NUTS - Nos Univers Très Sexy

Le post de Lady Q sur les dépenses pour soi me renvoit à "être bien dans sa peau."

Perso, avec le temps, je vis de mieux en mieux avec mon corps. Ca ne veut pas du tout dire que je suis très bien dans ma peau et que j'aime mon corps mais, qu'il me dérange moins, que je le supporte mieux et que j'arrive à l'apprécier, selon les jours, les heures, mes humeurs...
Par contre, je crois que mes complexes ne s'envoleront jamais. Ils prendront sans doute moins de place mais, il me parrait difficile de les faire disparaitre.

Y'a-t-il parmis vous des personnes qui n'ont aucun complexe et qui ne savent pas ce que c'est?

Je me suis fait la même reflexion en me couchant hier soir.
Il y'aura toujours des jours avec et des jours sans.
Je suis curieuse de lire les réponses...

Bourré de complexes
Elle a bien changé

Faut la faire psychanalyser
Chez un docteur pour la débarasser
De ses complexes à tout casser
Sinon elle deviendra cinglée..."

-Boris Vian-

Vla des paroles qui me correspondent bien  :-[

Question difficile ::)

Si par complexe, on entend un aspect physique chez soi qu'on aime pas, j'en ai plein >:(

Si par complexe, on entend le fait d'y songer souvent/tout le temps, de chercher à les cacher, de se sentir "handicapé" à cause de cela (ouh là, j'vais me faire détester xs08), je ne crois pas en avoir.

Longtemps, j'ai été complexée, extrêmement.

J'ai grandi avec une éducation particulière, qui accordait zéro importance à la "beauté" en général mais portait presque intégralement sur les performances intellectuelles et ensuite j'ai pratiqué un métier qui accorde une telle importance à l'extérieur. Bref, les deux ne collaient pas et me renvoyaient à un physique auquel je n'avais jamais accordé d'importance (j'parle d'esthétique là, pas de sensuel ;D).

Si j'schématise, j'ai découvert à 15 ans environ que j'avais un visage et passé les dix années suivantes à me dire qu'il était trop ou pas assez (remplacer visage par ce que vous voulez, tout était concerné).

Un jour, j'ai eu quelque p'tits soucis de santé (guéris hein? ;)) qui mettaient justement en risque mon intégrité physique (ben à ce moment là, tout ce à quoi j'ai pensé, c'est guérir, pas "ouh là, j'vais être moche"), ben tout ca m'a comme étrangement débarrassée de complexes physiques. Et j'ai changé de métier aussi, c'était pas mal ça ;D

Je vis très bien avec moi-même, bien sûr que j'changerais une tripotée de trucs si je le pouvais mais dans l'ensemble, suis pas trop mal lotie ou en tout cas je m'en satisfais.

Par contre, intellectuellement, humainement et émotionnellement, alors là, c'est une autre question!! Truffée d'un mélange explosif d'audace et de timidité maladive, j'aimerais vraiment me poser moins de questions :D :D

moi je suis bourrée de complexes et en même temps, je n'en ai aucun.

Je ne sais pas trop comment expliquer çà.

J'ai facile 20 kilos de trop ... certains jours, ils me pèsent comme la misère sur le monde ... et d'autres jours quand je regarde mon cul je me dis que j'ai bien de la chance qu'il soit rond et relativement ferme ... je regarde mes seins et je me dis boudiou ... pfff la gravité n'est pas sympa ... et d'autres fois, quand je me regarde dans la glace je me trouve superbe.

Certains jours, je trouve que j'ai l'air d'avoir 40 ans ... et d'autres jours, j'adore mon visage, mes lèvres et mon regard coquin ;)

En ce qui concerne mon caractère, je n'ai aucun complexe, je m'aime et je m'assume comme je suis.

Pour le corps ... je crois que ce n'est pas tellement le regard des autres que celui de chéri qui m'aide à m'aimer ... et là, après tout ce qu'il m'a dit et fait hier... je crois que je vais me sentir superbe pendant quelques semaines  :D

Complexes physiques à gogo, que j'apprivoise plus ou moins au fur et à mesure que le temps passe.
M'en débarrasser complètement un jour ? Je ne pense pas, trop dur quand on a vécu quasi 30 ans avec.

Complexes psychos ? Idem. Toujours besoin de plus de reconnaissances, de montrer que je peux relever tous les défis, quelqu'en soit le prix à payer.
Injustifiés ? Sans aucun doute. Mais voila, le savoir est une chose, l'intégrer en est une autre.

Mais jme soigne  ;)

Marrant, ça, vous m'ouvrez une porte...

Complexe intellectuel? Vous pourriez développer?

Se sentir inférieur, limité, sans culture, bon à rien, ne méritant pas qu'on s'intéresse à ça, etc etc

Pour ne parler que des histoires de complexes physiques, je me sens comme Sensuelita ou Lénita, pas toujours contente de ce que je suis mais pas obsédée par mes défauts.
Je dois dire que je me suis toujours sentie très amie avec mon corps, dont j'ai toujours apprécié la tonicité et la vitalité, et qui, sans doute aide à passer au-dessus des complexes.
Maintenant que j'ai 50 ans, il m'arrive souvent de me dire : "si j'avais su, je me serais aimée plus". Parce qu'un corps jeune, même avec ses imperfections, ce n'est pas la même chose qu'un corps qui vieillit.
En même temps, j'ai l'impression que le temps lisse les complexes, on est forcément moins axé sur la séduction physique pure,  plutôt sur une séduction globale qui inclut les expériences de vie.

Pas moi en tout cas.

J’ai grandi dans un entourage où la taille moyenne de filles avoisine 1M75, tandis que moi je fais 1M60.
Puis j’ai une morphologie et le type d’italienne du nord qui dénote de la morphologie allemande.

Mon choix de vivre en France est en rapport direct avec ces complexes de jeunesse.

Objectivement je ne suis pas intelligente, mais je suis bosseuse et j’ai une excellente mémoire pour le savoir.
J’ai passé ma scolarité dans une école spécialisée avec des gens vraiment intelligents ce qui n’a rien arrangé niveaux complexes intellectuels.

Je me suis sentie donc assez marginalisée.

Aujourd’hui je me trouve mon physique en décalage avec mon esprit. Les deux ne vont pas ensemble.
Quand je me tais je passe pour une poupée bêtasse quand j’ouvre la bouche j’effraye pas mal de gens.

Je suis très naïve et peu expérimentée de la vie. J’ai quasiment pas de finesse pour saisir des subtilités ou plaisanteries. Puis je manque de l’humour. Quand je fais abstraction de mon savoir il reste un curieux mélange de midinette et fleur bleue.

Malgré tout je m’accepte avec facilité. Je suis heureuse dans ma vie et presque toujours de bonne humeur.

Complexe tout ça, mais nous y sommes dans le sujet et je réponds à la question.

Je n'ai plus de gros complexes. Personnellement, je vais parfois dire j'ai un kilo ou deux mais de là à psychoter, pas du tout.
Donc ni sur mon physique, ni sur mon intellectuel, ni culture générale, rien de rien, simplement parce que le regard des autres, j'avoue que je m'en tamponne royalement. Cela ne me dérange plus de sortir en vieux survêtement, d'aller faire mes courses défonses.
Ils se sont éloignés avec l'âge. Avant mon complexe était "je suis trop maigre", ensuite une fixette sur mon poids (cela ne veut pas dire que je ne regarde pas), mais je ne complexe pas. Je m'aime c'est tout, avec mes qualités, mes défauts de fabrication, mon petit esprit.
Ma personnalité a été en atout, pour les faire disparaître. D'abord je me connais et je me suis acceptée tout simplement.

D'ailleurs, si je regarde dans ma famille, je n'ai aucun membre frères et soeurs ayant un seul complexe, et certainement pas celui d'infériorité.

Si on prend l'exemple de ce forum, est ce que parfois tu t'empêches de poster à cause de cette peur là ?


Mes complexes (et moi avec, du coup) sont passés par 3 phases.
Je résume : J'ai commencé à grossir à 12 ans, j'ai eu deux fois une baisse de poids conséquentes, toutes deux inefficaces.

La haine.
Vie sociale inexistante, tentatives desespérées de tout faire pour coller à ce personnage qui se détestait.
Ce corps, je l'ai sali plus que de raison, par le sexe glauque, essentiellement.
J'ai tenté par là de salir mon âme qui, avec le recul, semblait intouchable.

La revendication
Fat & Proud, big iz bioutifoule etc etc...
Le plus ridicule je crois.
J'ai porté de ces fringues... Mon dieu... Rien que d'y repenser j'ai honte.

Puis maintenant.
Comme tout le monde à peu près.
Avec ou sans, selon les jours.
J'ai compris que ce que je détestais le plus était ce qui me faisait moi.
Je revendique pas mes kilos mais je sais qu'ils me protègent des coups et rien que pour ça je les aime.
Je ne vis pas malgré eux, ni par eux, mais avec eux.
Ma vie a comme filtré mes complexes pour les rendres plus doux, normaux.
J'ai appris à me voir comme une femme parmis les autres femmes.
Quand je vois mes copines je m'amuse à nous détailler. L'une blonde, l'autre brune, mince ou pulpeuse, grande ou petite, maquillée ou pas... Le tableau final est à chaque fois très joli.

Ça marche par étapes, je pense.
Je me suis mise au bikini y'a pas longtemps.
Dans des lieux privés, pas sur la plage mais c'est déjà un bon début xs20

La question est peut être d'accepter ses complexes.
Parce que je pense qu'il est impossible de ne pas en avoir.

Par contre le complexe intellectuel que décris comtesse me parle beaucoup.

Je signale toujours aux petits de la famille, qu'il faut accepter qu'il existe des personnes différentes, et qu'heureusement nous ne sommes pas un modèle unique. Que notre force, c'est justement cette différence. Que le modèle de Madame tout le monde ou Monsieur tout le monde à la longue, n'est pas celle qui va rester dans les mémoires, mais bien le vilain petit canard, le sans domicile ou autre. Et surtout, qu'ils n'essayent pas de cacher cette petite éraflure.
Finalement, notre regard sur les autres n'est plus un regard "oh regarde elle ..". Oui elle est belle, elle a des poils aux pattes, bref on s'en moque de la comparaison. Par contre, j'apprécie de me trouver avec une personne intellectuellement plus riche que moi, simplement parce que je savoure ses paroles, et elle partage simplement sa connaissance. Il existe un échange, car moi, je peux lui offrir autre chose.
Comme de me retrouver dans une classe différente que ma classe sociale, ne me fait pas complexé aujourd'hui.

On complexe souvent où l'autre a appuyé, comme aujourd'hui je sais que "l'autre", est un élément extérieur de mon corps, donc plus d'intérêt à cogiter sur là où il a souhaité me faire mal. Je vis pour moi et pas à travers des autres.

bizarrement j'avais moins de complexes avec mes 25 kg en plus que maintenant  :-\
enfin complexes, je pense que c'est pas vraiment ca
j'ai toujours été grosse de l'age de 5 ans à maintenant
mais depuis que j'ai perdu du poids ,le regard des autres a changé
le mien aussi
j'ai toujours assumé mon corps ,il n'a jamais été un obstacle pour rien dans ma vie
à part pour s'assoir sur les genoux de quelqu'un peut etre  xs18

ma personnalité n'a jamais été un problème pour moi ,j'ai eu la chance de grandir avec des parents qui nous laissaient exprimer nos idées et gérer nos vie comme on l'entend depuis tres jeune
et qui acceptaient ces choix sans jamais nous rabaisser

mais il y a forcément des jours ou on est plus en accord avec soi meme que d'autres
j'ai plus des doutes que de réels complexes
pour moi un complexes bloquent ou empechent de faire des choses
jamais rien dans ma tete ou dans mon corps ne m'a empeché de faire ce dont j'avais envie
donc je ne pense pas avoir de complexes 

Maintenant que j'y réfléchis un peu, je me demande dans quelle mesure mes complexes n'ont pas constitué l'un de mes modes de fontionnement.

J'm'explique avé un exemple un peu sexy, tiens!
Je suis une flippée de nature, spa pour rien que mon pseudo est Flibette... (la flippette  ;)) et l'un de moyens par lequel j'avance est le défi. Je me lance régulièrement des cap/pas cap...
Sortir dans la rue pour aller en club sappée et maquillée comme une pissotière repeinte ou une voiture volée (rayer la mention inutile) relève du défi. Découvrir (au sens montrer) mon corps, exposer ce que je n'aime pas chez moi est difficile et pourtant je le fais. (Le paradoxe, c'est qu'une fois que j'ai enfile ma tenue sexy, celle-ci me sert aussi de protection)
De même, lorsque nous sommes en club, je "m'oblige" à danser comme j'aime, stadire de manière sugestive... Ca me demande pas mal d'efforts mais, je le fais quand même (entre autre parce que je sais que ça va l'exciter un max.  :D)
Autre exemple, à l'occasion d'une sortie Nuts, nous nous sommes retrouvées, Kaï et moi sur une table à danser. Ben, pareil, c'était du cap/pas cap...

J'ai des tas d'exemples comme ça en tête: ça va du choix d'une robe au début d'une jolie histoire... puisqe c'est sur un cap/pas cap que Chéri à débarqué dans ma vie.

en fait tu luttes contre tes complexes en en faisant des défis?
tu me dis si c'est pas ca
du coup ils te bloquent moins qu'à une pèriode ?

Je ne sais pas trop, en fait.
Je vais au delà de mes complexes en me lancant des défis. Maintenant, c'est pas forcément une lutte parce que ce n'est pas volontaire. Par exemple, si je me trémousse en jupe ras la touffe/talons aiguilles, je me dis pas: "vas y poulette, ça va faire la peau à tes complexes". Je continue de cogiter et j'y reviendrai.

Winy, pour répondre à ta question, non, ça ne m'empeche pas de poster ici, ou alors pas que j'en ai pris conscience.
D'une part, parce que je me soigne  xs02, et surtout parce que je ressens ici une ambiance positive et pas basée sur le jugement.
Par contre, je vais flipper comme une malade à chaque nouvelle rencontre irl, peur de ne rien avoir à dire, d'être mal à l'aise, que les gens me trouvent idiote etc. etc.
Mais je me pousse aux fesses, et j'y vais quand même  ;D

Ben ma Flibette ... qu'est-ce que tu dois donner quand t'es pas complexée  :o

Moi, plus j'y réfléchis ... et plus je crois que mes complexes ne me complexent pas ...

rien ne m'arrête quand je veux faire un truc, à part les conséquences pour moi ou les miens.

Quand j'ai envie de faire ou de dire quelque chose, en général, je le fais :)

Donc, je dirais plus qu'il s'agit de choses que j'aime moins chez moi que de complexes :)

EDIT// j'y ai encore réfléchi ... en fait, ce qu'il y a, c'est que je me fiche du regard des autres ... en règle général, leurs commentaires positifs ou négatifs ne m'atteignent pas trop ...
Mais, j'ai beaucoup de mal avec le regard de chéri ... quand il me regarde comme si j'étais superbe, mega intelligente, drôle ... je me sens tout çà. Par contre, si je sens que je l'ai énervé, que je ne l'excite pas ... eh bien, je me sens grosse, moche et nulle ...

Des complexes? Bah voui, j'en ai. J'ai juste appris à vivre avec.  ;D

Deux exemples.

Un très con. Si si. J'ai le complexe intellectuel de "je ne sais pas". Pas de ne pas savoir dire à un client, par exemple "je ne sais pas", non ça j'y arrive, mais tout bêtement de ne pas savoir. De ne pas savoir TOUT. Un gros boulimique de l'information. Si je me pose la question de "pourquoi ci? comment ça marche?" il FAUT que je sache. Bon, en même temps, j'ai la chance d'être une éponge à savoir. Ca aide. Je voue un culte sans nom aux encyclopédistes (Diderot et consorts), mais c'était une époque où on pouvait décemment connaître un pourcentage non négligeable du savoir collectif. Maintenant, tintin! Mais bon, je fais avec, je sais bien que je ne peux pas tout savoir. Bah, ça m'empêche pas de continuer à me cultiver...

Autre exemple, encore plus con. Si si. Complexe physique. De nature mâle, le fameux complexe des vestiaires sur la taille de ma bite. Rigolez pas. Enfin si, vous pouvez. Oh oui alors TOUTES (enfin, sauf une, mais bon, c'était un cas) mes relations sexuelles m'ont assuré que "mais nonnnnnn!" oui ben hein, c't'un complexe, pis c'est tout.  ;D Alors bon, je complexe toujours, certes, mais je vis très bien avec. Si si.

Comme quoi, on peut très bien vivre avec certains complexes et une ptit bite.  ;D

Moi, je connais un homme qui à cause de ce fichu complexe des vestiaires (pov'sportifs) achetait des capotes trop petites  xs04

Ah ben pour ça, aucun souci.  ;D

Un complexe que toutes les agglomérations urbaines ont et que moi je n'ai jamais eu, c'est le complexe sportif.  ;D

Rho la vache... Le coup du complexe du vestiaire...
J'en ai une bonne à vous raconter.

Mon Ange est un sportif qui sort parfois de son canapé, notamment pour jouer au foot avec ses portugais de copains. Et il a le complexe du vestiaire... Mais à l'envers  :-X
Je vous épargne le coup de la plage, du pantalon "trop moulant" qui est retouché ou acheté une taille trop grand... et les "hein on ne voit que ça"...
Désespérant.

Comme quoi on n'est jamais content de ce qu'on a...

non ce n'est pas Rocco mais il est bien fait  xs03

J'ai des complexe comme tout le monde, plus ou moins avoué... la principale étant de ne pas être assez cultivé dans certains domaines, d'avoir un vocabulaire français faible... des conneries comme ça... que je pourrai remédier évidement... complexe de la fainéantise aussi...
Physiquement... je suis tellement conscient que je ne suis pas à plaindre... que je peux plaire à certains et d'autres loin de là... que physiquement tout fonctionne bien... J'aime pas me voir maigre... mais aimant manger... je pense que je suis du bon côté de la barrière finalement...
Complexe de la taille... pas minus... mais pas très grand non plus... J'aurai aimé le petit 80... tampis...

idem : j'ai une culture à chier. Je pourais aussi y remédier mais pfff trop fainéante pour ça. J'ai une orthographe qui parfois fait peur seulement je ne fais pas du tout attention.

alors oui parfois ça me complexe, parfois je me tais/n'ecris pas de peur de dire une grosse connerie.

Oh 'tain les complexes...............
Dans le sens "ça me travaille", aucun....
Quand je me regarde dans la glace? Plein ;D

Non aucun complexe, je changerais bien quelques petites choses pour le principe mais pas pour mieux m'accepter, je m'accepte totalement.
Je changerais bien mes oreilles que je trouve trop décollées, mon nez trop gros et ma silhouette...( je laisse le doute, seuls ceux qui me connaissent doivent savoir si je préfèrerais une silhouette plus mince ou plus épaisse!! xtfra6)

Marrant qu'on puisse complexer intellectuellement, j'ai du mal à imaginer..;
On ne maitrise pas forcément ses "tares " physiques mais intellectuellement nous sommes l'héritier de ce que nous avons vécu, je ne vois pas comment on peut "renier" ça ???

J'avoue que des fois, je ferai mieux de la manger ma bouche... si la connerie était si grosse, et qu'on te réctifie, j'apprends... et j'évite de la refaire... parfois...  :-\


Je ne les renie pas tant que ça, j'ai bien vécu ce que je suis... j'ai pas mal trippé quand je regarde autour de moi.... je la souligne, j'en suis conscient...  ;)