Bon, fût un temps pas si ancien que cela, j'avais du mal avec la sodomie, pour des questions de tabous sociaux, mais aussi des questions pratiques.
J'ai réussi avec mon homme du moment à passer outre cela (merci des conseils pour la rivière rouge, effectivement, cela ne l'a pas géné outre mesure
). En fait, ce WE, pour être exacte. Et, je suis agréablement surprise, d'ailleurs.
Pour une fois qu'un homme me préparait dans les règles de l'art. En premier les mains, délicatement, puis plus insistantes, et même mon tout premier anulingus, très agréablement surprise, il ne m'en a pas parlé, il l'a fait, c'est tout, et naturellement. Du coup, j'avoue avoir testé derrière, et il a l'air ouvert, ce jeune homme, j'le garde.
Et nous avons donc expérimenté cela assez intensivement, tout le WE. Et là, vient ma question, parce que, pour le coup, certaines choses me gènent encore.
[Attention, gore inside]
J'ai des questions très pratiques, parce que cela me gène beaucoup.
Que ce soit l'état de son membre lorsqu'il ressort, cela, il le fait plutôt bien passé : discrêtement, il se retire (et doucement, un régal) et ensuite, après un calin, il retire son machin, et va se laver les mains (et le reste ?). Ici, très bien.
Par contre, nous avons fait un test, et parfois, nous ne mettons rien. Et là, arrive le gore. Là se trouve ma question. Lorsqu'il éjacule dedans... Forcément, il reste des choses. Comment faire pour ne pas en parler (il est du genre à ne pas parler de ce genre de chose, mais à faire les choses) et discrêtement aller aux toilettes ? Sachant qu'en plus, c'est désagréable, ca coule, et ca part pas complêtement. Que les toilettes sont juste à côté de la chambre, que ca s'entend.... (raaaah, juste d'en parler chuis traumatisée) et que même le lendemain, si je retourne aux toilettes, c'est pire.... Si vous voyez ce que je veux dire.
Du coup, j'ai un peu de mal avec cette partie là, et c'est essentiellement ce qui fait que je n'ai pas trop envie.
Désolée si cela n'est pas très cohérent, mais j'ai un peu de mal à expliquer sans faire dans le gore