NUTS - Nos Univers Très Sexy
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Auteur Fil de discussion: Re : Les paroles qui vous touchent en 2007  (Lu 42871 fois)
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agirl
Invité
« Répondre #30 le: 29-06-2006, 21:07 »

Etre une femme

"Dans un voyage en absurdie
Que je fais lorsque je m'ennuie,
J'ai imaginé sans complexe
Qu'un matin je changeais de sexe,
Que je vivais l'étrange drame
D'être une femme.

Femme des années 80,
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie
Rouler des patins aux conscrits.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
Être un flic ou pompier d'service
Et donner le sein à mon fils.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Une maîtresse Messaline
Et contremaîtresse à l'usine,
Faire le matin les abattoirs
Et dans la soirée le trottoir.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
En robe du soir, à talons plats,
Qu'on voudrait bien app'ler papa.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme et gardienne de prison,
Chanteuse d'orchestre et franc-maçon,
Une strip-teaseuse à corps perdu,
Emmerdeuse comme on en fait plus.

Femme conducteur d'autobus,
Porte des halles, vendeuse aux puces,
Qu'on a envie d'appeler Georges
Mais qu'on aime bien sans soutien-gorge.

Femme des années 80,
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie,
Rouler des patins aux conscrits.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes."

Michel Sardou



J'aime beaucoup cette chance sur la multicité de la féminité
Journalisée
tit-fraise
Invité
« Répondre #31 le: 03-07-2006, 01:39 »

 Grin celle ci me rappelle trop de souvenirs  Grin

toujours paris combo album: attraction

"dans les bras d un loup"

Dans les bras d'un loup
Je pense m'être blottie
Entre deux babines
A ses canines, je vois...

Il me regarde souvent
Le sourcil attendri
Et quand il pense à moi
Ses oreilles, louvoient... je vois...

Je vois bien qu'il sourit...

Je le vois bien, moi aussi
Et dit que je l'apprécie
Que dans sa fourrure
J'y perds mon envergure, je vois...

Et quand de son chant nocturne
Il vient à briser l'ennui
Dans les bras d'un loup
Je pense m'être endormie, je vois...

Je vois bien qu'il sourit...

Dans les bras d'un loup
Je pense m'être blottie
Entre deux babines
A ses canines, je vois...

Je vois bien qu'il sourit...
Journalisée
Ellroy
Invité
« Répondre #32 le: 06-07-2006, 14:48 »

Une chanson qui m'a attirré quelques soucis récemment mais que j'aime beaucoup malgré tout...


Pour ceux qui ne le connaitrait pas "Jerry Lewis cave and the bad seeds" est un groupe australien, cette chanson "(Are you) the one I've been waiting for?" ((Es tu) celle que j'attendais?)  est tiré d'un album excellent intitulé "the boatman's call'. ils sont connu en France principalement à cause d'un duo qu'ils ont fait avec Kylie Minogue " Where the wild roses grow".
C'est un groupe que je vous recommande chaleureusement tout du moins pour ce qui est de leurs albums les plus récents... Depuis 1990 "the good son".

I've felt you coming girl, as you drew near
I knew you'd find me, cause I longed you here
Are you my desitiny? Is this how you'll appear?
Wrapped in a coat with tears in your eyes?
Well take that coat babe, and throw it on the floor
Are you the one that I've been waiting for?

As you've been moving surely toward me
My soul has comforted and assured me
That in time my heart it will reward me
And that all will be revealed
So I've sat and I've watched an ice-age thaw
Are you the one that I've been waiting for?

Out of sorrow entire worlds have been built
Out of longing great wonders have been willed
They're only little tears, darling, let them spill
And lay your head upon my shoulder
Outside my window the world has gone to war
Are you the one that I've been waiting for?

O we will know, won't we?
The stars will explode in the sky
O but they don't, do they?
Stars have their moment and then they die

There's a man who spoke wonders though I've never met him
He said, "He who seeks finds and who knocks will be let in";
I think of you in motion and just how close you are getting
And how every little thing anticipates you
All down my veins my heart-strings call
Are you the one that I've been waiting for?
« Dernière édition: 06-07-2006, 14:58 par Ellroy » Journalisée
Ellroy
Invité
« Répondre #33 le: 06-07-2006, 14:55 »

Sur le même album une autre que j'adore aussi... "Into my arms" (Dans mes bras)

I don't believe in an interventionist God
But I know, darling, that you do
But if I did I would kneel down and ask Him
Not to intervene when it came to you
Not to touch a hair on your head
To leave you as you are
And if He felt He had to direct you
Then direct you into my arms

Into my arms, O Lord
Into my arms, O Lord
Into my arms, O Lord
Into my arms

And I don't believe in the existence of angels
But looking at you I wonder if that's true
But if I did I would summon them together
And ask them to watch over you
To each burn a candle for you
To make bright and clear your path
And to walk, like Christ, in grace and love
And guide you into my arms

Into my arms, O Lord
Into my arms, O Lord
Into my arms, O Lord
Into my arms

And I believe in Love
And I know that you do too
And I believe in some kind of path
That we can walk down, me and you
So keep your candlew burning
And make her journey bright and pure
That she will keep returning
Always and evermore

Into my arms, O Lord
Into my arms, O Lord
Into my arms, O Lord
Into my arms


Il faut préciser que Jerry Lewis cave leader et parolier du groupe est fils de pasteur... Wink
« Dernière édition: 06-07-2006, 14:59 par Ellroy » Journalisée
Realistik
Invité
« Répondre #34 le: 07-07-2006, 01:09 »

Je parlais de l'amour
Comme on parle du temps
Sans l'avoir vu au jour
Sans le connaître vraiment

J'y pensai comme on rêve
J'en rêvais sans y croire
Entre ces coeurs en grève
Et ces histoires "pour voir"

J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à ça
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là

J'mattendais pas à lire
Autre chose que mon livre
J'm'attendais pas à vivre
Au dessus de mes lignes

Dans cette foule des gens seuls
Toutes ces vies qui se frôlent
Tous ces corps qui s'envolent
Ces chagrins sans épaules

On respire l'air du large
L'air du temps, l'ai de rien
On veut tous prendre le large
Personne connaît le chemin

J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à ça
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là

J'mattendais pas à lire
Autre chose que mon livre
J'm'attendais pas à vivre
Au dessus de mes lignes

Et puis j'ai vu ta tête
Un clown aux yeux qui brillent
Tes chagrins dans les fêtes
Et ton rire qui rougit

Si forte d'être fragile
Tes peurs après la nuit
Les princesses que j'ai lu
Etaient moins farfelues

J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à ça
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là

Je courrais sans lanterne
Vers une aube qui s'enfuit
Aux endroits où l'on s'aiment
Il ne fait jamais nuit

J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là

Et le route fut belle
De mes rêves à ma vie
Croustillante de dentelle
Rideaux neufs, nouveau lit

J'ai posé 1000 questions
A mon coeur, à ma tête
J'ai planté l'vieux garçon
Au milieu de ses peut-être

Tous ces jours plus pareils
Ttous ces matins parfaits
Où tes yeux me réveillent
Dans un rire un secret

J'm'attendais pas à ça


Patrick Bruel - J'm'attendais pas à toi
Journalisée
Ellroy
Invité
« Répondre #35 le: 07-07-2006, 11:17 »

"Ohne dich" (Sans toi)

Une chanson trés controversée de Rammstein, groupe de métal industriel allemand que bizarrement j'ai découvert lors de mon séjour en Polynésie... Extrait de l'album "Reise, reise" sortit en 2004, sur lequel figure le titre "Mein teil" Wink.
Le titre est extrèmement doux et se veux un hymne à l'amitié (mais on peut interprété les paroles en leur faisant exprimer des sentiments plus forts....).


Ich werde in die Tannen gehen
Dahin wo ich sie zuletzt gesehen
Doch der Abend wirft ein Tuch aufs Land
Und auf die Wege hinterm Waldesrand
Und der Wald er steht so schwarz und leer
Weh mir, oh weh
Und die Vögel singen nicht mehr

Ohne dich kann ich nicht sein
Ohne dich
Mit dir bin ich auch allein
Ohne dich
Ohne dich
Ohne dich zähl ich die Stunden
Ohne dich
Mit dir stehen die Sekunden lohnen nicht

Auf den Ästen in den Gräben
Ist es nun Still und ohne Leben
Und das Atmen fällt mir ach so schwer
Weh mir, oh weh
Und die Vögel singen nicht mehr

Ohne dich kann ich nicht sein
Ohne dich
Mit dir bin ich auch allein
Ohne dich
Ohne dich
Ohne dich zähl ich die Stunden
Ohne dich
Mit dir stehen die Sekunden lohnen nicht
Ohne dich
Ohne dich

Und das Atmen fällt mir ach so schwer
Weh mir oh weh
Und die Vögel singen nicht mehr

Ohne dich kann ich nicht sein
Ohne dich
Mit dir bin ich auch allein
Ohne dich
Ohne dich
Ohne dich zähl ich die Stunden
Ohne dich
Mit dir stehen die Sekunden lohnen nicht
Ohne dich

Ohne dich
Ohne dich
Ohne dich
Ohne dich
Journalisée
Dune
Invité
« Répondre #36 le: 20-07-2006, 13:49 »

Paroles d'une chanson des Négresses Vertes , que je trouve à la fois simples et très poétiques, sur une musique de Massive Attack, chaude et sensuelle...

Face à la mer

"Sur le sable, face à la mer
Se dresse là un cimetière
Où les cyprès comme des lances
Sont les gardiens de son silence.

Sur le sable, des lits de fer
Sont plantés là, face à la mer
Ô mon ami, la mort t'a emmené
En son bateau pour l'éternité.

Si on allait au cimetière
Voir mon nom gravé sur la pierre,
Saluer les morts face à la mer,
Ivres de vie dans la lumiere.

Dans la chaleur, le silence
A l'heure où les cyprès se balancent
Les morts reposent au cimetière
Sous le sable, face à la mer."
« Dernière édition: 20-07-2006, 13:58 par Dune » Journalisée
atlas
Invité
« Répondre #37 le: 22-07-2006, 19:48 »

Sam Alpha chante Mové Nôt. Pour ceux qui reconnaisse pas la langue c'est du créole. Comme je ne suis pas vache je vous ai mis la version original mais je vous laisse deviner qui c'est et quelle chanson  xtfra6 (c'est pas dure)


Mové Nôt

a tit ans san pran zôt pou sôt                                                Au village, sans prétention
Tout moun ka ba mwen mové nôt                                         J'ai mauvaise réputation
Ki mwen fè mal ki mwen fè biyen                                         Qu'je m'démène ou qu'je reste coi,
Mwen ka pasé pou an mal chiyen                                         Je pass' pour un je ne sais quoi.
Mwen pa kwè mwen ka jennen hak ni pèsonn                                       Je ne fais pourtant de tort à personne,
Lè mwen ka fè chimen mwen kon ti bolonm                                       En suivant mon ch'min de petit bonhomme ;
Mé dépiw pa adan chichi                                                       Mais les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Wi dépiw pa adan chichi                                                       Non les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Tout moun ka malélivé mwen                                                Tout le monde médit de moi
Sôf ababa mé yo témwen.                                                       Sauf les muets, ça va de soi.

Jou la fèt ka woulé Chèlchè                                                       Le jour du quatorze juillet,
Mwen ka dômi kon gwo lachè                                                Je reste dans mon lit douillet,
Saki lé pé maché o pa                                                              La musique qui marche au pas
Sa pa pou bibi mwen pé pa                                                       Cela ne me regarde pas.
Mwen pa kwè mwen ka jennen hak ni pèsonn                                       Je ne fais pourtant de tort à personne,
Lè mwen pa lé tann kléwon koumandé nonm                                       En n'écoutant pas le clairon qui sonne.
Mé dépiw pa adan chichi                                                       Mais les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Wi dépiw pa adan chichi                                                       Non les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Tout moun ka lonjé dwèt si mwen                                         Tout le monde me montre au doigt,
Sôf mèt mon-yon mé yo témwen.                                         Sauf les manchots, ça va de soi.

Si volè jaden ja tou pri                                                              Quand j'crois' un voleur malchanceux,
Pas mèt afè konnèt kouri                                                       Poursuivi par un cul-terreux
Mwen ka voyé an pat trennen                                                J'lanc' la patt' et pourquoi le tair',
Mèt afè kay planté tinen                                                       Le cul-terreux se r'trouv' par terr'
Mwen pa kwè mwen ka jennen hak ni pèsonn                               Je ne fais pourtant de tort à personne,
Lè mwen kité volè chayé chouaponm                                         En laissant courir les voleurs de pommes.
Mé dépiw pa adan chichi                                                       Mais les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Wi dépiw pa adan chichi                                                       Non les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Tout moun ka kouri dèyè mwen                                                Tout le monde se rue sur moi
Sôf janm dibwa mé yo témwen.                                                Sauf les culs-d'jatt', ça va de soi.
 
Mwen pa biswen sa fé séyans                                                Pas besoin d'être Jérémie
Pou sav mwen pa ni an sèl chans                                             Pour d'viner l'sort qui m'est promis
Lè yo ké an kôd mawo                                                              S'ils trouv'nt une corde à leur goût,
Yo ké pann mwen kout épi wo                                                Ils me la passeront au cou.
Mwen pa kwè ja jennen hak ni pèsonn                                  Je ne fais pourtant de tort à personne,
Lè chimen mwen paka mennen mwen an wonm                            En suivant les ch'mins qui n'mèn't pas à Rome,
Mé dépiw pa adan chichi                                                       Mais les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Wi dépiw pa adan chichi                                                       Non les brav's gens n'aiment pas que
Yo ka diw mach yo ka diw chi                                                L'on suive une autre route qu'eux
Tout moun ké wè jan yo pann mwen                                         Tout l'monde viendra me voir pendu
Sa ki koki zôt ké témwen.                                                       Sauf les aveugl's, bien entendu.
« Dernière édition: 22-07-2006, 19:54 par globbetrotter » Journalisée
Bertrand Morane
Invité
« Répondre #38 le: 26-07-2006, 17:32 »

en ce moment ce qui me retourne c'est

The Hushpuppies, 1975.

"i was born in the seventies, 1975" (à 3 ans près, mais ça me fait partir en vrille cette chanson")
Journalisée
atlas
Invité
« Répondre #39 le: 11-08-2006, 10:52 »

Je dedie cette chanson à mon ex qui a encore essayé de m'appeller
Madame Kay, Plaisirs solitiaires:

Oh tu sais j'ai mis quelques années à comprendre la leçon,
Au lycée, je gravais sur les tables et les lettres de ton nom,
Tu m'a toujours ignoré, et tu me réapparais, comme si je t'attendais,
Alors va te faire


Ooooh tu sais maintenant j'ai mieux à faire
Ooooh tu peux remuer ciel et terre
Ooooh au lieu de te satisfaire
Tu n'm'en voudra pas j'espère
Je préfère encore mes plaisirs solitaires


Ah d'accord, t'étais pas assez mûr, faudrait te pardonner, (na na na, na na na)
Ah d'accord, tu sais que c'était dur et t'en est désolé,(na na na, na na na)
Les temps ont changé (na na na)
Et la roue a tourné, à moi de jouer
Alors va te faire


Ooooh tu sais maintenant j'ai mieux à faire
Ooooh tu peux remuer ciel et terre
Ooooh au lieu de te satisfaire
Tu n'm'en voudra pas j'espère
Je préfère encore mes plaisirs solitaires


Nan mais tu croyais quoi,
J'ai eu le temps d'oublier les rêves les faux espoirs qui font partie du passé
Souviens-toi, regrette-moi


Ooooh (Regrette-moi, regrette-moi) tu sais maintenant j'ai mieux à faire
Ooooh (Regrette-moi, regrette-moi) tu peux remuer ciel et terre
Ooooh (Regrette-moi, regrette-moi) au lieu de te satisfaire,
Tu n'm'en voudra pas j'espère
Je préfère encore mes plaisirs solitaires
(x2)
Journalisée
Bertrand Morane
Invité
« Répondre #40 le: 19-08-2006, 11:52 »

Aujourd'hui c'est ça qui me retourne :

Dandy Warhols, l'album 13 tales from urban bohemia, et tout particulièrement "Get off".

Je l'avais, mais sans l'avoir vraiment écouté. Mais c'est Sa musique. Un de Ses albums du moment. L'autre jour chez Elle, Elle l'a mis. Sur "Get off" Elle s'est mise à chanter les paroles du bout des lèvres, et à danser, assise.

Hier et aujourd'hui, comme Elle me manque gravement, j'ai écouté l'album. Des frissons sur "Get off", les larmes qui me montaient alors que j'étais dans la rue, je la revoyais chantonner et danser...  zen

Les paroles de "Get off" :

http://www.azlyrics.com/lyrics/dandywarhols/getoff.html
Journalisée
Ellroy
Invité
« Répondre #41 le: 19-09-2006, 21:37 »

Your own personal Jesus
Someone to hear your prayers
Someone who cares
Your own personal Jesus
Someone to hear your prayers
Someone who's there
Feeling unknown
And you're all alone
Flesh and bone
By the telephone
Lift up the receiver
I'll make you a believer

Take second best
Put me to the test
Things on your chest
You need to confess
I will deliver
You know I'm a forgiver

Reach out and touch faith
Reach out and touch faith

Your own personal Jesus...

Feeling unknown
And you're all alone
Flesh and bone
By the telephone
Lift up the receiver
I'll make you a believer

I will deliver
You know I'm a forgiver

Reach out and touch faith

Your own personal Jesus...


Depeche Mode
Journalisée
lénita
Invité
« Répondre #42 le: 21-09-2006, 17:30 »

Elle se balance entre deux airs
Un côté sombre un côté clair
Elle dort complètement réveillée
Elle joue à faire mieux qu'exister
Elle se balance entre deux ciels
L'un sous ses pieds l'autre au-dessus d'elle
Elle vit encore à l'heure d'été
Elle veut qu'il fasse beau toute l'année

Côté soleil elle est mariée
Elle est heureuse elle est aimée
Côté sommeil elle a envie
D'avoir un autre homme dans sa vie
Mais sans faire de mal à personne
Côté sommeil elle déraisonne

Elle se balance entre deux gammes
De mélodie en mélodrame
Elle joue au mieux la bonne épouse
Les yeux sur la ligne bleue du blues
Elle se promène entre deux crimes
A la fois vilaine et sublime
Elle aimerait bien mourir des heures
Sur toutes ses années de bonheur

Côté soleil elle est mariée
Elle est heureuse elle est aimée
Côté sommeil quand elle délire
C'est un jeune homme qu'elle fait souffrir
Mais sans vouloir lui faire de peine
Côté sommeil elle se déchaîne

Elle se balance entre deux airs
Un côté sombre un côté clair
Elle dort complètement réveillée
Elle veut qu'il fasse beau toute l'année

Michel Sardou
« Dernière édition: 21-09-2006, 17:32 par lénita » Journalisée
patrice
Invité
« Répondre #43 le: 21-09-2006, 19:04 »

Bien sûr, nous eûmes des orages
Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol
Mille fois tu pris ton bagage
Mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient
Dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l'eau
Et moi celui de la conquête

{Refrain:}
Mais mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime

Moi, je sais tous tes sortilèges
Tu sais tous mes envoûtements
Tu m'as gardé de pièges en pièges
Je t'ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants
Il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte
Finalement finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour être vieux sans être adultes

{Refrain}

Oh, mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore, tu sais, je t'aime

Et plus le temps nous fait cortège
Et plus le temps nous fait tourment
Mais n'est-ce pas le pire piège
Que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt
Je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères
On laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l'eau
Mais c'est toujours la tendre guerre

{Refrain}

Oh, mon amour...
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime.

jacques brel
Journalisée
patrice
Invité
« Répondre #44 le: 29-09-2006, 05:33 »

Oh no
voici le texte d'une superbe chanson de Kool Shen (IV MY PEOPLE)
 

Oh no

feat.Nano & Tony

( Kool Shen,Nano & Tony/ Mazdizm & Sec.Undo)

On a tous plus ou moins grandi au milieu d'murs merdiques,

Au milieu d'bandits ou de cailles-ra repenties tu connais l'verdict

Tres peu d'élus pour des tonnes d'appelés

La rue croule sous l'déluge de momes perdus sans aucuns code d'accés

Il nous construisent des Mc Do dans les técis

Pour qu'on s'ghéttoise et puisqu'les murs s'épaississent

Comme ca tu manges ici, tu dors, tu deal, tu créves ici

Sans jamais briser l'cercle et j'trouve ca trés vicieux

Car ils se gardent bien d'nous dire comment on s'en tire

Comment on prospére, sur ma vie ils souhaitent qu'on s'enterre

Qu'les cris d'la rue s'tempérent afin d'asseoir leur empire

Sur l'ignorance de ceux pour qui sa s'empire

Chaque jour ca transpire dans les blocs, ca conspire

En c't'époque de vache maigre tout l'monde crie vivement qu'on s'tire

De là qu'on sorte la téte de l'eau, sans dégat

Pas facile quand on a grandit sans mode d'emploi

Oh no no no...

A grandir sans mode d'emploi on s'accroche a des codes

On s'approprie des méthodes qui s'apprennent pas à l'école

On passe du deal de shit au deal de CC

On passe du gramme au kilo ici les gosses sont pressés

Les jeunes sont stressés, les méres blessées

Nos pére usés par l'parcours d'une vie passée à s'baisser

Alors on s'tue pour percer, on réve d'éclaircie

Prendre le jackpot et les tips sans dire merci

Peu importe la maniére, la facon de faire

Du moment qu'y a matiére à s'en sortir, méme qu'à moitié

On pense qu'à court terme vu qu'y a urgence

On peut rarement jouer pour perdre, sinon sans lové comment tu relances

Et si tu gagnes ou c'est qu'tu mises, quoi qu'tu biz

Ca s'blanchit pas en eau trouble quoi que tu dises

C'est eux qu'ont les clés, les trucs et les codes

Les facons d'truquer les comptes ca s'apprend pas à l'école

Non ca s'transmet

Oh no no no

Aujourd'hui les portes s'referment quand on vient pas du méme monde

Qu'on a pas fréquenté les méme bancs d'école méme quand

Tu crois pourtant qu't'y es, bah en fait t'y es pas

T'as fait 2-3 billets mais t'as pas quitter l'tier-quar

La route est compliquée sans notice, dur de traverser la vie en autiste

Le savoir est une arme et faut qu'on l'enseigne à nos fils

Pour pas qu'ca s'perpétue, ne pas transmettre que nos vices

Sinon c'est peine perdue
Journalisée
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