Bertrand Morane
Invité
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« le: 23-09-2006, 22:52 » |
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J'étais avec une fille tout à l'heure. Apéro sympa, elle avait envie, j'ai voulu rentrer seul, elle m'a réclamé un bisou, m'a envoyé un texto pour me dire qu'elle m'aurait bien accompagné.
J'avais envie d'être seul. Ou plutôt, avec une autre.
En rentrant, je me suis rendu compte que j'avais laissé mon velux ouvert. Mon lit est trempé.
Ca m'a rappelé une histoire. Où ce n'était pas la pluie qui avait trempé mon lit. Et pas que mon lit d'ailleurs.
"Camping" chez des potes on va dire. Donc peu de lits. Très naturellement, on en prend un avec une bonne copine. Moi caleçon tee-shirt, elle grosse culotte et tee-shirt ample. Coucher ensemble, nous deux, c'était pas possible. Techniquement parlant, ça l'était. Il m'arrivait de lui donner des petites fessées pour déconner, et elle de faire "mmmmmhhh", en jouant le jeu. Mais ça n'était pas possible, on le savait tous les deux. J'avais une copine. J'étais amoureux. En tous cas, je le croyais encore.
Et puis ce soir là, on avait un peu bu. On était un peu plus tactiles que d'habitude. Couchés, on a papoté un peu, pis pour dormir elle s'est un peu blottie contre moi, et je lui ai caressé un peu la nuque.
Un peu... tu parles BM ! Tu l'as caressée doucement la nuque, sur l'encolure aussi, à la naissance des cheveux, jusqu'au milieu de l'arrière de la tête. A un moment elle a dit qu'elle avait chaud. - Ca t'embête si j'enlève mon tee-shirt. T'as dit non. Elle s'est blottie un peu plus contre toi, elle sur le ventre, dans le creux de ton épaule, et toi sur le dos, le champ libre pour lui caresser le haut du dos, en plus de la nuque.
Au bout d'un moment, elle a glissé sa cuisse par dessus la tienne. Et un peu plus tard, tu as senti de la chaleur sur ta cuisse BM.
Non, plus que ça. Une inondation. T'avais la cuisse entièrement trempée. T'as jamais senti ça. Tu as dû la caresser pendant plus d'une heure. Elle ne s'est pas frottée contre toi. Mais à un moment, elle a enlevé sa culotte, t'as baissé ton caleçon, et s'est empalée sur ta bite. C'est chaud et mouillé. T'avais la trique. T'en avais envie, elle aussi. Mais t'as réussi à lui dire : - Je veux pas qu'on couche ensemble. Tu l'as prise par les hanches, et remise sur le côté.
Elle s'est précipitée vers ta bite, qu'elle a mise dans sa bouche. C'était tout aussi chaud et doux. Clair qu'elle t'aurait fait une super pipe. Mais tu as pris sa tête, doucement. - Arrête.
Elle s'est retournée, vexée. Tu l'avais excitée. Elle t'a dit après que le dos était sa zone érogène. Ta cuisse peut en témoigner, pourtant tu n'as pas arrêté. Tu as continué jusqu'à ce qu'elle t'inonde de sa mouille, de son envie.
Tu t'es blotti contre elle, tu lui as pressé ton sexe dur dans le dos, pour lui montrer que ce n'était pas un problème d'envie, d'elle notamment. Tu bandais. Tu lui montrais. Mais tu pressais ton érection contre elle. Pour lui dire que le désir était là. Mais que l'acte n'était pas possible. Alors tu as pris sa main. Tu l'as dirigée vers son clitoris. Tu as accompagné son mouvement, pour qu'elle se masturbe. Tu l'as laissée faire, et au bout de quelques minutes, elle s'est mise à trembler, puis à avoir plusieurs spasmes, longuement, pendant qu'elle jouissait. C'est une de tes copines, elle ne s'était évidemment jamais masturbée à côté de toi. Mais ça avait l'air fort. Ce genre de masturbation forte qui vient dire la frustration.
Vous en avez reparlé après, quelques fois, "ce qui aurait pu se passer", ou "ce qui s'est passé". Tu ne sais pas encore. Tu as l'impression de n'avoir pas été infidèle puisque tu as refusé. Pourtant, ce qui s'est passé était déjà trop.
Ta copine n'en aurait jamais rien su. Mais toi oui.
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