuellement morte...On lui a refait les seins... Après quelques errances sur Métoc,   elle a refait sa vie avec... son ex  infirmier. retrouvé sur métoc
 :) ça existe dans la vraie vie


Pour le sida... je ne sais pas, j'aime trop le sexe pour envisager une vie sous cellophane, dis ça, mais pas sûr que ça m'arrête... Avec sculpt... on ne savait pas trop avant les tests... je crois que j'aurais pu continuer quand même ... s'il avait été séropo... mais alors en renonçant à tout autre partenaire que lui (je dis ça parce qu'à nos âges, justement les tri thérapies peuvent laisser 20 ans... et moi, ça m'aurait suffit. Je l'ai vraiment vécu et envisagé comme ça l'an dernier, ce n'est pas une hypothèse...) xtfr81

Ma réponse n'aurait surement pas été la même... et encore... j'en sais rien...
ça dépendrait de tellement de détails... mine de rien...

C'est facile aussi de dire "et alors" sur msn ::)

Oui enfin bon ce n'est pas la réalité c'est une pub qui veut faire changer les comportements  ::)

Pis la nana est SUPER jolie même chauve avec un foulard... ::)

Oui, j'aime bein aussi quand la chauve sourit.

Joli  ;D

Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça ...

Très honnêtement, je crois que moi j'aurais fuis en courant.
Parce que malgré tout ce qu'on peut en dire, c'est, je pense, aussi difficile de ne pas être celui qui est malade que d'être celui qui l'est.
Une relation, c'est déjà jamais facile en temps normal, et que dès le début, il y aie déjà une valise remplie de plomb, je ne pense pas que j'aurais le courage de l'affronter.
Alors oui, c'est lâche, minable et tout ce que vous voulez, mais je crois bien que j'aurais baissé les bras avant même d'essayer.


Et pour rebondir sur Hot, je ne suis pas sure que le fait que ça arrive en situation "établie" facilite la donne.
Ca dépend de la personnalité de chacun, c'est certain, mais malgré tout.
Pour exemple, j'ai appris cet été que les analyses de mon père étaient de nouveau mauvaises, malgré l'opération il y a 2 ans et les rayons cette année. C'est tombé à la période où j'étais à l'hôpital, et on a du coup pas mal évoqué les sujets touchant à la santé. Et j'ai vraiment été ébranlée de l'entendre parler aussi souvent de la mort, de voir qu'il l'a en tête en permanence. Je sais que c'est un sujet qui l'a toujours beaucoup perturbé (son propre père est mort très jeune, etc.), mais là, j'ai vraiment trouvé que la maladie avait "aggravé" ses peurs.
Moi je ne suis que sa fille, et mes contacts avec mon père sont assez distants. Mais j'imagine ma mère dans tout ça. La place du conjoint n'est vraiment pas enviable.

Là par contre cela dépend de ce qu'on entend par engagement. Bien entendu que c'est pas facile d'etre le conjoint d'un malade, mais d'un autre coté la vie n'est pas qu'un lit de roses...

Pour moi, ça rejoint un peu le même cheminement mental que le sujet que nous avions abordé il y a quelques temps : "quid si votre conjoint changeait du tout au tout de boulot".
La différence est que là bien sur, ça n'est pas choisi, mais ça implique des changements forts dans la personnalité de l'autre, et du coup, ça relance la question du "est-ce que je suis toujours capable de vivre avec ?".

je crois qu'on ne peut écarter la circonstance atténuante: on passe au stade de victime mine de rien, et ça change sacrément la donne.
J'aurais plus tendance à ne pas valider un comportement chiant par ce qu'on est malade. C'est pas la meme chose.

.

J'avais écrit un truc ici mais la formulation ne me plait pas, je reformule et je re-poste.

faut pas se leurrer, des conjoints,  des compagnons( au feminin, c'est valable aussi hein!)qui ne supportent pas l'etat de maladie grave, avec changements physique importants ,et soins journaliers +++ à domicile,y'en a..
et y'en a qui pensaient ne pas pouvoir assumer et sont encore là, et seront là jusqu'à la fin si ça se passent mal..
l'humain,a de telles capacités..et incapacités..

comment juger, c'est pas possible..

la notion d'engagement n'est pas suffisante pour comprendre, et parfois ce n'est pas un manque d'amour du tout,qd il y a impuissance et detachement.
ptre une incapacité à supporter ,la souffrance et la degradation de l'etre aimé..
un peu d'egoisme aussi, ptre,pour d'autres ,du fait de la vie de  tous les jours, des loisirs,qui changent..le coté leger qui saute

mais comtesse a raison, commencer une relation ,avec une telle donnée,  c'est pas gagné..

Oui Marie, on a aussi des capacités de rebondissement (ou au contraire d'effondrement) qu'on ne soupçonne pas tant qu'on n'est pas au pied du mur.
La théorie est bien souvent différente de la réalité.

oui bien sur,tite comtesse xs16 :-*

+1

J'ai déjà eu l'occasion d'apprendre - sur internet - qu'une personne très proche (depuis relativement peu de temps) de moi était malade. d'un truc guérissable mais avec de grandes difficultés. Deux possibilités :
- laisser tomber
- aider l'autre à se battre pour guérir

J'ai choisi la seconde voie, même si c'est la plus difficile. Ce n'est certes pas tout à fait la même situation que dans la pub, mais les questions que l'on se pose sont les mêmes. Seule différence :  je n'ai pas écrit "et alors" mais "je vais essayer de t'aider dans la mesure de mes possibilités". Et aujourd'hui je suis plus qu'heureux d'avoir choisi cette voie.

je crois pas que ça m'arrêterait franchement.
Mais là l'histoire ne dit pas si une fois qu'il la rencontre, et qu'ils commencent à vivre le truc, s'il tient en pratique .
Parce que sur msn c'est facile.
Ca fait partie de l'idéalisation ds laquelle on tombe parfois sur le net avant une rencontre.