Re : La culotte bis

[Nana]

Et si le tissus est une résille, alors la c un supplice de bonheur

[Camille]

Ah non ! ca m'ennerve trop !

[Coyote]

Allez vous y retrouver après ça ... 

[gamette]

Oui je sais, je fais dans le fétichisme 

Alors, cette fois il ne s'agit pas de la culotte tue l'amour, mais de la culotte pendant l'amour, et plus particulièrement pendant le cuni.

Ce moment délicieux ou monsieur omet de retirer cette barrière de tissu et fait fi de l'obstacle pour lécher à travers... ce qui donne envie de hurler : "retire la !" et simultanément "surtout ne la retire pas !" (oui, je sais, les filles ne savent jamais ce qu'elles veulent  )

Et vous avec la culotte ?

j'adore , je trouve ca super excitant!

[petite sorcière]

Moi j'adore, pour débuter...qu'il s'imprègne de mon odeur...de la chaleur à travers le tissu..qu'il glisse son doigt, et passe sa langue...Bon j'avoue également que...iih ihhh que j'adore parfois,lorsque que je ne porte plus rien...lui faire sentir mon odeur sur mon string...et oui...

[cynicstrip]

Une main posée sur ma nuque, une main qui encourage, une main qui guide (et ce n’est pas Shiva ou Vishnou… je ne sais plus, de toute façon c’est toujours la même main !). Mon nez descend entre ses cuisses, à la commissure de sa culotte et de son aine, je la respire, je m’enivre de son odeur. Je fonds vers l’origine du monde, j’empoigne ses genoux pour les maintenir ouvert, je m’agenouille. Mon  nez cherche le sillon qui se dessine comme un axe au milieu du tissu tendu. Ma tête pivote d’avant en arrière au gré de la courbe du mont de venus, il se jette entre ses reins, il m’amène au puis ou je voudrais m’abreuver du suintement de son désir.

D’abord un coup de langue langoureux et pesant, de bas en haut pour s’achever sur le bouton turgescent et myope sous le tissu. Puis un autre, plus soudain, plus bref, plus fort. Approcher ma langue de ses lèvres, les laper, allumer un contre feu d’humidité de l’autre coté de sa culotte. Puis souffler le froid et le chaud sur le halo moite. Imprégner mon visage, mon nez, m’immoler dans son essence.

Sentir enfin sa main distraite jusque là, devenir pressante et précise, la sentir vaciller, basculer, renverser sa tête en arrière, s’offrir, s’ouvrir. Je relâche l’étreinte de ses cuisses, écarte le triangle qui jusque là, lui aveuglais les replis de la paupière luisante du cyclope pour lui rendre la vue avec accuité.

C’est la deuxième fois que j’écris ce texte à la première personne. La première personne à qui je l’avais écrite fut aussi la dernière à le lire et n’en point profiter. Moi, j’ai fini par douter et penser que c’était la dernière personne à qui je le ferais. Et puis, un jour, est arrivée la seconde et là ce fut une première jubilatoire ! Ca n’a pas été la dernière! C'était même peut-être finalement là que tout à commencer vraiment... Mais quoi?

[Camille]

Une main posée sur ma nuque, une main qui encourage, une main qui guide (et ce n’est pas Shiva ou Vishnou… je ne sais plus, de toute façon c’est toujours la même main !). Mon nez descend entre ses cuisses, à la commissure de sa culotte et de son aine, je la respire, je m’enivre de son odeur. Je fonds vers l’origine du monde, j’empoigne ses genoux pour les maintenir ouvert, je m’agenouille. Mon  nez cherche le sillon qui se dessine comme un axe au milieu du tissu tendu. Ma tête pivote d’avant en arrière au gré de la courbe du mont de venus, il se jette entre ses reins, il m’amène au puis ou je voudrais m’abreuver du suintement de son désir.

D’abord un coup de langue langoureux et pesant, de bas en haut pour s’achever sur le bouton turgescent et myope sous le tissu. Puis un autre, plus soudain, plus bref, plus fort. Approcher ma langue de ses lèvres, les laper, allumer un contre feu d’humidité de l’autre coté de sa culotte. Puis souffler le froid et le chaud sur le halo moite. Imprégner mon visage, mon nez, m’immoler dans son essence.

Sentir enfin sa main distraite jusque là, devenir pressante et précise, la sentir vaciller, basculer, renverser sa tête en arrière, s’offrir, s’ouvrir. Je relâche l’étreinte de ses cuisses, écarte le triangle qui jusque là, lui aveuglais les replis de la paupière luisante du cyclope pour lui rendre la vue avec accuité.

C'est vrai que vu sous cette angle finalement je vais ptêt y réflechir 

[lénita]

C'est vrai que vu sous cette angle finalement je vais ptêt y réflechir 

+1 ... nondidju Cyn ... dès le matin, c'est pas du jeu !

 

[Angel]

Pas pu lire le post de Cynic jusqu'au bout... trop chaud... pas bon pour ma frustration...
Euh, jamais a travers le tissu mais avec la culotte/le string pousse sur le cote oui... pas glamour mais bien symptomatique de l'"urgence" du moment.

[osiris]

me voilà toute chose maintenant, cynic tu recommences quand tu veux, j'avoue être assez touché par les écrits érotiques!!!
peut être parce que je suis un peu en manque ou peut être pas!!!
quand je pratique (à la préhistoire!!!!) j'aime bien commencé avec la culotte ou le string, ça m'excite, je ne saurais dire pourquoi au jour d'aujourd'hui mais ça m'énerve!!!!!!!!!!!!!!!!!!! oh la la !!!!!!!!!!!!!!