rv
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« Répondre #165 le: 18-11-2007, 19:27 » |
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Les Innocents - L'autre Finistère
comprendrais-tu ma belle qu'un jour, fatigué j'aille me briser la voix une dernière fois à cent vingt décibels contre un grand châtaigner d'amour pour toi
trouverais-tu cruel que le doigt sur la bouche je t'emmène, hors des villes en un fort, une presqu'île oublier nos duels nos escarmouches nos peurs imbéciles
on irait y attendre la fin des combats jeter aux vers, aux vautours tous nos plus beaux discours ces mots qu'on rêvait d'entendre et qui n'existent pas y devenir sourd il est un estuaire à nos fleuves de soupirs où l'eau mêle nos mystères et nos belles différences j'y apprendrai à me taire et tes larmes retenir dans cet autre Finistère aux longues plages de silence
bien sûr on se figure que le monde est mal fait que les jours nous abîment comme de la toile de Nîmes qu'entre nous, il y a des murs qui jamais ne fissurent que même l'air nous opprime
et puis on s'imagine des choses et des choses que nos liens c'est l'argile des promesses faciles sans voir que sous la patine du temps, il y a des roses des jardins fertiles
il est un estuaire à nos fleuves de soupirs où l'eau mêle nos mystères et nos belles différences j'y apprendrai à me taire et tes larmes retenir dans cet autre Finistère aux longues plages de silence
car là-haut dans le ciel si un jour je m'en vais ce que je voudrais de nous emporter avant tout c'est le sucre, et le miel et le peu que l'on sait n'être qu'à nous
il est un estuaire à nos fleuves de soupirs où l'eau mêle nos mystères et nos belles différences j'y apprendrai à me taire et tes larmes retenir dans cet autre Finistère aux longues plages de silence
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GrosPoussin
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« Répondre #166 le: 20-11-2007, 08:46 » |
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daughtry : what I want
It always seemed that I was sorry for the things that I did, But never did a thing about it 'til I let you in. It's kinda funny about the time that I was falling apart. You came and put me back together, now.
'Cause what I want And what I need Has now become the same thing You've been offering. As days go by, I've finally become what you want me to be.
I still remember all the stupid things that I've said and done, But still, you stuck around with me when all your friends said, "Run!" Givin' me a name, I found myself inside all the flames. Becoming everything for you again.
What I want And what I need Has now become the same thing You've been offering. As days go by, I've finally become what you want me to be.
Don't tell me you saw it all along. God help me, I never knew it alone. Guess I was wrong.
What I want And what I need Has now become the same thing You've been offering. As days go by, I've finally become what you want me to be.
And what I need Has now become the same thing You've been offering. You've taken me, And shaped me to become what you want me to be.
desole mais pas de traduction aujourdhui car je suis a l'etranger...pas le temps...demain surement... car la chanson me parle grave en ce moment
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rv
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« Répondre #167 le: 23-11-2007, 01:45 » |
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Dolly - Je ne veux pas rester sage http://www.youtube.com/watch?v=D0hHYhtk8nELe mal est entré Meilleur ennemi Il sait m'abandonner Me ramener près de lui Je ne veux pas rester sage J'aime le souffre et l'envie Abuser de mon âge Je n' veux pas rester sage Le mal est ma lueur Son ombre est ma couleur Le mal est ma lueur Mon parfum son odeur Prend ton mal en douceur Le mal est entré Et je sais qu'il détruit Qu'il pourrait me faire crever Que reste t'il ici ? Je ne veux pas rester sage J'aime le souffre et l'envie Abuser de mon âge Je n' veux pas rester sage Le mal est ma lueur... Le mal est entré Meilleur ennemi Il sait m'abandonner Je brûlerais avec lui
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lenita
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« Répondre #168 le: 27-11-2007, 14:39 » |
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Renaud - Peau Aime
J'ai garé ma mobylette Devant l'entrée des artistes J'ai laissé la porte ouverte Pour avoir un œil sur elle. Il faudrait pas qu'on profite Que j' suis en train d' vendre ma cam'lote Pour s' débiner sur ma chiotte. J'ai beau mettre des antivols, Ça fait la neuvième qu'on m' pique, Ça fait la onzième que j' vole.
Quoi ? Qui c'est qui dit qu' c'est pas vrai ? Toi ? Bah t'as raison mon pote.
J'ai jamais eu d' mobylette Ou alors quand j'étais p'tit, Et j' l'avais acheté avec les ronds d' mes économies. Laisse béton, j' démystifie.
Non, maintenant j'ai une Harley, Une grosse qu'a un grand guidon, une grande fourche, une grande roue Un grand trou dans mon budget. Ma bécane, c'est comme un ch'val. Ça tombe bien, j' suis conçu pour : Elle est faite pour épouser la forme de mes jambes arquées. Sans blague, t'avais pas r'marqué ? Avec elle, j' suis un cow-boy, J' suis shérif dans mon quartier. Porte d'Orléans, j' fais la loi. Par ici on y croit pas. Dans l' quartier, on m' traite de goye. C'était pour rimer avec cow-boy. Et tous les apaches de Paris Qu'y m' voient passé sur ma bête, Y s' fendent la gueule : c'est pas gentil. Laisse béton, j' démystifie.
J'ai laissé mon perfecto Derrière, dans la coulisse, Accrochée au portemanteau Et pis j'ai eu peur qu'i' glisse Entre les doigts du tôlier que Bien qu' ce soit un brave mec, Qu' aimerai bien m' le chouraver. Alors j' viens sur scène avec.
Là, j'ai un insigne SS, L'initiale de ma gonzesse, Que c'est même pas ma gonzesse, C'est la femme à mon copain, Que c'est même pas mon copain. Parce que moi j'ai pas d' copains, Pas d'amis, pas d' parents, pas d' relations. Ma famille c'est la prison, Mon copain, c'est mon blouson, c'est mon surin.
Quoi ? Qui c'est qui dit qu' c'est pas vrai ? Toi ? Bah t'as raison mon pote.
Des copains j'en ai des tonnes Toutes les nuits dans tous les rades, Tous les paumés, tous les ivrognes, Tous les fous, tous les malades, Qui devant un perroquet, une Kanter ou un p'tit joint S' déballonnent dans un hoquet, Et r'font l' monde à leur image. Tous ces mecs c'est mes copains. Touche pas à mon copain. " Sort dehors si t'es un homme ! " Moi, euh, dans ces cas là, j' sors pas. Dans ma tête, j' suis pas un homme, Dans ma tête, j'ai quatorze ans ; Dans les muscles aussi d'ailleurs. J' parlais des muscles des bras. " Eh, tu veux m' casser la tête ? Bah qu'est-ce t'attends ? Vas-y ? " Laisse béton, j' démystifie.
Sur l' bras droit, j'ai un tatouage : Y a une fleur, y a un oiseau, qui s'envolera plus jamais, Pis y a l' prénom d'une souris. Une souris qu'est tellement belle, Qu'i' faudrait qu' j' m'appelle Verlaine pour trouver les mots pour la décrire un peu, Mais j' vais essayer quand même. Dans ces yeux, y a tant d' soleil, Que quand elle me r'garde, je bronze. Dans son sourire, y a la mer, Quand elle me parle, je plonge. Quand j' s'rai grand, on s' mariera, Pis on aura plein d'enfants, Même que ce s'ra un garçon, même qu'i' s'appellera Pierrot. " Eh !Laisse moi fermer les yeux, Ouais, laisse moi rêver un peu. " Sur l' bras gauche y' en a un autre : Un poulbot qui a une gueule d'ange Et qui joue d' l'accordéon. Pis en d' sous y a mon prénom. Euh, y'en a qu' ça dérange ? Dans l' dos, j' voulais faire tatouer un aigle, aux ailes déployées, On m'a dit : " Y a pas la place. Nan, t'es pas assez carré, alors t'auras un moineau. " Eh, y a des moineaux rapaces. Ça fait marrer mes conneries ? Laisse béton, j' démystifie.
Bon c'est l'heure, moi j'ai fini, J' vous voie tout à l'heure au bar, J' vais m' jeter un p'tit Ricard, Et ça, c'est pas des conneries.
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Sensualité
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« Répondre #169 le: 28-11-2007, 21:33 » |
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Purée, ça m'a dézingué le neurone de parler de ces histoires de Pince Chémant!
J'me suis souvenue de ce très joli texte de Barbara, dont nous "fêtons" justement l'anniversaire de la mort (ce concept là, j'm'y ferai jamais ou alors faut que ça fasse au moins 100 ans!)
FEMME-PIANO-LUNETTES
Homme
Touche pas mon piano Touche pas mes remparts Touche pas mes lunettes Touche pas mon regard Touche pas ma roulotte Touche pas mes bateaux Touche pas mes hasards Touche pas mes silences Ne touche pas mes théâtres
Ne me touche à rien J'ai tout, je veux rien
Péccable Ont touché à rien, sont partis plus loin Rien à dire Faut savoir Ce que vouloir
M'ont laissée toute seule Avec mes lunettes, avec mon piano
Touche pas mon piano Touche pas mes remparts Touche pas mes lunettes Touche pas mes regards Touche pas ma roulotte Touche pas mes départs Touche pas mes hivers Touche pas mes lumières
Ne me touche à rien Homme J'ai tout, je veux rien
Mais sois bateau Sois vaisseau Sois la plage Sois velours Sois amour Sois danger Sois douceur Sois jaloux Sois fureur Sois soleil
Tiens Sois soleil Je suis brume On sera bien ensemble
Nos rires sont les mêmes Tu pleures mes chagrins, et j'ai mal des tiens C'est bien
Mais ne me touche à rien J'ai tout, je veux rien
Péccable A touché à rien, est parti plus loin Rien à dire Faut savoir Ce que vouloir Est parti plus loin M'a laissée toute seule
Avec mes lunettes, avec mon piano Avec ma bible à moi, avec ça, tout ça Avec ma vie, ma vie Ma vie comme j'ai su Comme j'ai pu, comme j'ai voulu
Belle ma vie belle Belle Rien à dire Je vis mes délires Je suis folle, je chante, je m'envole Avec vous j'ai tout, j'ai tout
Mais Si Mi La Ré Si Le soir Je suis seule Dans mon lit Parce que
Touche pas mon piano Touche pas mes remparts Touche pas mes lunettes Touche pas mon regard Touche pas mes théâtres
Péccable Ont touché à rien M'ont laissée toute seule Avec mes lunettes, avec mon piano M'ont laissée toute seule Toute seule Je suis seule dans mon lit
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« Dernière édition: 28-11-2007, 21:59 par Sensualité »
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Toute méchanceté vient d’une faiblesse - Rousseau
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Lunatica
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« Répondre #170 le: 29-11-2007, 09:17 » |
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Raphaël, elle me parle dans mes moments de reflexionnite aigüe ...
Des mots des grands mots des tous beaux Qui vous vont frissonner et qui font craquer la peau Des mots pour calmer l'âme des pauvres Pour piquer aux yeux de petits amoureux Des mots encore et puis toujours Heureux ou bien saignant ca dépend du discours Qui crache à leur foi jusqu'en pleine figure Pour ne dire rien d'autre que mensonges de plus
Si j'avais su Si j'avais su
Des mots dans les bouches les couloirs du métro Des mots tout chauds de ce qu'on vient nous inventer Et qu'il va nous en cuire Qui va nous arriver Qui raconterons comment on sait qu'on se ferra bouffer Des mots des vieux, usés Des familles Des mots sur le courage, la vie et puis tout çà Des mots sur le bonheur qui pour une autre fois Et puisque y'a rien à dire Fait le nous ton discours Des mots pour flatter les petits animaux Qui sont déjà bien bêtes à bouffer du foin Des mots qu'on dit pour un bon locataire Une bonne année pour vous, pour la terre entière
Si j'avais su Si j'avais su
Des mots pour la petite fiancée Celle qu'on aurait pas du laisser tomber Avec son petit coeur qui rêve sur le pavé Son petit regard qui sait plus où se poser Des mots pour la vente générale Des mots encore en bouillis ou bien en drame Des mots tout près pour les grands abattoirs Et puiqu'il est bien mort Fait le nous ton discours Des mots par pleine charrette Des mots par plein de paquet Pour nous rassurer
Je ne me battrai plus Je ne me battrai plus
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GrosPoussin
Invité
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« Répondre #171 le: 13-12-2007, 09:47 » |
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Somebody
I want somebody to share Share the rest of my life Share my innermost thoughts Know my intimate details Someone who'll stand by my side And give me support And in return She'll get my support She will listen to me When I want to speak About the world we live in And life in general Though my views may be wrong They may even be perverted She'll hear me out And won't easily be converted To my way of thinking In fact she'll often disagree But at the end of it all She will understand me
I want somebody who cares For me passionately With every thought and With every breath Someone who'll help me see things In a different light All the things I detest I will almost like I don't want to be tied To anyone's strings I'm carefully trying to steer clear of Those things
But when I'm asleep I want somebody Who will put their arms around me And kiss me tenderly
Though things like this Make me sick In a case like this I'll get away with it
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Journalisée
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Cruella
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« Répondre #172 le: 13-12-2007, 21:59 » |
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F. Pagny
Savoir sourire, À une inconnue qui passe, N'en garder aucune trace, Sinon celle du plaisir Savoir aimer Sans rien attendre en retour, Ni égard, ni grand amour, Pas même l'espoir d'être aimé,
{Refrain:} Mais savoir donner, Donner sans reprendre, Ne rien faire qu'apprendre Apprendre à aimer, Aimer sans attendre, Aimer à tout prendre, Apprendre à sourire, Rien que pour le geste, Sans vouloir le reste Et apprendre à Vivre Et s'en aller.
Savoir attendre, Goûter à ce plein bonheur Qu'on vous donne comme par erreur, Tant on ne l'attendait plus. Se voir y croire pour tromper la peur du vide Ancrée comme autant de rides Qui ternissent les miroirs
{Refrain}
Savoir souffrir En silence, sans murmure, Ni défense ni armure Souffrir à vouloir mourir Et se relever Comme on renaît de ses cendres, Avec tant d'amour à revendre Qu'on tire un trait sur le passé.
{Refrain}
Apprendre à rêver À rêver pour deux, Rien qu'en fermant les yeux, Et savoir donner Donner sans rature Ni demi-mesure Apprendre à rester. Vouloir jusqu'au bout Rester malgré tout, Apprendre à aimer, Et s'en aller, Et s'en aller...
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Journalisée
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Petite Sorcière
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« Répondre #173 le: 13-12-2007, 22:01 » |
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Dire que c'est la chanson que j'avais laissé lors de ma soirée avec l'inconnu N°13..J'aime beaucoup cette chanson
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Journalisée
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Les confidences de Mademoiselle La Teigne
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Petite Sorcière
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« Répondre #174 le: 13-12-2007, 22:11 » |
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D'avoir passé des nuits blanches à rêver Ce que les contes de fées vous laissent imaginer D'avoir perdu son enfance dans la rue Des illusions déçues passer inaperçu
D'être tombé plus bas que la poussière et à la terre entière En vouloir puis se taire D'avoir laissé jusqu'à sa dignité Sans plus rien demander qu'on vienne vous achever
{Refrain1:} Et un jour une femme dont le regard vous frôle Vous porte sur ses épaules Comme elle porte le monde Et jusqu'à bout de force Recouvre de son écorce Vos plaies les plus profondes Puis un jour une femme Met sa main dans la votre Pour vous parler d'un autre Parce qu'elle porte le monde Et jusqu'au bout d'elle même Vous prouve qu'elle vous aime Par l'amour qu'elle inonde
Jour après jour vous redonne confiance De toute sa patience Vous remet debout Trouver en soi un avenir peut-être Et surtout l'envie d'être ce qu'elle attend de vous
{Refrain2:} Et un jour une femme dont le regard vous frôle Vous porte sur ses épaules Comme elle porte le monde Et jusqu'à bout de force Recouvre de son écorce Vos plaies les plus profondes Vos plaies les plus profondes Et un jour une femme Met sa main dans la votre Pour vous parler d'un autre Parce qu'elle porte le monde Et jusqu'au bout d'elle même Vous prouve qu'elle vous aime Par l'amour qu'elle inonde Par l'amour qu'elle inonde
Et un jour une femme Dont le regard vous touche Porte jusqu'à sa bouche Le front d'un petit monde Et jusqu'au bout de soi Lui donne tout ce qu'elle a Chaque pas chaque seconde Et jusqu'au bout du monde Jusqu'au bout du monde
{Parlé:} Jusqu'au bout du monde Parce qu'elle porte le monde
Mais celle-ci est ma préférée...je l'avais offerte à Monsieur Teigne....
Chaque homme qui est passé dans ma vie..une chanson se rattache à eux...Sauf un seul..ou rien mais alors rien...
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Les confidences de Mademoiselle La Teigne
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Petite Sorcière
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« Répondre #175 le: 13-12-2007, 22:15 » |
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Sur la Terre, elle et moi Paroles: Etienne Roda-Gil. Musique: Richard Cocciante
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Elle avait un sourire Clair et sentimental. Elle aimait la voix des sources Et le blanc-bleu des glycines. Elle aimait la vie dans le printemps Et la saveur des mots.
Sur la Terre, elle et moi, On était amants et étrangers à la fois, Dans la ville aux murs bleus, Dans les champs aux blés roux. Elle, elle et moi, On était la mer et la terre à la fois, Traversant des frontières, Dormant dans les clairières, Elle, elle et moi.
Elle savait ne rien dire Quand les mots faisaient trop mal. Elle est partie comme un souffle Dans le blanc-bleu des glycines. Elle aimait la vie comme un amant Et la couleur des flots.
Sur la Terre, elle et moi, On était amants et étrangers à la fois, Dans la ville aux murs bleus, Dans les champs aux blés roux. Elle, elle et moi, On était la mer et la terre à la fois, Traversant des frontières, Dormant dans les clairières, Elle, elle et moi.
Sur la Terre, elle et moi.
Sur la Terre, elle et moi, On était amants et étrangers à la fois. Oh, elle, elle et moi, On était la mer et la terre à la fois, Unis dans la lumière, Au fond de l'univers, Elle, elle et moi, Sur la Terre, elle et moi.
Voici la chanson qu'il me passait en boucle....
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Cruella
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« Répondre #176 le: 13-12-2007, 22:29 » |
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Y'a celle pour Celui qui ... J.L. Aubert Il manque un temps à ma vie Il manque un temps, j'ai compris Il me manque toi Mon alter ego Tu es parti mon ami Tu m'as laissé seul ici Mais partout tu me suis Mon alter ego Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où tu te caches Laisse-moi deviner Dans mon cœur rien ne change T'es toujours là, mon ange Il manque ton rire à l'ennui Il manque ta flamme à ma nuit C'est pas du je Mon alter ego Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où tu te caches Laisse-moi deviner T'es sûrement Baie des Anges Sûrement là-bas, mon ange Sûrement là-bas Sûrement là-bas Où tu es J'irai te chercher Où tu vis Je saurai te trouver Où que tu sois Je voudrais que tu saches Dans mon cœur rien ne change T'es toujours là, mon ange Il manque un temps à ma vie Il manque ton rire, je m'ennuie Il me manque toi, mon ami d'Aubert, j'peux les rattacher presque toute à qqchose .... à la fois et
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Comtesse
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« Répondre #177 le: 14-12-2007, 11:52 » |
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Don’t Wake Me Up (Those who never wear white) The Old Dead Tree
Attracted by darkness, I fear the light, I'm in love with the night. I know that people want to fight Those who never wear white.
I avoided walking the line, Except, of course, mine. I know that I'm not popular, Sometimes I go too far.
I hate to feel rejected!
I am disguised as a crow, I fly so low I rest behind my make up. Don't wake me up
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Journalisée
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Heavy metal, load as it can be !
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Lunatica
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« Répondre #178 le: 15-12-2007, 23:56 » |
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Superbus "Tabou"
On dit jamais que l'on aime ça, Tout le monde le sait, mais on ne le dit pas, Tout le monde le fait, tout le monde le sait, Mais ça ne dure pas, Tout le monde le fait, tout le monde le sait, Mais jamais ça ne va... Oh...
On donne donne donne des limites à tout Je vous ordonne de parler de tout, Même des sujets qui vexent, un peu de tout et de sexe, Un peu de tout, des sujets tabous
On dit jamais qu'on y pense tout le temps, Tout le monde le fait, et bien trop souvent, Insatisfait tout le monde l'est, mais on va de l'avant Tout le monde le sait, tout le monde le fait, Jusqu'à trouver le bon... Oh...
On donne donne donne des limites à tout Je vous ordonne de parler de tout, Même des sujets qui vexent, un peu de tout et de sexe, Un peu de tout, des sujets tabous
On dit jamais que l'on aime ça, Tout le monde le sait, mais on ne le dit pas, Tout le monde le sait, tout le monde le fait, Mais ça ne dure pas, Tout le monde le fait, tout le monde le sait Alors racontez moi... Oh...
On donne donne donne des limites à tout Je vous ordonne de parler de tout, Même des sujets qui vexent, un peu de tout et de sexe, Un peu de tout, On donne donne donne des limites à tout Je vous ordonne de parler de tout, Même des sujets qui vexent, un peu de tout et de sexe, Un peu de tout, des sujets tabous.
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GrosPoussin
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« Répondre #179 le: 20-12-2007, 14:25 » |
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in your room http://fr.youtube.com/watch?v=T6C_v5bWbosIn your room Where time stands still Or moves at your will Will you let the morning come soon Or will you leave me lying here In your favourite darkness Your favourite half-light Your favourite consciousness Your favourite slave In your room Where souls disappear Only you exist here Will you lead me to your armchair Or leave me lying here Your favourite innocence Your favourite prize Your favourite smile Your favourite slave Im hanging on your words Living on your breath Feeling with your skin Will I always be here In your room Your burning eyes Cause flames to arise Will you let the fire die down soon Or will I always be here Your favourite passion Your favourite game Your favourite mirror Your favourite slave Im hanging on your words Living on your breath Feeling with your skin Will I always be here
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Journalisée
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