Perso je trouve un poil redondant je mélanger un certain bestiaire fantastique avec le sexe.
Après tout, dans la littérature, le vampire a principalement été un symbole sexuel, le loup garou a souvent représenté la puberté, comme la sorcière le savoir occulte des femmes dans un monde patriarcal. Ces symboles sont des phantasmes, et me semblent avant tout prégnants comme tels, et moins quand ils sont développés.
Soit, je n'ai pas lu les romans en questions, donc je n'irai pas les critiquer directement. Mais les
Génération Perdue ou
Aux frontières de l'aube de ma jeunesse avaient tout ce qu'il fallait de sous-entendus pour me la tendre raide sans rien montrer.
C'est comme la différence entre un chat à l'ancienne (modem 28k, quelqu'un ?) et les visioconférences porn haut débit d'aujourd'hui.
Nombre de MPs - ou de fils - sur Nuts m'ont plus excité qu'une énième vidéo sur pornhub.
Mais je suis peut-être trop cérébral...
Pour en revenir à la littérature, quitte à prendre du porn, c'est soit du cru - pour peu qu'il soit bon, comme pour le steak tartare - soit du cérébral (on y revient, mais c'est une question de goût).
Après, le mi-mi m'a en général déçu. J'ai trouvé le peu de Despentes que j'ai lu déplorable (sur la forme, le fond nécessite un autre fil), les incursions de King dans le coquin en mi-carrière hilarants.
En fin de compte, je vous envie un peu de pouvoir apprécier ces livres... A trop se vouloir "
es tête", on se rend dédaigneux et ennuyeux...
'Fin on ne se refait pas.