fessée méritée ?

[vette]

J’ai eu l’imprudence de lui dire : je t’appartiens, fais tout ce que tu veux de moi.
-   tout ?
-   oui, tout.
Il m’a ordonné de me déshabiller. J’ai retiré un à un mes vêtements. Tout en le regardant droit dans les yeux, j’ai dégrafé ma robe que j’ai laissée glisser le long de mon corps, puis mes talons, puis mes bas. J’ai  interrompu mes mouvements.
-   Continue
J’ai ôté l’attache de mon soutien gorge, fait glisser mon slip.
J’avais un peu honte. Mon corps ne supporte pas le regard d’un homme en pleine lumière. Même de celui de mon maître.
Il a attendu de voir mes joues se rosir pour me demander enfin d’approcher.
Tremblante du désir qui déjà commençait à me parcourir, j’attendais qu’il me donne un ordre, espérant qu’il me demanderait de me mettre en position pour recevoir une fessée comme je les aime.
Mais ce n’était pas du tout ce qui m’attendait.
-   tu voudrais que je te fesse, je le sais, mais il va d’abord falloir le mériter.
Il m’a tendu mon long  manteau noir, celui qui ne tient que par une ceinture nouée à la taille, m’a ordonné de remettre mes talons, ceux que je ne porte que pour nos soirées parce qu’ils sont presque trop hauts pour pouvoir marcher avec.
-   et maintenant, on sort, suis moi.

Je n’ose pas comprendre où il veut en venir, mais je le suis. Je me sens prête à tout.

[Nana]

oh la la, je me dis que la suite va être torride.

[vette]

Je n’ose pas comprendre où il veut en venir, mais je le suis. Je me sens prête à tout.

Nous montons dans sa voiture, garée sur le trottoir juste en face de la maison. La voiture roule maintenant en plein centre ville. Il fait nuit, mais les rues arborent encore les décorations lumineuses de noël, si bien qu’on se croirait en plein jour.
La voiture s’immobilise à un premier feu rouge. Sans me regarder, il me demande d’ouvrir en grand mon manteau. Je m’exécute. J’adore cette honte qui me submerge, exaltant le côté exhib qui sommeille en moi.
Je regarde droit devant moi, n’osant pas tourner mes yeux vers les occupants des voitures immobilisées à côté de la sienne.
De petits coups de klaxon  enthousiastes confirment que leurs habitants ont bien remarqué ma nudité. Et apprécient.

Il glisse sa main entre mes cuisses, m’obligeant à les ouvrir, écarte davantage encore les pans de mon manteau.
Mon corps est maintenant livré aux regards de tous. Je me sens à la fois délicieusement submergée de honte, et totalement offerte.
Quand il passe devant un groupe de piétons, il ralentit, afin de les laisser profiter du spectacle, et redémarre à chaque fois avant qu’aucun commentaire n’ait le temps d’être fait.

[Petite Sorcière]

Une fessée bien méritée ...

"quand j'étais petit, je n'étais pas grand, je montrais mes fesses à tous les passants, maman me disait veux-tu les cacher, moi j'lui répondais veux-tu les embrasser"..[/i


Sinon, la suite... ...Uhmmmm uhmmmmm

Bon je m'installe au fond de mon lit et je me dis "oh non ...moi qui fantasme à fond sur de la soumission, qui viens de terminer un thriller de Dominatrice"..Vette vient nous conter "fessée méritée"...

[vette]

Nous roulons. Il ne me regarde pas, ne me touche pas, ne me parle pas. J’ai gardé mes cuisses ouvertes, puisqu’il ne m’a pas ordonné de les fermer. Je ne sais pas ce qu’il a décidé de me faire vivre, mais j’ai décidé d’aller jusqu’au bout, de quoi qu’il s’agisse.

Il gare sa voiture devant un immeuble ancien, me fait signe de descendre. Il pose une main ferme sur mon épaule, me guide vers la porte, me pousse vers les escaliers.
Il sonne à une porte qui s’ouvre aussitôt sur un valet en livrée qui sans un mot nous guide vers une grande pièce presque nue.
Un groupe de quatre hommes s’y tient, assis sur de bas fauteuils de cuir, autour d’une table de verre.
Pantalons noirs, chemises blanches. Sur leur visage inexpressif, le même masque d’indifférence. Ils pourraient être n’importe qui.

Il me pousse vers le centre de la pièce et fait glisser mon manteau, en prononçant ces seuls mots : la voilà.

[vette]

Me voilà intégralement nue au milieu de la pièce. Je sens mon visage devenir de plus en plus rouge, mais la situation m’excite, et mon sexe déjà bien humide s’inonde de moiteurs délicieuses.
Les quatre hommes me regardent à peine, continuant à siroter leur verre de whisky, et à fumer leur cigarette.

Le valet entre avec un prie-dieu, qu’il place au milieu de la pièce. Il me fait poser les coudes sur le dossier, m’obligeant ainsi à me pencher en avant, les fesses en direction des quatre hommes qui ont maintenant posé leur verre et me regardent, toujours sans prononcer un seul mot.
Mon maître s’est placé en face de moi, a plongé ses yeux dans les miens et les y a laissés. Son visage est devenu totalement hermétique, il n’exprime rien.

Je  tourne maintenant le dos aux quatre hommes, et je n’entends toujours aucun bruit, si bien que je ne sais pas lequel des quatre s’est levé quand je perçois un bruit de pas derrière moi, un froissement de tissu.
Une main se pose sur ma hanche, l’autre écarte mes cuisses. Et un sexe dur pénètre mon intimité d’un seul coup de rein.
Je subis l’assaut sans bouger, sans laisser échapper un seul son, et quand je jouis, c’est en serrant très fort les lèvres pour ne pas laisser échapper le cri que je retiens.
L’homme se retire, laissant sa semence sur mon cul.
Je comprends au bruit qu’il est retourné s’asseoir.
Puis le silence.
Je n’ai pour m’y accrocher que le regard de mon maître, toujours plongé dans le mien.

[vette]

. Aucun muscle de son visage n’a bougé.
L’instant dure, dure encore.    
Autre bruit de bas, autre main sur ma hanche, autre sexe dur qui entre en moi. Autre orgasme silencieux.
Quand le troisième s’est approché, je pensais ne plus pouvoir jouir encore. Et quand il a posé sa main sur ma hanche, j’ai eu envie de demander grâce. Je ne l’ai pas fait.
Et c’est dans mon cul qu’il a introduit sa verge. J’ai vaillamment retenu un cri de douleur, et puis, mon orifice s’est adapté à la taille démesurée de l’engin.   J’aurais tout donné pour pouvoir avoir le droit de me masturber pendant qu’il continuait à me défoncer.
Mais je n’en ai pas reçu l’ordre.
Peu à peu mes jambes se sont affaissées et j’ai fini par me retrouver à quatre pattes, le sexe de l’homme donnant toujours des coups de boutoir.
C’est alors que le quatrième est venu s’introduire dans ma chatte pour une double pénétration frénétique.
Je n’ai plus su s’il s’agissait de douleur ou de plaisir, jusqu’à ce que je jouisse enfin une fois de plus, ce dernier orgasme me laissant pantelante.
Quand je me suis sentie glisser sur le sol, des mains m’ont soulevée, m’ont posée sur la table en verre.
Le froid du verre dans mon dos n’a pas suffi à me ramener à la conscience de ce qu’il se passait.
J’étais nue, les jambes et le cul inondées de foutre, sous le regard des quatre hommes.
Des mains m’ont fait glisser au  bord de la table, ont relevé mes jambes très haut. Mon maître est venu derrière moi et a à nouveau planté son regard impénétrable dans le mien.
J’étais à présent placée comme  sur une table de gynécologue.

[vette]

Des sexes sont venus à nouveau me pénétrer, encore et encore.
J’ai fini par perdre le comte des sexes qui entraient en moi, s’y succédaient, s’y côtoyaient.

Au bout d’un temps, mon maître a dit : cela suffit.
Les quatre hommes se sont écartés.
Mon maître m’a remis mon manteau, et nous sommes repartis.
Aucun mot n’avait toujours été échangé.

Il a dû me soutenir pour rejoindre la voiture, mes jambes ne me portaient plus.
Je me sentais cotonneuse, à demi inconsciente, comme dans un rêve, mais le foutre des quatre hommes séchant  sur ma peau ne laissait aucun doute sur la véracité de ce que je venais de vivre.
Il a conduit rapidement jusqu’à chez nous, toujours silencieux.
Il m’a poussée dans notre salon. M’a fait mettre à genoux, a fourré sa queue dans ma bouche,  et m’a ordonné de lui demander pardon.
Je me suis exécutée, suçant, pompant, prononçant sans fin les mots Pardon, maître, tandis qu’il s’enfonçait jusqu’au fond de ma gorge.
J’ai failli m’étrangler en recevant  sa semence.

[vette]

Alors, il m’a prise sur ses genoux et m’a appliqué la plus magistrale fessée que j’aie jamais reçue de ma vie.
A chacun de ses coups, je continuais à répéter Pardon, maître.
J’étais épuisée, mais je sentais monter en moi un nouvel orgasme, différent, plus fort.
Il l’a senti. A arrêté ses coups juste avant que je puisse l’atteindre.
Et puis, il s’est habillé, m’a laissée là, le suppliant de me laisser jouir. Il est sorti en me disant : et maintenant, va te faire foutre.
Alors, j’y suis allée. Mais c’est une autre histoire.



Note : je tiens à votre disposition pour plus tard une autre chute à cette histoire, je tiens à le préciser intégralement fantasmatique.
Là, j'ai eu envie de m'amuser en la terminant comme ça.

[Petite Sorcière]

Merci Vette d'avoir partagé ton fantasme.

[winy]

Bien bien bien...

 

[Dragonne]

Le coup du manteau je l'ai fait...   
Mais pas les 4 messieurs, je ne pense pas que j'aurais pu...

Rha, souvenirs, souvenirs 

[Nana]

j'aime beaucoup.

[gamette]

hummm joli fantasme!

[Malbak]

Ya vraiment plus rien ?... 

A chaque fois que j'ai voulu exprimer ma  .... hop, un chti plus...
Comme quoi faut savoir attendre...

C'est ça le truc avec les forums... si un jour, j'ai le "malheur" de rencontrer vette... je vais avoir des idées et des envies de fessées... c'est clair que j'aurai le droit d'y penser...