NUTS - Nos Univers Très Sexy

Et hop !


Alors, ma perception de non buveuse, hormis un rare verre occasionnel, voire deux si c'est vraiment la fête, c'est qu'il y a un réel problème d'alcool sur nuts.

Ben oui !
Sauf que c'est tabou, que il ne faut pas le dire, et surtout pas en parler, parce que non, c'est pas un problème...
Alors il y a l'alcool festif, je le reconnais bien volontiers, mais il y a aussi l'alcool obligatoire, celui qui fait qu'on est incapable de concevoir une soirée en buvant un jus d'orange ou un coca, et il y a enfin l'alcool en dosage minima quotidien.
Je ne ferai pas de sondage, il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, mais penser qu'il est normal de descendre X mojitos à chaque soirée, ça m'interpelle comme étant un peu trop, vu de ma fenêtre.

Pour finir j'ai un pote qui ne conçoit pas un repas sans vin. Le midi c'est un verre, voire deux. Le soir aussi + 1 bière en rentrant du boulot. Il se nomme lui même alcoolique. Pas parce qu'il consomme à l'excès, simplement parce qu'il n'envisage pas une journée sans alcool.

Je suis du même avis que Ruth. Aimer l'alcool est une chose en consommer régulièrement et trouver ça tout à fait normal en est une autre.

Oui c'est un fait reconnu : je ne tiens pas l'alcool ! Mais je trouve le gout très agréable, c'est un plaisir que je sais apprécier, mais c'est pas pour autant que chaque moment festif se doit d'être inévitablement associé à de l'alcool.

Quand je lis Nuts, j'ai pourtant l'impression que c'est souvent le cas : amusement/fête/décontraction = alcool.

Pour moi désolé c'est pas dans la normalité.

Moi, je tiens très bien l'alcool.
 xtfra6

Yopla  ;D

Alcool festif pour ma part, et pas de consommation journalière.
Par contre comme déjà dit précédemment, quand je m'y met j'ai une sacré descente  :-[
Et une tenue tout aussi surprenante  ;D

Mais oui, je suis d'accord avec le doc et nana, ya un souci de boisson sur le forum. Nous avons beaucoup de membres qui boivent beaucoup... Après les circonstances ne sont pas similaires pour tous (et toutes...)


Pour moi c'est exactement ça  xs15
Après savoir ce qui est normal ou non, c'est une autre histoire.

Entièrement d'accord, Doc (one more time !).

J'aime bien certains alcools, mais comme disait Rhiz, j'ai horreur des effets secondaires, donc j'en consomme très peu et ça ne me manque pas du tout.

Et j'ai du mal à concevoir qu'on ne conçoive pas cette attitude comme le disait Jaya :

pareil...mais quand je suis en prépa de course, je sais m'abstenir...boire un panaché en apero et basta...

j'ai pas besoin d'alcool pour passer une bonne soirée si les gens savent s'amuser  ;D

exception : les vacances d'été car je ne roule pas ...là c'est pina colada à 11h du mat et mojito tous les soir et bière à l'apero etc etc  ;D xs02


mais sinon je suis vachement plus accro au coca light  xs02

Pour moi c'est presque pire  ;chut

 ;D

Mon rapport à l'alcool a beaucoup changé avec mon régime.

Avant, effectivement, j'avais tendance à beaucoup picoler. Toujours festivement, jamais seule, mais malgré tout en exces.

Et puis depuis le régime, j'ai été quelques mois sans toucher une goutte. Aujourd'hui, je me limite, déjà à cause des calories, mais aussi parce que de toutes façons, je ne tiens plus  ;siff

J'aime toujours le lâcher-prise que m'apporte le fait d'être un peu éméchée, mais je me rends aussi compte que dans certaines soirées, cette "ivresse" est plus liée au contexte et aux gens avec qui je suis, même en tournant au coca zéro  ;)

faut bien mourir de quelquechose  ;)

tout pareil que la dame  :)
et d'ailleurs j'en suis bien contente car ma tendance alcoolique m'inquiétait

ceci  dit, j'ai un peu de mal avec ces jugements sur les nutsiens qui boivent ,au nom de la normalité en plus !!
il est évident que sur nuts il y a beaucoup d'addicts, à l'alcool certes, mais aussi au sexe ou à la bouffe, et autres compensations mais bizarrement on ne parle que de l'alcool  xs04

Moi c'est pas compliqué je tiens pas l'alcool, je bois deux verres et je suis stone et un vrai moulin à parole (c'est la que dit vraiment tout ce que pense et sait comme secret ;D).
Je ne bois pas en semaine juste l'occasion de fêtes et de réceptions, deux voire 3 apero j'aime bien et ca me suffit,
un peu de de bon vin aussi, jamais au point d'avoir une gueule de bois.
Je suis vite un peu ivre mais vu ma carrure ca passe très vite aussi, par contre j'aime pas du tout passer la soirée avec une équipe de gens complètement déchiré et ca me tente pas du tout de les suivre, j'appelle pas ca une bonne soirée.

Le coca, c'est pire que pire ...

C'est quoi la normalité?

je ne bois pas d'alcool, jamais ete stone,ni un peu "pompete"'(ortho?)
j'apprecie une fois de temps en temps  un tit vin doux, et du champ ,mais  qd jsuis invitée ,jlaisse mon verre,si je n'ai pas eu le choix de ma boisson..
par contre pour le gout ,parfois je goute du bout des levres dans le verre de cheri officiel ou de copines ..
je n'aime pas la brûlure ,en fond de gorge.
l'odeur de la bierre m'indispose carrement si trop forte, trop vu et senti mon pere en boire, ainsi que sur le plan prof ,aux urg ,vu ceux menés par les familles,les pompiers pour  excés alcoolisés,et devoir nettoyer...
j'ai des amis que j'aime bcp, qui boivent,et partent vite...comme cam, j'evite les soirées tant que jpeux, alors, et jprivilegie les moments en journée avec eux..
de fait ce sont les exces non gerés ,qui me genent..
c'est comme ça
mais zaz à raison, par ex ,je sais etre addicte,bien  que ça me soit nefaste  aux farines ,ben ça se manifeste pas pareil, mais qd jcede ,jsuis peu mesurée..et ma santé morfle,et jsuis perclue de douleurs ,et je le sais pourtant :-\
et le sexe a une grde importance dans ma vie....
donc je ne juge pas, jsuis pas blanche, mais oui sur nuts l'alcool semble tres festif ,tres tres ,à vous lire

Je ne suis pas un alcoolique, je suis un ivrogne.
Les alcooliques, ça va dans des meetings anonymes, c'est pas mon genre.

A part ça, j'ai toujours un peu de mal à faire confiance à quelqu'un qui ne se fait pas assez confiance pour se lâcher, et en particulier ceux qui ont peur d'être un peu ivres.

Hips.

et la vodka ou le le gin c'est mieux c'est sur  ::) ;D

Bonjour les gens  :-[

-bonjour Hot
_{-bonjour Hot}
-^{bonjour Hot}
-bonjour Hot
-bonjour Hot
-bonjour Hot

Alors wàlà, ça fait 15mn que je n'ai pas consommé de coca light lemon et ça va paaaaAAAss  xs10


Bon...les gens qui me connaissent savent mon addiction à la clope, à cette merde et pas à l'alcool.

En fait je suis pochetron de la clope et conscient des dangers qu'elle représente. J'assume: c'est tout...

Il y a un truc rigolo dans l'anamnèse: quand on demande à un fumeur combien il consomme, il est conseillé au praticien de multiplier par 1.5

Est ce que cela veut dire que tout le monde ment?

Rho  ;D

J'ai tellement souffert de la violence générée par mon père quand il avait bu, que ... nan, moi, l'alcool, ca passe difficilement.
Je e suis pas une oie blanche, loin de là, parfois, à titre festif, je bois un peu ... mais rarement outre mesure.
Surtout en ce moment, si j'avale un peu plus d'alccol que je peux gérer, je deviens hyper agressive, donc, je préfère éviter.
'Chéri' me propose très souvent à boire ... je peux pas, je ne veux pas ....
J'sus sortie d'une addiction, j'suis encore addictive à internet, mais l'alcool, j'prefère pas.

Mère alcolique très sévère que j'ai souvent ramassée... entre autres problèmes... ex beau père mort d'alcoolisme... ça devrait refroidir un max... Pourtant...
Adolescence d'alcool et rock'n roll voire punk.... Ma vie de maman 15 ans quasiment sans rien boire d'alcoolisé par goût d'autres joies... Puis du mondain, des grands hauts, des grands bas... entre refus obstinés et plongées vertigineuses soit-disant festives mais pas vraiment... La conscience très claire vis à vis de ce que cela masque ou pas...  
Les limites du plaisir et de l'excès... j'ai goûté du meilleur comme du pire dans les grandes caves ou les bouibouis...
Le déséquilibre... et l'équilibre... entre lâcher prise et respect des autres, de soi, il y a des limites...
Et la téquila m'amuse... quand même !
J'aime pas les boissons sucrées en général sauf très ligth... mon péféré c'est un générique cola ligth citron moins dosé en édulcorant...

Je bois de l'alcool sans raison particulière.. un peu comme Tiger, je peux avoir des phases sans alcool du tout et d'autres où j'en consomme régulièrement, un verre de vin au repas.
J'aime les bons vins et les déguster en compagnie de préférence mais prendre un apéro ^{même seule} ou pendant un bain moussant, zéro complexe par rapport à ça.
J'aime bien l'alcool festif et je tiens bien l'alcool ! xs04  Donc me mettre minable exprès, ça, non, c'est pas mon truc. Quand ça m'est arrivé.. c'était plus dans le feu de l'action.
Le tout est d'être sans excès d'un côté comme de l'autre..  xs03


pourquoi ça ?

Lulu, ça me gêne pas hein et dans un pays comme le nôtre avec de si bons crus, quelqu'un qui me dit "ah non, jamais !" dans le fond je trouve ça dommage.. après chacun fait comme il/elle veut  ;)

Alors, pour moi, il n'y a aucun problème d'alcool sur le forum.

Quand on fait la fête, on le raconte, et en plus, ce n'est pas parce-qu'on se dit sur le forum qu'on va se taper des mojitos à donf' qu'on le fait. Déjà grosse nuance entre les écrits et la réalité.

Ensuite, entre ne jamais boire d'alcool et être ivre après deux gorgées et apprécier le vin et les cocktails etc etc, y'a une différence.

Me concernant, mes parents m'ont raconté qu'à 2 ans lors d'une visite des caves de vin, j'ai tété le robinet d'un fût  ;D

J'ai été élevée dans une culture du vin, du bon vin, des grands crus de bourgogne. Je vais même vous dire une chose, pour moi, une personne n'aimant pas le vin, et bien c'est assez rédhibitoire pour moi, genre on a pas la même vision du monde  ;D

Et oui ça m'arrive de vider une bouteille de vin avec ma soeur en refaisant le monde, ou avec un amant en faisant l'amour...et si je compte, ça doit faire à peu près depuis le 2 avril que je n'ai pas bu une seule goutte... 8)

Mais je comprends qu'on puisse ne pas aimer, mais les limites, et encore plus la normalité (je rejoins flibette), c'est quoi?

carda, xs16
donc ok avec moi qd je te disais connaisseuse..sens competence,ou moi je n'en n'ai aucune

J'ai pas été élevée dans la culture du vin et je l'ai découvert assez tard, mais je milplussois Carda sur ce coup-là  xs15
Ça rejoint l'idée de partage et de dégustation.. _{sans pour autant finir à 15gr}

Voui mais finir à 5 g dans chaque oeil c'est parfois marrant  ;D
Bien accompagnée bien sûr...

c'est clair ! enfin pas tjs justement  ;D

Connaisseuse je ne sais pas mais amatrice oui, curieuse oui...

C'est une valeur de vie le vin pour moi  :), ceux qui l'aime, ceux qui le font aussi, surtout.

 xs18

pour moi un problème d'alcool commence quand on ne peut prendre un repas sans un verre de vin ou une bière avant...comme la clope apres chaque repas...les plus dures à eliminer quand on arrete

mon frère ne peut pas manger sans alcool....je regrette, ca fait pas de lui un pochtron mais pour moi il a un petit probleme d'alcool ! :-\

j'ai dit un truc drôle sans faire exprès ?  ;sorry

désolée mais j'ai pas compris pkoi tu as posté ce constat.. alors si tu veux, tu expliques  ;)

Ca c'est UN exemple. Ce qui ne veut pas dire que tous les problèmes d'alcool sont "ne pas pouvoir manger sans un verre".

Voilà, je pense pareil. Ou alors le vrai problème commence quand on a besoin de l'alcool pour le bien être physique qu'il nous procure (et non le plaisir du goût).

Franchement Doc, tu vivrais dans mon entourage, mes amies amis, boulot, famille, tu nous inscrirais tous aux alcooliques anonymes. C'est peut être toi qui a un problème avec l'alcool...

Et je ne vois pas en quoi c'est tablou, parlons en au contraire!!

Réagir vivement, comme je l'ai fais, ne veut pas dire qu'il y a problème, mais que le jugement ou la vision est faussée...déjà de par ton propre rapport à l'alcool...

ok, c'est peut être moi qui devrais quitter le fil, l'hypocrisie c'est pas mon truc.

 ???

Je comprends vraiment pas...

moi j'aime l'alcool festif...jamais je pourrais ouvrir une bière seul devant la télé...me faut ma femme ou un pote ou plus...

partager un bon bourgogne devant un bon plat dans un beau restau en charmante compagnie fait partie des plaisirs de la vie au même titre que le sexe pour moi...ou qu'une promenade en bord de mer...

mais c'est ce coté epicurien qui me plait ...pour le reste y a le coca light  xs04

Doc : tu ne bois pas ou peu et tu n'aime pas ca...c ton droit...mais bon , à ce rythme là, on peut commencer à pointer du doigts les gros fumeurs qui tuent  petit feu leur entourage aussi...y en a  ::) xs02

c'est quoi le lien avec l'hypocrisie ?  ???

et puis on est pas là pour refaire l'education des gens ...on est tous majeurs et vaccinés  xs04

Moi aussi je suis d'une région vinicole (pas Nantes, hein !) et j'aime le bon vin. Mais sans excès, je trouve qu'on apprécie plus.


J'ai pas peur, j'aime juste pas les sensations  :)

mais y'a aucun pbe ma Lulu :)
 
le bon vin, on l'apprécie le plus souvent sans excès et surtout lié à son histoire.. (je parle pour ma vision de la chose)
Le partager ainsi donne une autre dimension à la dégustation, alors en compagnie de personnes qui apprécient aussi, c'est juste agréable.. comme de fumer le cigare pour les connaisseurs/amateurs, etc..  ;)

mon prob c'est qu'un bon vin bu seul me paraitra très fade... :-\

+ plein !
et je trouve pas que c'est limite, ça fait partie des plaisirs de la vie... comme les bons plats et le sexe  :P

de là à dire que les tastevineuse qui se gargarisent et recrachent apres sont les meilleures... ;D

Oh oui, oh oui, on se refait une discussion sur le besoin versus l'envie, oh oui oh oui, siouplait....

Hips...

tout à fait d'accord.  perso, j'évite de boire quand je conduis donc si je veux boire un bon vin, c'est en général chez moi et comme je reçois peu, il m'arrive de me faire de temps à autre d'ouvrir une bouteille pour me faire plaisir.

c'est un choix très louable.  Certains plaisirs de la vie sont très rares voire inexistants donc pas envie de passer à côté de ceux qui sont à ma portée et puis j'ai toujours aimé découvrir un nouveau vin, et oui, c'est plus agréable lorsque c'est avec une personne qui apprécie mais je préfère encore le boire seule que de de le partager avec quelqu'un qui ne fera pas de différence entre un gros rouge et un bon vin

A partir de quand y'a excès et pas excès ?

Bonne question ... Un ou deux verres au cours d'un repas me suffisent, personnellement. Et de l'eau pour la soif.

Je pense que ça dépend du goût et de la tolérance de chacun..
Définir une limite à l'excès, je sais pas faire.. ce serait comme définir à partir de quand le sexe devient pervers.. chacun a son référentiel et ses propres limites.


L'excès immanquable : quand on est malade ou raide mort par terre parce que trop saoul mais ne présente aucun intérêt pour ma part.

+ 1

l'excès est difficile à définir mais on pourrait supposer qu'il y a excès dès qu'on perd le contrôle de soi, qu'on fait des choses qu'on ne ferait pas à sang frais

Pas forcément, il peut y avoir excès dans la fréquence aussi.

Par exemple, quand je travaille sur une série de représentations au théâtre, soit 8 soirs de suite. Et bien mon chef, il a son petit rituel avec nous, c'est le verre de vin au bar vers 19h. Puis ensuite, le dîner avec l'équipe, avec du vin aussi. Et bien y'a des soirs, je ne bois pas de vin à table, parce-que 8 jours de suite apéro plus pinard à table, je ne peux pas.

Mais il m'arrive de descendre facilement une bouteille à deux comme une lettre à la poste, et aussi de siroter de temps en temps un verre de bon vin, dans un beau verre (j'adore) seule à la maison...


Après y'a le discours des medecins, genre pas plus d'un certain nombre d'unités par semaine (verres), et là, ok, je suis alcoolique par période  ;D

Sujet intéressant. J'ai lu et je tourne autour depuis le début.

Moi, j'ai un vrai problème avec l'alcool. A tel point que je me suis non seulement posé la question de l'alcoolisme mais suis allée voir un professionnel pour m'aider à aborder et/ou résoudre la question. Si j'ai des couilles, j'y reviendrai.. (je comprends doc ruth quand elle parle d'hypocrisie, ou alors à défaut de la comprendre, je l'entends, c'est la première caractéristique : ne pas vouloir l'entendre).

Mon souci? Je veux toujours pas faire d'uts, j'me vois pas mise en pâture ici. Les gens que j'ai pu aimer ou que je pourrais aimer via ce type de medium , j'leur dis la vérité. Et oui, je suis fragile.

Carda? tu n'es pas si fragile qu'on te le dit, au contraire! Tu as tendance effectivement à aller vers des hommes à qui tu demanderas ce qu'ils ne peuvent pas te donner et qui te confirmeront qu'ils ne peuvent pas le faire. Ton chemin -ie te remettre en cause, cad pas toi mais "pourquoi" est à mon sens, juste et encore une fois, bravo! C'est de la force, ça!

Dans le genre hypocrisie, pourquoi y a-t-il autant de femmes sur nuts (ou autres types de forums) qui ont des soucis de poids? Une des premières réflexions que je me suis faite quand j'ai commencé à fréquenter ce type d'endroit et plus encore, rencontrer leurs intervenants... Serait-ce à dire que c'est sur le net et seulement qu'elles peuvent exprimer leur libido? les autres baisent pendant ce temps là? ::) Voyez comme les clichés vont loin...

Je crois que nous sommes tous là parce qu'il nous manque profondément quelque chose ou (plus rarement) que cela en sublime une autre. Exceptionnels sont les gens qui ne viennent alors qu'ils ne cherchent rien. Je pourrais citer Flib mais je ne la connais que depuis son changement de pseudo et tout le reste a été effacé (désolée de t'avoir citée nomément Flib, j'espère que tu as compris ;)). Je pourrais en citer beaucoup d'autres, mais ils se sont barrés très vite. Alors, qu'est-ce qui nous manque?  ::) Je dirais bêtement, et en revenant à un sujet déjà abordé... l'estime de soi.

lu, sensue.
merci :)

Lu  ;)

je n'ai pas de problème avec l'alcool , un petit verre au bistrot avec les copains et copines , puis apres pendant le repas un bon verre de bon vin et ca me suffit . le week end quand je reste chez moi , un petit ou deux digestifs popur passer la soirée devant cette television de nul . alors on est la dependance il m'arrive par période de ne pas boire une goutte d'alcool et ça ne me manque pas  ;clap

lu  xs16
Des problèmes d'addiction j'en ai connu dans tous les domaines... à peu près tous... l'un chassant l'autre... c'étaient des passions... il y a aussi une sensation d'extrême, de dépassement total dont on garde la nostalgie parce que la vie paraît très fade après... je vous donne un exemple que toute morale peut accepter : le sport... (karaté 3 heures tous les jours et même bien plus les WE et vacances : le jour où j'ai broyé ma rotule à l'entraînement et dû mettre fin à ce sport et beaucoup d'autres... l'alcool a pendant un temps anesthésié ma peine de ne plus sentir mon corps en liberté... mais l'alcool n'a jamais été une passion... juste une anesthésie transitoire que la prescription d'une autre subtance calmante aurait pu avantageusement remplacer...

Sensu, c'est ballot, j'ai jamais changé de pseudo...  ;D

Ceci dit, oui, je vois ce que tu veux dire.


Ben, moi, je ne sais toujours pas ce qu'est la normalité selon Nana, et le Doc.  :(

Aucun jugement, en ce qui me concerne, sur la bonne et la mauvaise façon de boire.
Certains peuvent devenir alcooliques au premier verre, d'autres ne le seront jamais. Ca n'a pas grand chose à voir avec la volonté, en tout cas au départ.

J'ai la chance de faire partie des gens qui ne sont pas alcooliques, malgré une période de ma vie où je m'alcoolisais quotidiennement. Un simple changement de rythme de vie, et j'ai oublié de boire.

Aujourd'hui, j'ai arrêté les alcools forts, malgré que j'en aime le goût. Au quotidien, je bois de l'eau ou du coca light.
Une cuite de temps en temps, mais c'est de plus en plus rare. En soirée, je m'en tiens au vin. Il m'arrive d'en boire à l'excès, et là, je souffre de logorrhée (enfin, c'est plutôt les autres qui souffrent). Mais de plus en plus rarement.
Je passe assez souvent plusieurs semaines sans en boire une seule goutte. Et ça ne me manque tellement pas, que même pas j'y pense.

Les alcooliques le savent. Un seul verre peut suffire à sombrer. Et quand on a souffert d'alcoolisme, la moindre goutte peut faire replonger. C'est très dur.
J'ai eu un pote à qui même un peu de vinaigre dans une salade, ou nettoyer ses vitres à l'alcool à bruler pouvait suffire à déclancher dans son cerveau l'hormone fatale.
Ma meilleure amie est alcoolique, et ne veut pas en parler. Samedi dernier, on a passé la soirée ensembles à Marseille. Il m'a fallu la tenir pour l'empêcher d'aller se griller auprès de son plus gros client. Le lendemain, elle avait oublié.

Je me dis que j'ai vraiment de la chance, parce que je pourrais vraiment être addict à l'alcool. Je ne le suis qu'à la clope.

Je comprend tellement ceci hélas, j'en ai perdu mon boulot, mais j'en parlerais ultérieurement quand j'en aurais la force  yyyy2

Et bien apparemment la réponse est la même qu'à ma question sur "quand y a t il excès et non excès ?" : elle dépend de chacun ?

Maintenant pour reparler du sujet en général et revenir en passant sur ce coté "hypocrite" du sujet comme l'a dit Doc (que je rejoint dans l'idée) c'est pas le fait de consommer, mais la façon de se cacher derrière une vision pour consommer (c'est comme ça du moins que je vois le sujet tourner). A écouter les Nutsiens et Nutsiennes (je nomme personne merci de le noter) le fait de boire du "bon vin", du "bon alcool", de le boire de manière noble (joli verre et compagnie) ça donne une autorisation à consommer : désolé pour moi non !

C'est pas parce qu'on a la culture du vin, qu'on se doit pour autant de trouver normal d'en boire plus et plus souvent. POUR MOI quand on est capable de se descendre une bouteille à deux sans souci que ce soit du bon ou pas c'est quand même pas dans ma normalité (je dis pas que ça peut pas arriver exceptionnellement, mais ça fait pas parti de la vie de tout les jours)

Parce que si on part sur ce genre de base sachez que j'ai une très jolie cave contenant x bouteilles, dont de super crus (j'ai connu un sommelier), j'ai tenu un bar/restaurant (j'ai emporter la cave au départ) et j'habitais en limite de bourgogne. On boit du bon vin quand on reçoit, on a de très jolis verres, et j'aime le gout du vin .... c'est pas pour autant que je m'en tape à la moindre occasion.

A vrai dire je ne comprends pas du tout la diabolisation que toi et Doc faites de l'alcool. Ca m'échappe totalement, même. Je ne vois toujours pas où est l'hypocrisie.

Sauf si je me gourre, l'alcool, c'est un truc légal, pas un truc qu'on deal au fond des caves dans les cités. Or, à vous lire, ça a quelque chose d'illégal et dangereux.

Alors, oui consommé outre mesure, c'est dangereux mais pour moi, c'est un peu comme le nutella... Si je m'enfile un pot de 2 kg en 1/2 heure, y'a des chances pour que je vomisse partout.  ;D

Je ne vois pas non plus où les nutsiens disent qu'ils en "boivent plus et souvent". Moi, j'ai lu des amateurs qui se font plaisir pas des gens qui se bourrent le gueule.



Rome: Tu fais comme tu en as envie.

 
Nana, où as-tu lu que c'était le cas? Ca ne fait pas parti de notre vie de tous les jours, et on ne se tape pas une bouteille à 2 tous les 4 matins m'enfin voyons...

Pis après tout, je vois pas pourquoi je discute, vous trouvez que je bois trop d'alcool, et bien soit!  ;D

Je rajoute que je ne fais pas de l'hypocrisie consciente alors  :), c'est vraiment ma manière de voir les choses  :), et je réagis car je me sens jugée sur un mode de vie et des goûts qui font partie de mon identité.

Bon là, ça coomence à m'agacer toute cette morale.... xs10 S'il y en a bien une qui a pu être très fâchée aprés des alcooliques, c'est bien moi, mais ça n'avait rien à voir avec l'alcool, c'est la personnalité qui apparaissait derrière... Les irresponsables qui prennent le volant, les agressifs qui se défoulent sur les autres...
Après, les doses, y'a pas de norme ! chaque organisme a son métabolisme, qui peut changer d'ailleurs au fil du temps... selon la fatigue et l'humeur aussi.... et certaines personnes ont une sensibilité très particulière à l'alcool, pour eux faut pas une goutte ! (voir les Amérindiens, les Inuits, sur lesquels c'est ravageur...) A chacun de connaître son foie !!!!
Et puis ils y a les personnes qui à un moment ont pris juste un peu d'alcool comme remontant parce qu'elles allaient mal... et se sont fait prendre par le truc... Vous les aidez à trouvez le mal à la racine, vous le regardez bien en face, vous le réglez par d'autres moyens que ce putain d'alcool et il n'y a plus d'alcoolique... Juste une personne qui a été fragilisée, qui pour x raisons ne pouvait exprimer sa fragilité et la masquait par l'alcool... le jour où elle sent que cette fragilité n'est plus un problème que c'est assumé, elle arrive aussi à gérer les doses d'alcool qui lui conviennent ou lui sont dangereuses...
Après, les goûts et les couleurs, ça se discute pas, c'est comme ça...!

J'aime pas l'intolérence, vraiment j'aime pas !
(x'cusez les fautes d'orthographe où de syntaxe, suis énervée là, j'ai pas envie de passer 3 plombes à me relire pour corriger...)

Je le savais, Hot' c'est Doc House!  xxxxproxy

Bon, plus sérieusement, c'est un sujet dont j'ai déjà longuement discuté avec belle-maman, qui a bossé vingt ans dans une association de prévention en alcoologie et addictologie.

Petitun, nous ne sommes pas tous égaux devant la (les) dépendance(s). Physiologiquement pas égaux. C'est lié à la chimie du cerveau, et ça explique que certains peuvent fumer un paquet de clopes pendant une soirée et ne plus toucher un mégot pendant 6 mois, et que d'autres, à la première taffe, ressentirons le besoin viscéral d'acheter une cartouche.

Petideu, il est "reconnu" plusieurs formes d'alcoolisme. Les médias se sont fait assez échos de la "mode" du binch-drinking chez les jeunes, qui en est une forme.

Petitroiz, si l'addiction physiologique est "facile" à déceler, l'addiction psychologique est, quant à elle, une belle gageure à déterminer... Et c'est là, précisément, que ça devient très relatif et contextuel...

On sort de l'objectivité "0,5 g/par bras" pour passer au subjectif "t'as trop/trop souvent bu".  ;wacko

+ 1000 ..... Exact, pas que le foie, chacun sa chimie du cerveau aussi... qui varie également selon l'état psychologique du moment.....   Hot/House c'est certain !

Ce n'est pas parce que c'est légal que ca n'est pas dangereux. Par exemple je trouve le canabis moins dangereux que l'alcool.


Si non chacun fait se qu'il veut et surtout ce qu'il peut avec ses addictions, que ca soit bouffe, café, cigarette, alcool cannabis, virtuel...

Oui, quand il s'agit d'addiction tout le monde minimise et moi avec.

De toutes façons, la Religion interdit l'alcool (et le porc).

Ca n'est pas ce que je dis...




Ensuite, le canabis, c'est du pareil au même... Encore que puisque une taffe suffit à modifier l'état de conscience.

Pas d'addiction physiologique avérée au canabis. A la clope qu'on met avec, si.

Il s'est raconté tellement de conneries à ce sujet, qu'il devient difficile de faire le tri des infos. Il y a eu une excellente émission télé sur le sujet il y a quelques semaines. Avec des scientifiques qui ont fait des tests indépendants. Et qui ont démonté point par point toutes les niaiseries qu'on entend, en particulier en France, issues de soi-didant statistiques orientées et faussées.

Quant à l'alcool, il y a bel et bien addiction physiologique. Et il ne sert à rien de chercher les causes psychologiques si on ne règle pas l'addiction physiologique.
Il y a peu de centres dignes de ce nom en France, mais il en existe cependant. Parmi mes proches, deux personnes s'en sont sorties (un homme et une femme) en tentant une cure déculpabilisante, et après en avoir tenté plusieurs qui ne les avait conduits à rien de plus que d'être des alcoliques qui culpabilisaient.

Addictions diverses et psychologie... Si ça vous interesse, si vous cherchez à comprendre...
http://lecerveau.mcgill.ca/flash/d/d_03/d_03_cr/d_03_cr_que/d_03_cr_que.html
Bonne lecture, on en rediscute après...

On peut ouvrir d'autres fils si vous voulez, nutsiens nutiennes qui aimez immodérément le chocolat, le sucre, la bouffe, la baise, le net, la souffrance ou n'importe quoi... mauvaise habituation du cerveau... et ça se rééduque, en douceur avec de la compréhension.... xs08 signé ktycash

Vette: Y'a dépendance psychologique pour le canabis. Celle-ci peut être aussi violente que la dépendance physique.

Moi j'ai un problème avec l'alcool.

Je bois très peu, je n'aime pas l'alcool fort mais apprécie un verre de vin ou deux parfois au cours d'un repas (un verre suffit d'ailleurs à me rendre un peu ivre  ::)).
Je ne bois pas en contexte pro, sauf si je me sens obligée de prendre une coupe de champ' à un pot, mais généralement je préfère en rester au jus de fruits.

Alors c'est quoi mon problème ? c'est que je suis jugée pour ça, pas fun, rabat-joie, coincée... Effet miroir : certaines personnes buvant "beaucoup" se sont vues (enfin, ont cru se voir) par mes yeux, se sont jugées elles-mêmes en reflet. Comme si ma sobriété leur renvoyait leur alcoolisme, leurs problèmes en pleine tronche. Ç'a déjà été jusqu'à la franche hostilité.
Est-il besoin de le préciser, je ne juge pas les gens qui boivent. Je le vois certes, je peux en déduire différentes choses, imaginer des fragilités, derrière, dans certains cas ça m'a rendue triste, mais je ne juge pas, le rapport à l'alcool est quelque chose de très complexe.

L'intolérance n'est pas que du côté des non-buveurs...

pff....j'avais fait un long post et ma connexion m'a lâchée  xs10

merci kty, pour le lien, ça m'intéresse bien la compréhension (mot à double sens que j'aime beaucoup)
 :)

 ??? xs16

L'intolerance est partout...buveur - ffumeur - non fumeur- non buveur - ceux qui ne trient pas leurs dechets etc etc...
Rien à voir avec les dependances mais plutot à voir avec l'intelligence ...
Tiens aujourdhui j'ai rien bu d"alcoolisé à part un peu de vinaigre ...lol

J'ai bien parlé de non dépendance physiologique.

Mais j'suis intolérente aux intolérents  alors... Aïe j'me fais du mal là... xs18

Plus sérieusement c'est vrai que ceux qui ont tendance à pousser les autres à boire  (pour se déculpabiliser)
en les traitants de petits noms pas sympas s'ils refusent... c'est abject  xs07

Ouais, mais en effet comme dit big (enfin, je reformule), un con reste un con, buveur ou non-buveur...

D'accord avec Flib'


Se dire mesurée dans sa conso d'alcool (au-delà de la notion d'excès indéfinissable, puisque propre à chacun), ça ne signifie pas qu'on est dans le déni. Si on va par là.. est-ce à dire que nos propos sont à justifier selon les problématiques personnelles de chacun qui les lit ??  :-X

Je ne démens pas le fait qu'il puisse y avoir un vrai pbe d'alcool chez certain(e)s, simplement l'effet d'amalgame basique est douteux.

Oui il y a des poblématiques personnelles à chacuns...
Bon allez, 22h45 j'me lâche, le titre du fil c'est nutsiens et alcool....l'alcool pour moi... nourrie   (non même pas nourrie en fait, il y avait du personnel pour ça... pour me donner de l'amour aussi, merci ma Babysitter qui est toujours en vie)...au sein de la violence..psychologique...sexuelle et ...physique...quelqu'un qui vous abandonne totalement et ne répond à aucun besoin élémentaire... mais se sert de vous pour ses envies anormales... ou pour défouler sa rage...
 je suis la fille d'une alcoolo dépendante, bipolaire instabilisable, mégalo/paranoïaque et perverse... (gros tableau psy  sans doute dû à un big trauma  entre 0 et 5 ans genre abandon, viol...) Mais, dans mon milieu on ne dit pas ces choses là....et j'ai eu beau aller à l'autre bout du monde, la douleur irrésolue, ne s'éteignait pas....

Depuis quelques jours à peine, fin de la torture. j'ai enfin été déclarée  par le corps médical, orpheline de retour affectif sain  depuis ma naissance... une personne dans cet état étant incapable d'amour maternel ou de sentiment normal...   je dois me résoudre à ne plus attendre de retour affectif... (Ben j'en ai perdu du temps, de l'énergie, de l'estime de moi, à me révolter, à espérer,  à partager ses débauches dès 13 ans et à essayer de la protéger en vain. "J'aurais su , j'aurais pas v'nu...")
l'alcoolisme a rendu ses pathologies inextricables...
 L'alcool pour moi, c'est ce qui m'a pris l'espoir d'atteindre le coeur de ma mère, car on ne peut pas atteindre sa compréhension et pourtant je l'ai à 50 mètres de moi tous les jours.... je  n'en ai pas l'air mais je suis en deuil là...en deuil de compréhension

Et ma consommation d'alcool et ma façon d'être maternelle n'ont heureusement rien à voir avec celles de ma mère....

Merci pour ta confiance Ktycash  :)

+1

Ca n'a peut être rien à faire en zone publique non ?

Je ne suis pas médecin et encore moins spécialiste en addictologie. Mais je pense que la dimension psychologique est toujours plus importante que la dimension physiologique.
Le sevrage, au sens physiologique, prend quelques jours, pour l'alcool comme pour les dérivés de la morphine.
C'est ensuite que ça se corse. Ne pas rechuter.
J'ai eu un couple d'amis anciens héroïnomanes, qui s'en sont sortis. En fait ils ont remplacé une dépendance par une autre, ils sont devenus croyants, enfin croyants-fanatiques chez les évangélistes.

Une remarque : quand ont donne de la morphine aux gens qui ont mal, ils ne deviennent pas accros ! J'ai moi-même eu un traitement à base d'opium, lors d'une méningite virale.
C'est donc bien le contexte et la disposition psychologique qui crée la dépendance.

A vrai dire, y'a pas de vérité universelle en la matière. C'est très variable d'un individu à l'autre, du niveau de consommation, des produits consommés, des éventuels mélanges, etc.

Quoi qu'il en soit, que la dépendance soit physique ou psychologique, c'est un peu du pareil au même en terme de difficulté à s'en sortir. Par ailleurs, le plus souvent dépendance psychologique et physiques vont de paire.

Concernant la morphine donnée dans le cadre de la douleur, certains deviennent accros aussi... Tout comme d'autres deviennent accro de n'importe quel anti-douleur, sominfères, etc.

C'est complexe, en effet ...
Par exemple, pourquoi, en prenant un même produit, les uns deviennent accros et les autres non ?
Et on peut devenir dépendant d'autre chose que des stupéfiants : le sucre, les pâtisseries, le chocolat, etc.

Il me semble que c'est LPF qui en a parlé, histoire de cerveau...c'est chimique comme réaction...

C'est toute la complexité parce que oui, c'est en partie chimique (réaction du cerveau + durée de persistance du produit dans le corps (histoires de demi-vie), etc.) mais c'est aussi très humain.

De cette partie humaine, nous ne savons pas grand chose...

Ce que je disais, c'est que tout le monde n'est pas égal devant la dépendance physiologique, du moins c'est ce que les dernières recherches en matière de biochimie cérébrale ont l'air de montrer.


Ca c'est du ressort des psy.

C'est aussi, et peut-être surtout pas du tout la même morphine, pas la même héroïne.
Pour ce que j'en sais, et en d'autres temps, je me suis informée à donf sur le sujet, il y a très peu de dépendance à l'héroïne ''propre'', c'est à dire relativement pure.
Dans celle qu'on achète dans la rue, il y a très peu d'héroïne (ça tourne autour de 5 à 10 %) et le reste, ce sont des barbituriques et autres cochonneries qui elles créent une addiction hyper rapide.
Attention, je ne renie absolument pas le facteur psychologique. Il a bien sûr une place énorme.
Je dis juste qu'il ne faut pas tout mettre dans le même sac.

Voilà. C'est tout à fait ça. Et c'est aussi les infos que j'ai eues.

Et c'est aussi pour ça que je trouve inutile, voire dangereux, de faire culpabiliser les gens qui ont une addiction qui les met en danger. Tout expliquer par le psychologique aussi.
Chaque être humain a, à un moment ou un autre de sa vie, un coup de blues, ou une période où il ne se sent pas
trop bien dans sa peau, ou doit faire face à des évènements perturbants ....

Ils boiront un peu plus souvent, peut-être. Ceux qui ont une prédisposition à l'addiction à l'alcool deviendront alcooliques, ce qui n'en ont pas retrouveront un rythme normal dès que leur coup de blues sera passé.

Mais on dira systématiquement des premiers que ce sont leurs problèmes psy qui les ont rendus alcooliques.
Et il y a des fous furieux, des atteints du bulbe qui ne deviendront jamais alcooliques. Il y en a même qui n'aiment pas l'alcool et n'en boivent jamais.

De là à dire que les gens qui n'ont pas d'addiction n'ont aucun problème psy, il n'y a qu'un pas, que je ne franchirai pas.

Si si, ils ont une addiction à la non-addiction!  ;D

Oui enfin en meme temps y'a que dalle à minimiser.