NUTS - Nos Univers Très Sexy
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Auteur Fil de discussion: Sous la lumière du réverbère  (Lu 2300 fois)
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pilouface
Marraine : Lénita
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vrilleur fou


« le: 22-10-2007, 18:24 »

Par un soir de fin d’hiver, il faisait doux. Perdue dans mes pensées, je descendais la rue pavée qui mène au port. Elle était déserte, à l’exception du couple que nous formions, toi et moi. Nous avancions d’un pas joyeux, je me tenais serrée contre ton bras en posant tendrement de temps en temps ma tête sur ton épaule. Mes longs cheveux bouclés tombaient en cascade sur mon boléro et ma jupe longue et ample voletait derrière moi au rythme de nos rires cristallins. Nous échangions des propos badins, tantôt en parlant tout haut, tantôt nous susurrant des mots à l’oreille sans nous préoccuper le moins du monde de ce qui pouvait se passer alentours. Je me tournais vers toi, dans un éclat de rire nos yeux brillaient de désir, je déposais un tendre baiser sur la joue que tu m’offrais.
Les dernières lueurs du jour s’estompaient soudain rapidement et les réverbères s’allumèrent un à un du fond de la rue en remontant vers nous. Cela fit un déclic dans ma tête et, dans un éclat de rire, je saisis ton bras et t’entraînais dans une ruelle orthogonale. Surpris, tu te laissais disparaître sous l’ombre d’un porche. Sur cette impulsion, ton cœur battant la chamade, tu retenais ta respiration. Mes yeux brillaient de plus en plus. Soudain pris à mon jeu, tu me plaquais doucement et fermement contre le mur, me couvrant de baisers torrides. Nous étions là, nous étreignant sous la lumière laiteuse d’un réverbère, les mains fébriles et les bouches avides.
J’avais la nette impression d’être espionnée ou cela n’était que le fruit de mon imagination. Cette sensation n’était pas pour me déplaire. Il me semblait entendre respirer non loin de là mais je me pris au jeu de cet éventuel inconnu qui ne voulait rien perdre du spectacle que nous annoncions.
J’étouffais déjà des gémissements sous l’assaut de tes lèvres, promenant mes doigts dans ta douce chevelure. Tes gestes se firent plus hardis, à mesure que le désir grandissait en toi. Tu glissais fébrilement tes mains sous mon vêtement et me caressais les seins avec amour. Et moi, provocante, je soulevais mon vêtement, t’offrant mes seins fermes et arrogants sans soutien pointant fièrement à l’horizon. Tu répondis sur le champ à l’invitation et te mis à lécher mes rondeurs, m’arrachant de concert de nouveaux gémissements de plaisir que j’avais vraiment peine à contenir.
J’imaginais cet inconnu, à quelques mètres, tapis dans l’ombre, ne perdant pas une miette du spectacle, regardant la langue experte parcourir la peau délicate de mes seins superbes, n’interrompant son jeu que pour permettre à tes lèvres de venir suçoter délicatement puis goulûment mes tétons durcit. J’imagine l’excitation le gagner également, comme un feu s’amplifiant dans son bas-ventre.
L’amant gourmand que tu es, décidait soudain que ce délicieux amuse-bouche ne te satisfaisait point. Tu glissais une main entre mes cuisses et entrepris de caresser mon entrejambe. Ta bouche manifestant l’envie de venir rejoindre tes doigts qui s’affairaient sur le tissu de ma jupe. Tes baisers glissèrent sur ma peau pour descendre sur mon ventre. Avec un rire complice, je me baissais alors, saisis le bas de ma jupe et la soulevant, je t’en coiffais, découvrant ainsi une magnifique petite culotte en dentelles aux motifs si larges qu’ils laissèrent entrevoir par transparence les boucles de ma brune toison. Tu approchas ton visage de ma délicate lingerie t’enivrant de mon parfum intime, déposant sur le tissu de délicats baisers. Puis, lentement, délicatement, tu saisis le petit morceau de dentelles de chaque côté de mon bassin et le fit glisser le long de mes jambes jusqu’à hauteur de mes genoux et tu plongeas entre mes cuisses. Ta langue se faisant mutine, joueuse, fureteuse. Parcourant d’abord toute la longueur des lèvres de mon sexe déjà humide d’excitation, se promenant au travers des boucles soyeuses, pour venir enfin titiller le joyau délicatement enchassé dans son écrin de chair. Mon corps commença à frémir au fur et à mesure que tu te faisais plus ardent, poussant ton exploration à l’intérieur de mon vagin.
Me mordant une main pour m’empêcher de crier, je lâchais soudain ma jupe qui retomba te masquant. Tu ne stoppais pas pour autant ton jeu de langue sous mes gémissements plaintifs de victime ô combien consentante.
Puis la culotte tomba sur le pavé : tu avais glissé tes mains sous ma jupe pour te débarrasser du vêtement gênant afin de pouvoir m’écarter délicatement les jambes qui s’offraient à toi. « Nooon ! Pas là chéri ! Mummmmmmmmmmh ! » gémis-je. Tu poursuivais ton exploration. Un instant, je cru voir l’inconnu nous regarder.
En quête d’un instant de répit, pour calmer mes sens, je pris alors ta tête entre mes mains, te signifiant de te relever. Je t’embrassais fougueusement, goûtant à la saveur de ma propre intimité, tout en glissant mes mains sous ton pull, taquinant tes pointes durcies à toi aussi. Une de mes mains descendit rapidement, baladeuse, agile, se jouant des boutons de ton pantalon, plongeait déjà dans l’ouverture de ta braguette pour en extirper un membre viril bien raidi que je commençais à caresser doucement. Tu te raidi avant d’esquisser un léger sourire complice, plongeant ton regard amoureux dans le mien. Joueuse, je baissais les yeux sur ton sexe de belle taille qui pointait vers moi puis relevais à nouveau le visage en faisant une moue interrogative et tentatrice. Puis sans attendre de réponse, je me baissais, pliant les genoux et écartant bien les jambes, en pensant à cet éventuel inconnu qui pourrait admirer davantage le duvet de mon sexe, fruit de ta passion. Cette idée m’excitait.
Je déposais quelques baisers sur ton gland qui s’offrait à mes lèvres charnues puis enfonça lentement ta verge dressée au plus profond de ma gorge, t’arrachant un gémissement libérateur de surprise. Je demeurais ainsi quelques instants, le visage plongé dans ta toison pubienne puis satisfaite de mon effet sur ta grappe que je commençais à sucer et à lécher avec une infinie tendresse, ce pont de chair qui uni notre amour. Comme je t’aime ô toi ! Joignant aux mouvements de ma tête ceux de mes mains sur ta verge et tes boules d’amour, je manifestais de l’entrain à cet ouvrage de ton corps.
Ta verge, déjà de belle taille, grossissait et se dressait davantage à chaque coup de langue. Luisante, elle entrait et sortait de ma bouche gourmande tel un piston emballé.
Tu poussais soudain un grognement réprimé et recula. Tu me fis me relever, saisis ma jupe pour la remonter au dessus de ma taille et soulevant une de mes jambes, t’introduisais en moi d’un mouvement rapide du bassin. Je souriais, j’avais obtenu ce que je désirais. Ton membre viril allait et venait maintenant en moi, déchaînant mes sens, m’emportant dans un tourbillon de volupté. M’abandonnant encore davantage à toi, mon amour, je passais mes bras derrière ta nuque et joignis mes jambes autour de ta taille, m’empalant littéralement sur l’objet de mon plaisir. Fou de désir, tout en allant et venant dans ton chaud sanctuaire, tu te mis à courir mon visage et mon cou de baisers brûlants.
L’étreinte se fit plus sauvage, plus passionnée à mesure que les mouvements de bassin augmentait d’amplitude et de rapidité.
Enfin, tu atteins le paroxysme de ton plaisir et tu te plaquas contre mon corps, je t’attirais au plus profond de moi en serrant mes jambes. Tu te répandis en moi, d’un violent mouvement de rein, m’arrachant un dernier gémissement orgasmique. Nous restâmes ainsi serrés l’un contre l’autre sans bouger un instant. Puis lentement, sans un mot, nous nous dégageâmes. Tu te rhabillas tandis que je faisais retomber ma jupe, lissant les plis de mon vêtement et mettais de l’ordre dans mes cheveux. Puis je saisis ton visage entre mes mains et t’embrassa avec fougue. Je te pris la main et t’invita à poursuivre notre chemin.
Alors, nous éloignant, je retournais la tête une dernière fois et jurerais avoir vu une ombre aller ramasser ma petite culotte laissée à son intention sur le pavé.
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"faire une erreur et ne pas s'en corriger, là est la vraie erreur"
isabelle183
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« Répondre #1 le: 22-10-2007, 18:41 »

C'est mignon comme tout et très agréable à lire. Smiley
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LPF
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« Répondre #2 le: 23-10-2007, 13:44 »

Et je l'ai gardée en souvenir cette petite culotte, moi.

Hein?

Fallait pas le dire? Merdalors!  Grin
Journalisée

"Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin." Pierre Desproges
pilouface
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vrilleur fou


« Répondre #3 le: 23-10-2007, 14:01 »

ah c'etait toi, ispèce de voyeur.
tu aurais du venir nous rejoindre  Wink
Journalisée

"faire une erreur et ne pas s'en corriger, là est la vraie erreur"
LPF
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Lanceur de bûches


« Répondre #4 le: 23-10-2007, 14:06 »

ah c'etait toi, ispèce de voyeur.
tu aurais du venir nous rejoindre  Wink

J'étais trop timide.  Grin
Journalisée

"Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin." Pierre Desproges
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