NUTS - Nos Univers Très Sexy

Un petit article que j'ai lu aujourd'hui. J'me suis dit que ça pouvait faire matière à débat et discussion avec nos chers amis  ;D

Je ne dis pas tout de suite ce que j'en pense parce que c'est très contradictoire dans ma tête, j'ai besoin de faire le tri et peut-être de vous lire un peu aussi. Si ça vous intéresse bien sûr  ;)

Voici le lien (http://abcnews.go.com/2020/Entertainment/story?id=1526982).

Et pour les non-anglophones, j'vous l'ai traduit (euh... rapide hein? alors excusez-moi pour le manque de style)







Un self-made man

Norah Vincent a vécu comme un homme. Elle n’a pas été opérée ni n’a pris de traitements hormonaux lourds. Elle s’est simplement infiltrée. Incroyablement douée pour la comédie, se déguiser et avoir du cran, Norah a vécu au milieu d’hommes – en tant qu’homme - pendant 18 mois pour percevoir la vie de l’autre côté de la frontière des genres.

“Ce n’était pas pour faire un coup de pub. Il s’agissait d’apprendre. C’est une étude humaine : découvrir et comprendre mieux l’être humain… Et j’ai appris de la meilleure des manières puisque je l’ai vécu » dit-t-elle.
Garçon manqué, douée pour la comédie, elle a grandi dans le Midwest avec sa mère, actrice, son père, avocat et deux grands frères. Elle confirme être toujours un garçon manqué et vit avec Lisa, sa partenaire à Manhattan.
A 1m79 et 75 kilos, Norah passait pour un homme de taille moyenne qu’elle a prénommé Ned. Sa transformation commença par se raser la tête très court, des vêtements baggy et un soutien-gorge de sport trop petit pour aplatir sa poitrine. Elle portait même un rembourrage dans un jockstrap. Pour le reste, elle fut aidée par le maquilleur professionnel Ryan McWilliams et sa fausse « barbe de 17h ».

Puis, il y eut l’importance de l’art dramatique. Elle a suivi des mois de formation avec le profession de voix de Julliard, Kate Mare, afin de pouvoir parler comme un homme. « Les voix de femmes ont des résonances nasales plus marquées, en général » explique Mare.

Quand le déguisement fut complet – cheveux, maquillage, voix, démarche et posture, style – la transformation fut achevée et Norah Vincent est devenue Ned.


Faire partie de la bande


La journaliste qu’est Vincent n’a pas pris son étude à la légère. Elle estime avoir vécu dans la peau de Ned plus de 150 fois pendant les 18 mois de l’expérience. « Je voulais intégrer les cercles d’intérêt des hommes et… voir comment se comportent les hommes ensemble. Je voulais me faire des amis hommes. Je voulais comprendre comment les amitiés masculines fonctionnent, et de l’intérieur ».

La première étape pour notre tout nouvel homme fut de se présenter dans un des bastions de la quintessence masculine – une équipe de bowling dans un quartier ouvrier de Pennsylvanie.
Le seul problème : elle est nulle au bowling.

 Mais les hommes l’ont accueillie dans leur équipe. « C’est assez incroyable parce que je pense que cela souligne leur générosité » dit-elle. Son expérience avec ces hommes a complètement bouleversé ses croyances affirmées depuis des années : les hommes sont durs et hostiles alors que les femmes seraient chaleureuses et accueillante.

« C’était un vrai plaisir de partager ces serrements de main et je me sentais confortable, à l’aise, enfin autant que je pouvais l’être. Ils m’ont simplement intégré… Sans questions »


Ils ont joué tous ensemble pendant neuf mois et progressivement, Vincent a intégré leur intimité. Elle a découvert que les jurons et autres bourrades est simplement un moyen pour eux de se montrer de l’affection.
A l’approche du dernier match de la saison, Vincent a décidé de faire son coming out. Plutôt angoissée par leur réaction, elle décida de tâter le terrain avec Jim, celui dont elle s’était le plus rapproché.

Norah l’a invité à boire un verre avec son amie, Lisa parce qu’elle avait quelque chose à lui avouer qui aller le stupéfier.
« Je lui ai répondu que la seule chose qui pourrait me stupéfier c’est qu’elle soit une femme et Lisa un homme. Et là, elle me dit « ben un sur deux est vrai » » dit Jim. Plus tard, il le raconta au reste de l’équipe qui pris bien la nouvelle.
 

Jim pense que Vincent a commencé l’expérience avec des idées préconçues et fausses sur les hommes. « Je pense qu’elle s’attendait à trouver un groupe de mecs racistes qui parlent que d’anatomie féminine… Oui, je pense, enfin je crois que c’est ça qu’elle pensait au début ».

Vincent est d’accord : « Ils m’ont vraiment prouvé que c’était moi qui avais des préjugés parce que ce sont eux qui m’ont accueillie, sans rien savoir de moi. Ce sont eux qui ont fait de moi leur ami… sans jugement »
Sexe : c’est un besoin impérieux pour les hommes.

Découvrir ce que les homme se racontent entre eux est une chose, mais comprendre le monde très explicite de la sexualité masculine en est vraiment une autre.
Pour comprendre ce qui pourrait être considéré par certaines comme l’expérience masculine ultime, Vincent visita plusieurs clubs de strip-tease avec un ami. Elle décrit une expérience infernale – dégradante pour les strip-teaseuse et encore pire pour les hommes. « Je regardais les hommes dans ces endroits. Je voyais leur expression. Cela n’a rien à voir avec une appréciation des femmes bien sûr. Ca n’a rien à voir avec l’exploration de leur propre sexualité. C’est un besoin et… ça n’est pas toujours très agréable à vrai dire » dit-elle.

Vincent dit que les boites de strip ne sont que pure pulsion sexuelle – complètement dénuées de toute interaction, même quand une femme fait la toupie sur vos genoux. En dépit de son homosexualité, elle explique qu’elle n’a ressenti aucune excitation pendant ces visites. «  Je me suis vraiment pris la différence entre les sexualités féminines et masculines en pleine tronche. La sexualité féminine est mentale… Pour un homme, c’est une pulsion. »
« Tout au fond, c’est une fonction corporelle. C’est une nécessité. C’est une pulsion tellement puissante que je pense que les femmes, qui n’ont pas de testostérone, ne peuvent comprendre à quel point cela peut être difficile. »

Vincent s’est même essayé à la drague et avais accepté une camera cachée pendant ses exploits. Elle se rendit compte très vite que dans ce domaines, ce sont les femmes qui ont le pouvoir.

« En fait, on se contente de rester assise là et d’un seul mot, « non», nous pouvons écraser quelqu’un. On a pas à se taper la partie où il faut traverser la pièce et aller parler à une parfaite inconnue au milieu d’une foule et commencer la conversation. Commencement déjà très difficile sans avoir l’air d’un désespéré ou d’un gros con ».

Vincent s’est pris quelques vestes sévères pendant ses tentatives mais elle a quand même décroché quelques 30 rendez-vous en tant que « Ned », la plupart organisés par l’intermédiaire d’internet.
Elle nous dit que les rendez-vous étaient rarement amusants et que la pression mise sur « Ned »  de devoir se vendre et se justifier était très déprimante. Elle fut surprise que de nombreuses femmes ne sont absolument pas intéressées par un homme doux, plus vulnérable.

« J’avais un préjugé, que l’homme idéal était une femme dans un corps d’homme. Et j’ai découvert que non, vraiment pas. Il y a beaucoup de femmes qui veulent vraiment un homme très viril et solide. »


Trois semaines dans un monastère

Nora n’a pas limité son exploration de la masculinité aux relations amicales et à la sexualité. Elle dit avoir trouvé des différences dans tous les aspects de la vie, comme acheter une nouvelle voiture chez le concessionnaire.

Avec Norah, le discours du vendeur tourne volontiers au flirt mais quand c’est Ned, le même vendeur devient très pro et son discours met en valeur les performances de la voiture.
Dans ses derniers mois dans la peau de Ned, elle est parvenue à intégrer des espaces exclusivement masculins. Catholique réformée, Norah a pensé qu’il serait intéressant d’infiltrer le monde secret et cloîtré d’un monastère. Ned parvint à y vivre 3 semaines comme stagiaire.

Les moines, selon Norah, étaient des hommes pieux et intelligents. Mais quand même des hommes.
Elle y fut témoin d’un « besoin désespéré d’intimité masculine et l’incapacité à la donner ». Non seulement les moines devaient faire de gros efforts pour s’ouvrir et se livrer, mais Vincent les sent hostiles à son côté féminin. Elle dit avoir été ostracisée car les moines présumaient que Ned était homosexuel.

« Beaucoup pensaient  que j’étais gay comme me l’avoua l’un d’eux en confession… Je lui répondis : « eh bien oui, mais pas de la manière dont tu le penses » dit Norah.

La fin idéale de ce périple de 18 mois selon Norah fut de joindre une thérapie de groupe réservée aux hommes, le lieu même où les hommes établissent des liens et font montre de leurs émotions au lieu de chercher à les cacher.
De nouveau, Vincent vit les problèmes qu’avaient les hommes avec la vulnérabilité. « Ils ne montrent pas de faiblesses, il ne montrent pas leurs affections, encore plus entre eux. Et il montrent très souvent leurs émotions par la rage » dit-elle.

A la place, nous dit la journaliste, les hommes parlent de leur rage, souvent une rage contre les femmes, et ce qu’ils aimeraient leur faire physiquement et de manière souvent cruelle.

« La plupart des ces discours n’étaient que du vent, une manière de faire tomber la pression…. Ils parlaient de leurs fantasmes de découper leurs épouses en petits morceaux ou autre chose. C’est pas comme si ils voulaient vraiment le faire ou le pourrait, mais c’était un moyen pour eux d’exorciser leurs idées les plus noires ».
 
Norah commença alors à ressentir de l’empathie pour la peur et le stress que ressentent les hommes de toujours avoir à être fort et responsable (dur à traduire, elle parle de « strong provider », un homme fort qui trouve les solutions, résout les problèmes, par extension celui qui ramène les thunes aussi).

A nouveau, certains membres du groupe ont pensé que Ned était gay, mais personne n’a jamais soupçonné que Ned était une femme. Après huit séances, le groupe partit un week-end en retraite à la campagne mais les 18 mois d’imposture de Vincent commençait à l’enfermer.

« La pression d’être quelqu’un que vous n’êtes pas et… la peur d’être découverte et  la tromperie que ça engendre grossit de plus en plus. Quand j’ai intégré la thérapie, mes peurs avaient vraiment atteint la grosseur maximale »
« J’étais en forêt avec des types qui dealaient avec leur rage des femmes et j’étais un drag… Je me suis dit, oh mon Dieu, qu’est-ce que j’suis en train de faire » ajoute-elle.

Elle s’écroula émotionnellement et une semaine plus tard, entra à l’hôpital pour une sévère dépression. L’identité, conclut-elle, n’est pas quelque chose avec lequel on doit jouer.

« Quand tu commence à déconner avec ça, en fait tu déconnes avec quelque chose qui est vital pour toi et t’aide à fonctionner. Et j’ai découvert que le genre implanté dans votre cerveau va bien au-delà de l’habit. Et je l’ai appris de manière rude. »
Vincent dit qu’elle est guérie aujourd’hui et ravie d’être débarrassée de Ned. Mais sa vision des hommes a changé pour toujours.

« Les hommes souffrent. Ils ont des problèmes différents des nôtres, mais leur situation n’est pas enviable » dit-elle. « Ils ont besoin de notre sympathie. Ils ont besoin de notre amour et peut-être ont-ils besoin les uns des autres plus que tout le reste. Ils ont besoin d’être ensembles. »

De manière ironique, dit Norah Vincent, il m’a fallu expérimenter de vivre la vie d’un homme pour apprécier le faire d’être une femme. « J’aime vraiment être femme… J’aime ça encore plus maintenant parce que je pense que c’est plus encore un privilège »

Ben j'ai lu, j'ai pas apprit grand chose sur les hommes, elle vit où cette fille  :hih: ou alors elle est jeune.

Je mettrais plus de nuances sur les pulsions sexuelles, certes ca doit être plus fort chez certains hommes, mais ca existe chez les femmes et certains hommes sont aussi très mental.

Je ne vois pas ce que lui a apporter la partie avec les moines

C'est effectivement très américain.

Je ne suis pas sûre d'avoir compris non plus le monastère; hormis que ca lui permettait d'intégrer un lieu où elle apprendrait les rapports des hommes entre eux, sans femmes du tout.

Les pulsions sexuelles sont effectivement plus fortes, de manière générale, chez les hommes en raison d'un plus fort taux de testostérone. Mais elle ne sait pas de quoi elle parle quand elle affirme que les femmes n'en ont pas.

La testostérone est l'hormone du désir sexuel. Y compris chez les femmes, qui en produisent aussi.

Comme tu le sais, Sensualidad, le fossé entre les hommes et les femmes est plus grand aux états unis. Les attitudes "typiquement" masculines sont plus caricaturales.

Pour un ami Américain, je suis un peu efféminé parce qu'il m'arrive de me parfumer.  ;D

Bref, ce qu'elle décrit est fortement influencé par la société dans laquelle elle vit.

Elle semble découvrir que les hommes ne sont pas que des brutes épaisses couverts de peaux de bêtes.

Et que beaucoup de femmes cherchent un homme viril.

Elle serait surprise que les hommes préfèrent les femmes féminines ?

Pas trop interpellé par cet article.  :-\

Personnellement, il ne m'a rien appris, ni surpris.  :) Mais j'ai vécu aux staitceux...



EDIT : et toi, tu en penses quoi de cet article ? c'est quoi tes pensées contradictoires ?  :)

Bon j'dis quand même ce que j'en ai pensé tout de suite  ;D

Oui, sur la société américaine, comme dit plus haut, complètement d'accord.

Ce que j'ai lu transpirer entre ces lignes moi, et j'me demandais si j'étais pas un peu folle, c'est un truc au fond super réac. J'me suis même demandé si c'était pas un hoax.

J'm'explique. Sous couvert de "réconcilier" les genres ou en tout cas de les faire mieux se comprendre, elle semble découvrir un scoop genre "ah ouais, ils ressentent des trucs?"  :o. Et la conclusion devient quand même que c'est tellement "précieux" d'être une femme. Oh oui Princesse.  ;D

Elle parle d'intime mais j'y vois aussi de la politique. Et une politique tout sauf féministe. J'me demande si j'deviens dingue  :D

Elle est américaine  xs18 !
Je pense que la vraie pulsion sexuelle des femmes, au sens de l'instinct, c'est le désir de bébé.
Le désir de sexe, par contre, est davantage bridé par l'éducation chez les filles que chez les garçons.

Roulements de tambour...........




+ 1


Tadaaaaaaaaaaaaaaaaam!
 :D

 ;clap ;clap ;clap ;clap

Je ne suis pas sûre de comprendre? la libido des femmes est liée au fond à l'envie de bébé? ou seul le désir d'enfant est comparable à la pulsion sexuelle masculine?

 ???

 :o :o :o :o :o :o :o :o


Je m'évanouis



Viens vite me rouler une pelle chérie, je me sens mal, j'ai des hallucinations  ;D

(non, pas toi, Flibette  ;D )

Je pense que le désir d'enfant est effectivement comparable à la pulsion sexuelle masculine ! C'est comme ça que l'espèce se reproduit, non ?

Roh, ben, merdalor! Je suis célib' ce soir!
Crotte, zut, flute! C'est trop ballot.

 ;D

Je mange une gousse d'ail et j'arrivvvvvvvvvvvvvvvveeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!  ;D

Parce que les hommes, c'est bien, connu, ne se reproduisent pas, ils baisent!

M'enfin, Mescal', d'où te sort une idée pareille!  :hih:

Ben, je croyais que tu étais évanoui!  xtfra6

Et une femme qui n'a pas de désir d'enfant? Elle a pas envie de baiser?

J'ai eu une pelle de ma chérie   xtfra6


Cette traitresse  xs12 xs12 xs12 ... Je croyais qu'elle me désirait moi.. En fait elle était bassement motivée par un désir d'enfant   xs12


 ;D ;D ;D

Faut pas confondre ce qui nous vient de la nature (l'instinct) avec ce qui nous vient de la culture (l'éducation) !
Bien sûr que les hommes sont éduqués à la paternité, que la reproduction (avoir des enfants et les élever) s'inscrit dans un ensemble de règles sociales, qui varient d'ailleurs selon, le lieu et le temps !
Aujourd'hui, ils est commun de voir un homme langer un un bébé, c'était inconcevable dans les années 1950.
Aujourd'hui le bébé est un projet de couple, il existe déjà avant sa conception !

Même remarque, sur la nature et la culture : dissocier sexualité et procréation est un trait de notre culture.

Non. Les hommes sont éduqués par la société, ou leur exemple personnelle avec les hommes de la famille, à une certaine façon de vivre leur paternité. C'est ce qu'illustre ta réflexion sur les langes des bébés.

Mais la pulsion qui nous pousse à protéger les petits et les femmes est bien instinctive.  :)

Est-ce que quand la sexualité était taboue et sous le joug de la religion hormis rares exceptions et contre-exemples, remonte à l'époque que tu veux, les femmes n'avaient donc pas de désir sexuel? La femme de Néanderthal n'avait pas de désir sexuel? (ouh là, j'suis remontée loin, y a même pas encore de religion moraliste telle qu'on la connait  ;D)

Exact aussi !

Pour neanderthal, on ne peut pas savoir, encore que la fabrication de figures féminines (plutôt cro-magnon) montre qu'il y avait déjà une sexualité, c'est-à dire une construction sociale de l'acte reproductif.
Dans toutes les sociétés "premières" (on ne dit plus primitives) qui ont été décrites par les ethnologues, la sexulaité est liée à des règles et des interdits, dont celui, universel de l'inceste.

Pour tester la vie d'un homme elle va au bowling, dans un bar a strip-tease et dans un monastere  xs18

En France pour tester la vie d'un homme elle serait allee au PMU, en boite et dans un sex-shop non?

Les pauv' ricains quiand meme.

Sinon, pour ce qui est de la discussion ouverte par Mescal, j'interviens meme plus, ce gars la est definitivement un cas desespere :D

Les femmes avaient-elles du désir sexuel? Avant l'époque où on fit le lien entre l'insémination coïtale et l'accouchement une période relativement régulière plus tard?

Que la société dans laquelle nous vivons influence fortement la façon de vivre notre sexualité, d'accord.

N'empêche que les pulsions qui nous poussent à la sexualité sont bien déconnectées de la culture.

Et en Allemagne dans un "Eros Center" !!!!!!!!!!!

On est bien d'accord ! Mais ces pulsions sont soit favorisées, soit réprimées par la culture !

On est d'accord.

Oh l'Allemagne est juste  coté ... Eros center un vieux souvenirs

pour l'article ... c'est bien une Américaine, avec une vie d'américaine ... et des idées d'américaine
maintenant passer 18 mois à jouer un homme ... faut croire qu'elle n'avait rien d'autre à faire

Ce qu'a voulu dire Mescal (qui croit toujours qu'on lit dans ses pensés tellement c'est évident pour lui et écrit que de ce qu'il l'intéresse dans un genre d'obsession sans grand rapport avec le sujet et qui devrait faire l'objet d'un autre thread) c'est que les femmes ont effectivement du désir sexuel depuis toujours mais que les pulsions sexuels des hommes correspondent dans le ressenti au besoin impérieux de grossesse des femmes.
bref il fait une différence entre désir sexuel et pulsion sexuelle.

Ce qu'on ne sera évidemment jamais puisqu'on ne pas prendre la place de l'un l'autre, a moins peut-être en interrogant un transexuel mais comme ils ne peuvent pas procréer...

Non seulement les femmes ont des désirs sexuels depuis toujours, ainsi que des pulsions, mais en plus, ça remonte à la nuit des temps.
Et si ça n'avait pas été le cas, l'espèce humaine se serait éteinte.

On intellectualise sans doute beaucoup la chose, on analyse, on interprète .... et on a tendance à refaire l'histoire à travers un prisme déformant, je pense.

Au 19ème siècle, en Angleterre, on pensait même qu'une femme ne pouvait être enceinte que si elle avait eu un orgasme au moment de la procréation. Ce qui faisait que dans les textes de loi, ils refusaient les plaintes pour viol s'il en résultait une grossesse. Enceinte, donc ayant eu un orgasme, donc consentante.

Au fond, je me fiche de savoir si quand j'ai envie de sexe, j'ai un désir conscient ou pas d'enfant, et si mon partenaire a un désir inconscient ou pas d'enfant.
Quand j'ai faim, je mange.

Etude des hommes à la Française  ;D

http://fr.youtube.com/watch?v=Z_ecewSGWnA&feature=related

EXCEPTIONNEL  xs18 xs18 xs18 xs18 xs18 xs18 xs18 xs18 xs18

"Elle vient de me balancer une cochonnerie au téléphone, c'est une vicelarde, tu peux pas savoir"

 ;D

Voilà !

Camille, traductrice officielle de Mescal.  xs15

Et heureusement qu'elle est là  ;chut

Bon, cela dit, les femmes ont une tendance naturelle à exploiter les pulsions sexuelles des hommes pour autre chose que leurs désirs sexuels  ;D

 :hih: Désolé les gens je peux pas vous aider  ;D

Quant à moi, j'ai hélas trop bien compris ce qu'il dit.  xs10

Il parle peut-être de chantage : tu veux baiser ? ben va faire la vaisselle après on verra ?

Beurk beurk beurk ca me dégouterait d'avance de faire ca.
 

Effectivement après lecture c'est full Stizunis...

Et puis la loute part quand meme de loin: lesbienne ET déguisée en homme, ca fait quand meme une enclume dans chaque poche pour courir.

J'ai lu et j'ai rien vu, à croire que l'article est vraiment nul à chier, à moins qu'il soit juste un résumé (assez mal traduit d'ailleurs) de l'article d'origine enfin là les conclusions sont réellement à pleurer de platitude.

Ce qu'il y a de sur, c'est que quand on est un homme oui: on va au baston de toutes les manières qui soit: pendant la drague, au boulot, dans les rapports de négociation en général.
Nos rapports entre nous sont plus une suite d'impressions exprimées plutot que d'histoires contées par le détail.

Récit d'un WE entre deux hommes:
-Alors ton Week?
-Sympa, on a bien bouffé et nos hotes étaient plutot marrants. Leur baraque est chouette.

Etre deux femmes:

-Alooooors ra-coooooonte
-Ah làlà tu aurais vu leur maison absolument extraordinaire: ils ont des meubles comme ça et comme ça et la cuisine: [description] questions diverses de la copine [description] puis description de la bouffe et retour sur la description des tiroirs de la cuisine, de la façon dont la femme du couple est sapée  plus une vacherie genre "jolie mais ça fait un peu pute" blablabla

Bref la vie du coté des hommes est faite d'impressions plutot que d'expressions...

Je fais allusion à une expérience récente ... Il faudrait que je raconte, mais c'est un peu hard !

Et si tu nous racontais des experiences reussies pour changer?  ;)

Hard ca veut pas dire que ce n'est pas lui qui a eu le dernier mot.


Vas y raconte  xs15

Oui c'est exactement ça, d'ailleurs c'est marrant puisque j'ai eu une discussion sur ce sujet pas plus tard qu'hier soir avec toubib :)
Elle souhaitait me voir pour discuter de nous et elle m'a évoqué un ressenti envers moi qui la déstabilise, un côté efficace et déterminé.

Moué je dois pas être entièrement une fille

Ah! Toi non plus...

J'assume ce côté là  ;D

J'vois pas en quoi c'est difficile d'assumer d'avoir plus de cinquante mots de vocabulaire  ;D

La garce  xs20

Madame la garce s'il te plaît  xs07

Et ça sert à quoi lorsque vous avez la bouche pleine? en plus c'est malpoli et on ne comprend rien xtfra6

à provoquer pleins de petites vibrations très sympa paraît il.

 ;D

 xs20

Du coup sur nuts on a de quoi faire un joli diner de poufs, barbarie vocale féminine au menu  ;D

Poufs... comme les trucs pour s'assoir dessus ?

Parce que si tu parles des pouffes, petites soeurs des pouffiasses, sache que sur Nuts on a que de la Garce de compét'  xs20

Lise, t'as oublié qu'on a aussi de la Salope, en réserve.  xs15

Exact  8)

De la salope assise sagement sur les poufs en attendant le mâle  ;D

Ah mais non  xs11
La salope n'attend pas sagement le mâle, elle va le provoquer  8)

Vous m'excitez les filles, je vais m'exploser l'élastique du boxer  8)

Bah moi j'aime bien le concept de la salope faussement sage en apparence  8)

Là on entre dans le concept de garce  ;D

Ah ben j'suis une garce alors  ;D

"petite pute" pour le concept de Carda, j'aime bien...  xs04